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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Fiche de lecture Educateur spécialisé

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La relation d'aide en service social est un ouvrage collectif écrit par Anne-Marie Bernard, Josette Demmou, Véronica Gargan, Michèle Girardet, Geneviève Jolicoeur et Charlotte Périé, qui sont toutes assistantes de service social dans des services spécialisés. La plupart sont également formatrices et proposent des supervisions dans le cadre de l'association FARE2 à Toulouse.

Ce livre a été publié pour la première fois en 2002 aux éditions Eres dans la collection Pratiques du champ social. La version étudiée ici est celle de 2010. C'est donc un ouvrage contemporain qui s'intéresse à la relation d'aide considérée comme le cœur du métier d'assistant de service social en lien avec les évolutions récentes de ce métier (les auteurs parlent de «complexification du travail social» et du «renforcement des contraintes institutionnelles» p.9)). La relation d'aide qui y est développée tient compte de la personne mais aussi de son environnement social et familial avec l'idée sous-jacente de potentialités chez cette personne que l'on peut développer pour que sa qualité de vie s'améliore.  Cet ouvrage s'intéresse aux conditions nécessaires pour qu'une relation d'aide puisse se mettre en place mais aussi aux limites et aux contraintes de l'aide dans le travail social. Ces réflexions s'accompagnent de témoignages et d'exemples issus de la pratique qui permettent d'illustrer, de compléter ou de relativiser les apports théoriques. 

Philippe GABERAN, anciennement Éducateur Spécialisé est aujourd’hui formateur à l’ADEA de Bourg-en-Bresse et rédacteur au journal Le Lien Social. Il détient une Maîtrise de Philosophie et est spécialisé en Histoire et en Philosophie de l’éducation. Dans cet ouvrage, P. Gaberan répond à la question : « à quoi ça sert d’être éducateur ? » Selon lui, tout le sens de ce métier ou de cette vocation se trouve au sein de la relation éducative. La relation éducative est un accompagnement, un cheminement aux côtés de … et non pas une relation laissant lieu à une toute puissance de l’éducateur sur l’éduqué. Elle ne tend pas à guérir ou à ramener des personnes dans la norme, mais à trouver, au-delà de la différence et de la souffrance, un sens à leur vie. La visée de cette relation éducative est d’accompagner la personne « du vivre à l’exister ».

L’auteur s’appuie ici sur certains auteurs et ouvrages pour nous aider à comprendre son résonnement : Philippe Meirieu, Maldiney, Jean-Jacques Rousseau, le Compte de Condillac et bien d’autres. Afin de donner une dimension concrète à son résonnement, P. Gaberan s’appuie sur des situations de vie vécues, dans son métier d’éducateur, auprès de cinq jeunes adultes en difficultés d’insertion sociale ayant tous en commun une souffrance à vivre et une grande difficulté à exister. Cet ouvrage fait partie de la collection « L’éducation spécialisée au quotidien », fondée par Joseph Rouzel et dirigée par Daniel Terral. Elle donne la parole aux acteurs de l’éducation spéciale, « ces orpailleurs du quotidien » qui se taisent trop souvent, afin de dire avec leurs mots et leurs ressentis ce qui fait l’essentiel de leur travail. Ce livre, a été édité par « érès » en 2015 (la première édition date de 2003). Il contient 146 pages.

Ce livre qui s’intitule « Les enfants et la guerre » de Donald Woods.WINNICOTT récapitule l’expérience qu’a vécue WINNICOTT, pendant la seconde guerre mondiale. Il enrichit sa théorie du développement affectif qui était l’axe de son enseignement et de son travail clinique. Winnicott, est né le 7 avril 1896 à Plymouth et est mort le 28 janvier 1971, il était pédiatre, psychiatre et psychanalyste anglais (se référant à l’École anglaise de psychanalyse).

Dans ce livre, WINNICOTT, aborde différents sujets concernant les dangers d’évacuer les enfants des grandes villes âgés de moins de cinq ans, ainsi que les impactes qu’ont pu engendrer ses séparations sur les enfants et les familles, et les familles d’accueil. Il fit appel à la théorie psychanalytique pour mieux comprendre les enfants qu’il recevait à ses consultations de pédiatrie. Pour lui un grand nombre de symptômes infantiles, et les troubles du comportement ont pour origine des conflits inconscients.

Christophe Dejours est né en 1949. Psychanalyste et psychiatre, il est aussi professeur de psychologie au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM). Il commence en 1968 ses études de médecine. Diplômé en psychiatrie et adepte des psychanalyses, il s’intéresse ensuite à la médecine du travail et à l'ergonomie. Directeur du Laboratoire de psychologie du travail, Christophe Dejours est un des principaux spécialistes de la psychopathologie et de la psychodynamique du travail.

À travers ses ouvrages il parle de l'écart entre le travail prescrit et le réel, des processus de défense contre la souffrance ou encore la reconnaissance du travail et du travailleur. C'est dans son premier ouvrage Travail, usure mental, sortie en 1980, que Christophe DEJOURS a fait une véritable enquête de terrain et une confrontation entre psychanalyse, ergonomie et science sociale. 

Dans cet article, Jacques Barou souhaite présenter les différentes stratégies qui peuvent être mises en place par les parents des quartiers populaires dont ils jugent l’environnement délétère pour l’éducation et la réussite de leurs enfants. C’est en effet ici le premier constat qu’effectue l’auteur. Selon lui, pour ces parents, l’environnement dans lequel ils vivent est une menace pour l’avenir de leurs enfants et pour leurs propres techniques éducatives.

Ce sont des quartiers dans lesquels la proportion de familles nombreuses et par conséquent de jeunes est supérieure aux autres zones de résidence du pays. On retrouve également dans ces quartiers dits « sensibles » un taux supérieur de violences urbaines selon l’échelle Bui-Trong.

J’ai choisi cet ouvrage par rapport à ma pratique d’éducatrice en internat et car ce thème m’intéresse pour mon mémoire. J’ai des questionnements concernant le travail en internat à l’IME où j’exerce.

En effet, la plus part des enfants handicapés accueillis vivent une situation similaire aux propos l’ouvrage, c'est-à-dire le placement en MECS par décision de justice. En plus de la spécificité, de la prise en charge et des conséquences comportementales du handicap, le placement et la séparation sont aussi à travailler. N’ayant pas trouvé de livre abordant cela, j’ai souhaité lire cet ouvrage pour voir si des parallèles pouvaient être possible.

L’auteur rédige un portrait du harcèlement moral tout au long de son livre. Pour ce faire, cet ouvrage est divisé en trois parties. Dans un premier temps, l’auteur met en avant la violence au quotidien en abordant, d’une part, la violence privée dans le couple ou les familles, et d’autre part, le harcèlement au travail avec les protagonistes, les causes, les stratégies d’action.

Dans un second temps, l’auteur analyse les relations et les comportements des différents protagonistes du harcèlement : auteur, victime, témoins, complices… Enfin, la dernière partie de cet ouvrage est consacré aux conséquences pour la victime ainsi qu’aux différentes prises en charge possible. 

Il s’agit de note d’analyse et de réflexion sur les problèmes de la délinquance des jeunes actuellement. Il convient d’ores et déjà de resituer l’ouvrage dans son contexte historique, social, médiatique et politique. Ce livre a été édité en 2004, Nous sommes donc au lendemain de l’élection présidentielle M. Nicolas Sarkozy en 2002, et il faut avoir en mémoire que la campagne présidentielle des deux candidats était principalement accès sur le thème de l’insécurité.

Or si l’on se regarde un peu derrière nous, l’histoire nous montre que souvent dans ces situations là, on se tourne facilement vers le tout répressif. M. Petitclerc dans cet ouvrage se gardera bien de tomber dans une certaine facilité qui consisterait à opposer la prévention contre la répression.

En tant qu’être humain tout d’abord mais aussi en tant qu’éducateur spécialisé, je pense que la communication est essentielle à toute relation, il faut donc savoir comment la mettre en œuvre correctement tout en l’adaptant à tout type de relation. En effet la communication s’effectuera différemment en fonction de la ou des personnes en interaction avec nous, par exemple avec un public en situation de handicap la communication ne sera pas forcément orale ou encore avec un public d’enfants où la communication peut s’établir différemment comme par le jeu.

De plus je pense qu’en tant qu’éducateur spécialisé il est essentiel de connaître les conséquences, positives ou négatives, des attitudes et des fonctionnements que nous adoptons pour atteindre un objectif.

Durkheim dans ce texte nous expose deux sortes de solidarité positive, l'une qui dérive des similitudes, l'autre de la division du travail. Il distingue par la suite deux types de solidarité sociale.

L’une mécanique dans laquelle les individus sont semblables et partagent la même conscience commune sans spécialisation des tâches et l’autre organique dans laquelle les tâches sont différenciées et dans laquelle le corps social va se diviser en sous-groupes spécialisés. C'est cette différenciation qui permet l'individualisation.

Cet extrait traite de Marx traite de la division du travail au sein des manufactures mais également au sein de la société elle-même. Marx nous montre la réelle utilité de la division du travail, qui ne sert pas seulement à couper les catégories de travail, mais surtout à séparer les différentes classes sociales.

En effet, à travers cet extrait on apprend que pour Marx, la division du travail repose sur le capitalisme dont le cœur est l’accumulation du capital rendu possible par la séparation entre force de travail et moyen de production.

Pour cette première fiche de lecture, j'ai choisi d'étudier l'ouvrage de Marie Rose Moro intitulé Grandir en situation transculturelle. L'auteure soulève la difficulté, pour les enfants, à grandir au travers différentes cultures. Il s'agit d'enfants nés dans leur pays d'origine et qui migrent avec leur famille en Europe, d'enfants nés sur le sol Européen d'une famille migrante, d'enfants métisses ou adoptés par une personne issue d'une culture différente de celle des parents biologiques.

Cet écrit de 61 pages est scindé en 9 parties (avec des sous parties) dans lesquelles Marie Rose Moro fait référence aux études de nombreux professionnels. Au commencement, nous pouvons voir de quelle manière sont représentés les enfants puis les « bébés » au sein de différentes cultures. L'auteure s'arrête ensuite sur la question de l'école et des enjeux qu'on y retrouve pour les enfants de migrants. 

Nathalie Mathieu à orienter son ouvrage comme un guide méthodologique en six chapitres, dans un premier temps elle en pose le cadre en nous décrivant finement le cadre légal qui régit l’obligation d’écrire dans diverses situations où est engagée la responsabilité du travailleur social dans la législation en vigueur ( repérage de situation de maltraitance, évaluation des différents projets des structures et des usagers, communication de certains écrits à des tiers ou dans un fonctionnement interne etc.)

Tout au long des six chapitres Nathalie Mathieu s’attachera à nous présenter un grand thème et nous en décrire les modalités de pratique méthodique et précise, l’ouvrage est donc déterminé par une mise en forme particulière où chacun des chapitres se termine par une note synthétique qui récapitule les éléments essentiels du chapitre. Nous aurons l’occasion d’étudier certains chapitres dans la suite de cet écrit en mettant en lien l’ouvrage de Joseph Rouzel et les apports théoriques véhiculés par le livre de Nathalie Mathieu.

Cinq variables historiques caractéristiques de la prise en charge des SDF

* Définir, classer et dénombrer

Les termes qui servent à définir les SDF se transforment selon les producteurs de règlement. Les comptages dépendent des critères qu’on leur attribue.

* La dualité de la pauvreté,

Des critères moraux et normatifs ont toujours existé pour différencier le « bon pauvre » du « mauvais pauvre » (valide/invalide ; insérable/non insérable ; …), ils n’apparaissent pas explicitement dans les textes. Ils instaurent un principe de mérite.

* Les oscillations entre hostilité et hospitalité

L’ambivalence de la population envers les SDF se ressent dans les politiques publiques.

* La coopération instable entre les collectivités locales

Les collectivités, si elles décident d’accueillir les SDF, prennent le risque de voir venir les SDF de collectivités voisines. C’est ce qui se passe à Paris après chaque innovation en matière  de secours.

* La gageure de la coordination des acteurs

La coordination s’analyse aujourd’hui en termes de « partenariat », « gouvernance » ou « réseau d’action publique ». Question de la répartition des rôles entre acteurs publics et privés.

Mais qu’en est-t-il de la psychanalyse ? On la rencontre à trois reprises dans ce livre.

Pour respecter la chronologie de l’écriture que je connais maintenant, je vais commencer par le texte de 1947.

« En tant que procédé d’investigation, la psychanalyse se différencie-t-elle de la technique clinique autrement que par une technicité plus poussée et plus consciente d’elle-même ? (...) que l’on se demande seulement si une définition de la psychanalyse peut être recherchée ailleurs que  dans le cadre d’une psychologie clinique de la conduite humaine, dont l’attention qu’elle accorde au « transfert » serait sans doute le caractère le plus spécifique. » (p. 35-36)

Puis dans la conclusion : « La psychanalyse est une forme de psychologie clinique et de psychothérapie que spécifie notamment l’étude du transfert. » (p. 70)

La psychanalyse se présente comme une forme de psychologie clinique de la conduite humaine, un procédé d’investigation du psychisme, et j’ajouterai une théorie du développement et du fonctionnement affectif de l’homme. A ce titre, il est donc logique qu’elle soit étudiée par les étudiants en psychologie clinique. 

Ce livre écrit par différents auteurs, sous la direction de Philippe Jeammet, est un repère pour les parents et les professionnels. Chaque auteurs ont leur spécificités et travaillent sur des disciplines différentes mais qui se croisent. Philippe Jeammet est professeur de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, psychanalyste à l’institut mutualiste Montsouris de Paris. De plus, il est spécialiste de la psychothérapie de l’adolescent. Président de l’école des parents d’Ile de France. Il est également l’auteur d’une vingtaine d’ouvrage sur l’adolescence, et il a écrit sur les troubles alimentaires tels que l’anorexie et la boulimie.

L’ouvrage est une réédition, c’est un thème important car la période de l’adolescence touche beaucoup de monde : professionnels, parents, etc... Le livre se compose d’une introduction générale, de dix chapitres (dont huit fondamentaux), d’une rubrique avec les adresses utiles et d’une bibliographie. Ce livre décrit la période de l’adolescence sous toutes ces formes, les différents auteurs tentent d’expliciter les difficultés que peut rencontrer un adolescent et les différentes étapes auquel il fait face. Ainsi, on peut se saisir des « outils » qui peuvent nous permettre d’accompagner cette période.

Cet essai d’environ 130 pages nous interroge sur le prenant travail de l’écriture d’un éducateur. Quelle est la place de l’écriture au sein d’un institut ? Que nous apporte l’écriture ? Quelle est sa fonction? Et pourquoi écrire? Daniel Terral grâce à cet ouvrage témoigne rapidement de son histoire de vie, de sa relation privilégiée qu’il entretient avec l’écriture et s’interroge sur la démarche d’écrire.

Cet essai est somme toute facile à lire malgré quelques mots et notions difficiles. Néanmoins la lecture de ce livre m’a parut laborieuse et j’ai eu du mal à le lire d’une traite, je l’ai abandonné plusieurs fois pour le reprendre par la suite… Nous sommes obligés de suivre son raisonnement tellement l’auteur semble sûr de lui, extrêmement renseigné grâce à une bibliographie impressionnante et soutenu par ses pairs tels que Jacques Ladsous ou Roger Gentis qui ont écrit respectivement la préface et la postface. L’auteur se réfère constamment à Fernand Deligny.

« Le quotidien en éducation spécialisée » est un ouvrage de 197 pages Il est composé de 3 parties et divisés en 11 chapitres. Les chapitres suivent un développement logique. L'auteur part d'une définition simplifiée du quotidien pour en affiner les contours, au fur et à mesure des pages.

Dans la 1ère partie, il aborde les différents points théoriques (étymologie, psychologique et psychanalytique, en fin de partie il met en relation ces concepts avec la réalité. L'auteur passe donc par des exemples concrets.

La 2ème partie, présente le quotidien de l'éducateur spécialisé, présente l'institution et positionne l'éducateur en tant qu’acteur : l'institution sera ce que les éducateurs en feront.

J. ROUZEL s'appuie beaucoup sur l'étymologie pour introduire ses concepts. Cela permet de voir sous un autre angle des mots que nous utilisons tous les jours (ex : interdit ou inter-­‐dit).

« Les objets flottants sont des aimants qui attirent en surface le savoir présent dans la profondeur et le rendent efficace. Ce ne sont pas des ouvre-boîtes pour briser le silence » p 14. Telle est l’idée que j’ai retenue à travers la lecture de cet ouvrage.

Les objets flottants proposent au lecteur des outils qu’il est possible d’utiliser dans le cadre de l’intervention auprès des familles. Avant de présenter les différents outils, les auteurs partagent avec nous une définition de la famille.

Cette définition se vaut large afin de transmettre, en substance, la complexité du système mais aussi des enjeux qu’elle offre. J’ai choisi d’axer ma lecture sur leur présentation de la famille.

Dans son livre, François Hébert nous dit que le travail de l’éducateur spécialisé est complexe et qu’il faut sans cesse répondre aux demandes des usagers. Parfois dans l’impossibilité d’y répondre et incapable d’anticiper les comportements et les réactions des publics accompagnés, l’éducateur doit s’appuyer sur « des petites astuces », « des bricolages » pour entrer en relation avec ce dernier. Sans cesse s’adapter à la situation rencontrée et innover au risque de ne pas y arriver mais d’avoir une piste dans laquelle retravailler et approfondir la prochaine fois.

L’éducateur doit être créatif, la situation singulière ne pourra pas être généralisé et nécessitera un renouvellement permanent. Car ce qui fonctionne à un moment ne sera peut-être pas efficace la fois suivante. Le métier d’éducateur spécialisé constitue la mise en œuvre de savoir-faire adaptée à chaque situation.

Dans ce livre, l’auteur propose des petites astuces pour appréhender les publics afin de déclencher une relation éducative. Tous les éducateurs durant leur parcours ont rencontré ces situations et ont trouvé des « petit rien » pour débloquer la situation mais ils n’ont pas partagé l’acte éducatif avec ses pairs et c’est ce que fait François Hébert dans cet ouvrage ; un partage de savoir être et de savoir-faire.

 Il présente une série de stratégies à mettre en œuvre pour contourner les difficultés rencontrées. Dans le livre trois séries sont expliquées, il préconise de sortir du tête à tête en utilisant les ressources extérieures comme par exemple s’intéresser au milieu familial, à la culture, puis utiliser les médiations tels les ateliers, le jeu ou l’imaginaire et enfin sur la rencontre directe par l’écoute active, la reformulation positive ou le contrat.,

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