Pour conclure l’auteur n’a pas la prétention de jouer le rôle de parent pour vos enfants, elle fait juste le point sur les grandes questions importantes de l’enfance. Pour nous parent on ne fait jamais bien les choses, l’être humain avance dans la vie avec des erreurs et à sa manière il grandit. Un enfant cherche en ses parents la possibilité de se trouver lui-même. Donc plus vous montrer une bonne image de lui, plus il l’acceptera. Anne Floret trouve que les enfants sont de plus en plus mature et les parents soucieux de leur éducation. « Elever un enfant consiste avant tout à avoir un immense respect pour la vie qui nous est confié »
Éducatrice spécialisée de formation, je travaille en Foyer de jeunes travailleurs (FJT). Les FJT sont des institutions à but non lucratif qui mettent à disposition des jeunes, de 18 à 25 ans, un ensemble d'installations matérielles pour leur hébergement, ainsi que des moyens qui permettent directement ou indirectement de favoriser leur insertion dans la vie sociale. Ils ont différents statuts : à l'emploi, en formation, demandeur d'emploi, scolaire, étudiant, sans domicile fixe, en rupture familiale...
Erving Goffman est un sociologue, linguiste américain d'origine canadienne né à Mannville, Alberta Canada, le 11 juin 1922 et décédé à Philadelphie, en Pennsylvanie, le 19 novembre 1982. Avec Howard Becker, il est un des principaux représentants de la deuxième École de Chicago. E. Goffman entreprend des études de sociologie à l'université de Toronto (1944) où il est l'élève de Ray Birdwhistell, puis à l'université de Chicago (1945) où il est l'élève de Herbert Blumer et Everett Hughes. En 1952 il part pour les Îles Shetland, au nord de l'Écosse, observer la vie locale pendant douze mois. Il se fait passer pour un étudiant intéressé par l'économie agricole : en réalité, il collecte des données pour sa thèse de doctorat qu'il soutient en 1953.
Mon travail porte sur le livre de Maurice Berger, L’enfant et la souffrance de la séparation paru aux éditions DUNOD, collection Enfances. Il a été publié pour la première fois en mai 2003. Ce livre de 169 pages est divisé en quatre parties. D’abord, il donne une définition et une explication de la pathologie du lien puis il traite de trois types de séparations susceptibles d’être vécues par les enfants: la séparation des parents, l’adoption, et le placement. Le dispositif de la protection de l’enfance, caractérisé par la coexistence d’une approche administrative et judiciaire aux frontières mal définies, alimente à cette époque les débats publics. Jamais depuis sa fondation en 1958-1959, ce dispositif avait été remis en question. En 2002-2003, plusieurs groupes de travail mis en place par les pouvoirs publics, s’étaient attelés à dresser un état des lieux du dispositif de la protection de l’enfance. Ils faisaient le constat d’un manque de clarté. En 2003, le débat s’est intensifié et radicalisé.
Michel LEMAY est né en France en 1931. Il est psychiatre, Docteur es Lettres, professeur de psychiatrie à la Faculté de Médecine de l’Université de Montréal. Après avoir travaillé comme éducateur spécialisé, il est devenu médecin puis psychiatre tout en entreprenant une formation comme psychanalyste et psychodramatiste. Il a été directeur de l’école d’éducateurs spécialisés de Bretagne et directeur du CMPP de Rennes. En 1973, il est parti au Québec où, professeur de psychiatrie, il est devenu responsable de l’enseignement de la pédopsychiatrie à l’Université de Montréal puis Directeur de la clinique spécialisée de l’autisme à l’hôpital Sainte Justine à Montréal. Ses intérêts tournés d’abord vers les domaines de la délinquance juvénile et des carences relationnelles se sont à présent dirigés vers l’autisme et les troubles précoces de l’identité.
T. Berry BRAZELTON est né en 1920. C’est un célèbre pédiatre, fondateur du service du développement de l’enfant du Children’s Hospital de Boston. La démarche de BRAZELTON est de faire émerger non seulement la compétence unique de chaque bébé, mais de l’aborder dans son contexte, en tenant compte des interactions multiples du bébé et de son environnement. Pour cela, il a mis au point une échelle d’évaluation de conduites néo-natales, le BNBAS (Bra Neonat Behavioral Assessment Scale) qui permet d’apprécier les différents aspects de la compétence du nouveau-né et ainsi le valoriser face aux parents.
La résilience, ou comment renaître de sa souffrance est un livre écrit sous la direction de Boris Cyrulnik et Claude Seron. Ils ont recueilli les travaux de plusieurs auteurs traitant de la résilience et partageant leurs expériences cliniques. Ce livre témoignage a été édité en 2003 aux éditions Fabert, dans la collection Penser le monde de l’enfant, collection dirigée par Jean-Paul Mugnier, thérapeute familial et de couple. Il est à l’intention des éducateurs et des praticiens, mais également de quiconque veut « renaître de sa souffrance ».
Summerhill a débuté un peu comme une expérience, avec pour vision fondamentale: « celle d’une école qui serve les besoins de l’enfant ». Personne avant Neill n’avait créé une école basée sur de tels principes. Alexander Sutherland Neill croyait en une école libre où l’enfant aurait droit au bonheur. Sa réflexion fit grand bruit. Il développa une méthode d’enseignement novatrice, mise en pratique dans son école installée dans l’est de l’Angleterre. Cette école fondée contre l’école traditionnelle reposait sur deux notions fondamentales : la liberté des élèves ainsi que l’auto responsabilité. En 1955, l’école de Summerhill bénéficia d’un rapport d’inspection qui validait l’efficacité de la méthode : il y avait bien liberté et non pas anarchie
Au titre de ces compétences, il pourrait apporter un regard social, une certaine analyse, un témoignage des réalités de terrain afin de construire avec l’ensemble des intervenants une réflexion sur les politiques et les interventions sociales à construire et à conduire, pouvant atténuer à la fois le malaise des travailleurs sociaux, le sentiment de relégation des populations en situation d’exclusion et de rendre plus efficiente et pertinente la lutte contre les exclusions.
Une large partie de ce travail est donc issue de cette pré-étude et y puise son type de population, ses techniques (entretiens semi-directifs poussés) et une partie de son cadre d’analyse (guide d’entretien, grille d’analyse), mais sur une population beaucoup plus importante et variée. Ceci en vue d’affiner et d’élargir l’échantillon étudié et de tenter d’approfondir des pistes et hypothèses que la première étude avait pointée. Cette étude est donc une continuité. Les conclusions finales de cette analyse sur les répercussions, regroupe au total un ensemble de soixante profils de jeunes anciens conseillers et de vécu de cette expérience au sein des conseils.
Dans le cadre de ma formation d’Educateur Spécialisé (ES) et plus précisément de l’Unité de Formation (UF) 3 « Approche des handicaps, des inadaptations et pédagogie de l’éducation spécialisée », il m’est demandé de réaliser une fiche de lecture. J’ai choisi comme œuvre « Etre parents en situation de grande précarité » de Marie-Paule Poilpot, édition Erès. J’ai fait ce choix afin d’avoir un premier apport théorique pour mon stage que j’effectue actuellement en Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS).
R. Neuburger, psychiatre, psychanalyste et thérapeute familial s’est longuement intéressé au thème du couple et de la famille. Il a su faire une synthèse entre sa formation de psychanalyste et celle de systémicien qui nous fournit un travail riche et intéressant. Il a notamment écrit de nombreux ouvrages dans le domaine systémique en exposant son point de vue et ses différents modèles.
Paul FUSTIER est professeur émérite, à la retraite, de psychologie à l'Université Lumière Lyon 2. Il s’est toujours intéressé aux métiers du social et aux Institutions qui organisent le cadre dans lequel évoluent les professionnels du social. Au moment de la sortie de cet ouvrage, il participe à la formation des éducateurs spécialisés dans le cadre de Recherche et Promotion. J’ai eu l’opportunité de travailler avec lui dans le cadre de régulation institutionnelle et de régulation d’équipe d’une part en MECS (Maison d’enfant à Caractère Sociale) et d’autre part en CHRS (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale).
Dans une société où règne le «culte de la performance», où le bonheur est conditionné par la réussite du travail, et où la liberté individuelle d'entreprendre est prônée comme une valeur et un objectif fondamental, la pauvreté apparaît comme le symbole de l'échec et se traduit souvent par une dégradation morale des personnes qui en font l’expérience.
J’ai choisi de l’effectuer sur cet ouvrage car je suis actuellement entrain de faire mon premier stage à Sainte-Marie, un Centre Hospitalier Spécialisé en Psychiatrie, avec une population d’adultes. Je trouvais très intéressant de pouvoir faire une lecture approfondie qui, en plus d’enrichir mes connaissances, pourrait m’être utile sur mon lieu de stage. En effet, ce livre m’a permis d’apprendre beaucoup de choses dans le domaine de la psychiatrie et notamment sur la sémiologie où tout un chapitre y est consacré.
« Les toxicomanes parmi les autres »est un condensé de la réflexion de Jean Bergeret sur la vision des politiques et de l’opinion publique sur la toxicomanie. Il se veut critique des politiques actuelles et souhaite réalimenter le débat par la prise en compte des responsabilités de tous, dans la mise en place de situations qui amènent à la toxicodépendance.
Dans une société en crise ou le métier d’éducateur est mis à mal, faute de reconnaissance, l’auteur nous propose de revenir à la source vive du métier : la clinique de la relation éducative. L’objectif de l’ouvrage est de formaliser cette pratique à travers laquelle les éducateurs ont, au fil des décennies, acquit un savoir et un savoir faire précieux, auprès des plus démunis, sans qu’ils puissent trouver un langage conceptuel commun pour rendre compte, et valoriser leur fonction.
Dans son ouvrage, Sociologie de la jeunesse, Olivier Galland aborde les différentes définitions qu’a pu revêtir la jeunesse (passant d’une catégorie complètement ignorée à une catégorie sociale et culturelle), et il s’attache à examiner les conditions sociales du passage de l’adolescence à l’âge adulte. En s’appuyant tour à tour sur des approches psychologiques, historiques, anthropologiques et surtout sociologiques, l’auteur démontre que la jeunesse est avant tout un passage dont les frontières et la définition ont évolué au cours du temps, et qu’elle varie en fonction des sociétés considérées.
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