Travaux U.F. Animateur

Je suis directrice de l'A.N.C.B, depuis 1997, et c’est en tant que telle que m’a problématique m’est apparue : en quoi les dispositifs existants contribuent-ils à favoriser l’accès à l’éducation pour les gens du voyage ? Au vu de mes statuts de directrice, d’animatrice défasienne et de femme de tsigane, j’ai souvent constaté l’existence de moyens, et/ou de dispositifs qui devraient contribuer à favoriser l’accès à l’éducation pour les gens du voyage.

Malgré ceux-ci, le public n’adhère pas forcément, (et cela qu’il soit sédentaire ou pas) à l’éducation telle quelle est proposée. Le but de l’association est : « L’insertion des familles tsiganes du quartier de N. Ariane, par diverses activités », telles que : Atelier de Raisonnement Logique ; Contes et légendes ; Médiation ; Activités culturelles de loisirs et de proximité ; Accompagnement scolaire ; Recherche d’emploi ; Lutte contre l’illettrisme.

a) Parcours antérieur Durant 4 années j’ai occupé le poste d’aide de vie à domicile auprès de personnes âgées dépendantes, valides ou atteintes de pathologies diverses. J’avais la mission d’accompagner ces personnes dans la vie de tous les jours. Je leur apportais l’aide dont elles pouvaient avoir besoin. Celle ci pouvant être apportée pour faire le ménage, le repas, les courses, ou bien pour remplir des documents administratifs. Je me suis mise à proposer des jeux et du jardinage car je pensais que l’aide que j’apportais était soit, très utile, mais j’avais envie de leur apporter des moments de plaisir.

Le but étant d’occuper leur temps libre souvent trop présent. Je me suis rendu compte tout au long de cette expérience que l’animation me plaisait beaucoup. C’est pourquoi je me suis dirigée vers une formation « découverte des métiers de l’animation » afin de me rendre compte de ce que pouvait être l’animation avec un public plus important et surtout apprendre à connaître ce milieu que je ne connaissais que très peu.

2-Rappel du projet d’animation dans lequel s’inscrit la séance. « Jeux de mémoire » Le projet d’animation dans lequel s’inscrivent les séances est la création d’un livret « jeux de mémoire » inspiré de jeux de lettres. Ce livret sera relié et offert à la structure. Afin de mener à bien ce projet j’ai constitué plusieurs groupes de travail. a) SEANCE DE CREATION DES FICHES -Avant chaque séance de création des fiches je prends des notes au brouillon, afin de présenter quelques idées aux résidents sur lesquelles ils pourront s’appuyer lors de la création des fiches. - Nous choisissons ensembles les idées que nous allons exploiter afin de créer 2 ou 3 fiches. Une fois ces fiches structurées un deuxième groupe les retranscrira sur support informatique dans le but de les expérimenter lors de la prochaine séance afin de trouver les solutions aux jeux.

Description des différentes tâches et actes en lien avec l’animation: J’ai effectué ces tâches tout au long de la période d’alternance et celles-ci se sont prolongées lors de la période de stage pratique. Rencontres individuelles avec les résidents : Ces rencontres ont eu lieu dans un premier temps lors de mon arrivée dans la structure afin que j’explique à chacun quel était mon rôle. Lors de ces rencontres individuelles les résidents ont pu se présenter à moi. J’ai pu les questionner au sujet des activités qu’ils aimeraient pratiquer afin de voir plus tard avec l’animateur celles qu’il serait possible de mettre en place.

J’ai fait en sorte que ses rencontres puissent continuer d’avoir lieu chaque fois que j’avais du temps libre (avec les nouveaux arrivants par exemple). Rencontres avec les différents groupes : afin de leur proposer la mise en place de nouvelles activités et d’identifier les personnes intéressées par celles-ci. Ces rencontres m’ont permis de former des groupes de travail. Une réunion a lieu au début de chaque période de stage, celles-ci ayant eu une durée de 15 jours, c’est donc tous les 15 jours que ces rencontres ont eu lieux.

Le projet que je vous propose, s’inscrit dans le cadre de mon travail d’animateur, au sein de la maison de retraite du Centre de long Séjour à Vallauris. Il consiste à organiser durant la fin de l’été 2007, un séjour de 4 jours sur l’île Sainte Marguerite, pour un groupe de 6 personnes âgées. Ce projet est né du souhait des résidents; ils désiraient sortir de l’institution, fuir les contraintes de la vie institutionnelle avec ses horaires à respecter, etc., mais également prendre du plaisir. Le projet doit permettre aux résidents d’être acteurs de ce séjour tout en leur offrant la possibilité de passer de vraies vacances, de favoriser l’estime de soi, de découvrir ou de redécouvrir un lieu qu’ils ont connu ou qu'ils connaissent peut-être par les annonces touristiques ou culturelles.

En premier lieu, je vous décrirai l’établissement dans son environnement, et préciserai son fonctionnement. Ensuite, je vous présenterai le public et ses caractéristiques. Enfin, je définirai, ma conception de l’animation qui résulte de divers constats et qui prend en compte les besoins et les désirs des résidents. Je terminerai par la présentation du projet et la méthode employée, (les objectifs, les moyens, le déroulement du séjour, l’échéancier, l’évaluation et le budget de l’action), suivies de la bibliographie et des annexes.

Le projet consiste à amener le public non atteint par les précédentes actions de prévention à s’exprimer sur des sujets liés à la santé et la parentalité. Il doit favoriser le partage et l'acquisition de nouvelles connaissances et compétences, en matière de santé, de connaissance de l'enfant et de l'adolescent et de la conjugalité. Il devra conforter et valoriser la personne dans son fonctionnement au quotidien en permettant la confrontation d'expériences et de questionnements.

Dans le cadre de l’unité « technique d’animation » de la formation DEFA (Diplôme d’Etat aux fonctions d’animations), il m’est demandé de rédiger un dossier correspondant à la formation d’une compétence spécifique relative à mon domaine d’action, une technique ou un public identifié. J’ai choisi de vous présenter un projet entrant dans le domaine de l’intergénération, dans le champ d’intervention de l’animation socioculturelle de ma propre structure. J’aborderai dans un premier temps le contexte local, puis l’élaboration du projet.

Après un temps d'observation, nous avons, mes collègues et moi, établi le planning des enfants. J'ai alors proposé de créer un atelier terre, activité qui n'existait pas au sein du groupe, et d'encadrer trois enfants. 1) Quelles sont vos objectifs ? Mon objectif est de créer des échanges, de les valoriser, de développer leur imagination en créant un objet. Par le biais de cette activité, j'espère instaurer un climat de confiance qui me permette de les comprendre, afin de mieux communiquer

Tout le monde connait le danger de la drogue et qu’elle peut provoquer la mort à forte consommation. Les personnes droguées sont généralement associés à des personnes en détention, en marginalisation, en détresse psychologique. Pour la plupart des personnes dites « normaux », la drogue est synonyme de prison, Infection Sexuellement Transmissible, chômage et mort. Cependant personnes n’est à l’abri des dangers de la drogue et n’importe qui à n’importe quel moment de sa vie peut entrer dans le tourbillon de la drogue.

Je travaille depuis 3 ans dans une institution accueillant des enfants, des adolescents et des adultes, handicapés, polyhandicapés, pluri handicapés, déficients intellectuels, déficients physiques, trisomiques …. L’hétérogénéité de cette population et les changements de services fréquents rendent mon travail très intéressant car il m’oblige à m’adapter sans cesse et ôte tout risque de routine.

Intérêt pédagogique - Valorisation des personnes en donnant un "sens de responsabilité", leur montrer qu'ils sont capables de réussir et d'être plus autonome. - Convivialité au sein d'un groupe : moment de partage, d'échange et de respect de l'autre. - Créativité : élaborer un plat différent (nouvelle saveur, couleur, texture, odeur) autant que de voir se matérialiser l'aboutissement de leur propre réalisation. - Eveil des sens : par un jeu de reconnaissance visuelle et olfactive redécouvrir toutes ces saveurs et senteurs parfois oubliées. - Respect des règles : attendre son tour, ne pas se lever, respecter le groupe.

Je suis en stage dans un E.H.P.A.D. (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) où l’on retrouve 72 personnes en long séjour et en moyenne 7 personnes en accueil de jour, 5 personnes en accueil temporaire et 2 personnes en accueil de nuit. La moyenne d’âge est de 85 ans pour 76 % de femmes et 24 % d’hommes. La majorité des personnes accueillies dans l’établissement est originaire de la commune ou de ses alentours. J’effectue mon stage au sein de l’équipe accompagnant l’unité "Fil Du Temps" qui regroupe 8 personnes en longs séjours. Ces personnes présentent différentes pathologies de démence. Elles sont intégrées à la vie quotidienne de l’établissement parmi les autres personnes excepté pour les repas qu’elles prennent ensemble et pour certaines animations.

L’épilepsie est une pathologie qui me paraît mystérieuse et qui m’intrigue. En effet, j’aimerai comprendre les mécanismes qui y sont associés et saisir la manière dont on doit agir en présence de quelqu’un qui fait une crise. Je vais m’intéresser à définir les causes de la maladie, ses fonctionnements, les conséquences médicales et sociales, les traitements indiqués ainsi que l’attitude à avoir en tant que professionnelle médico‐sociale. Pour cela, je lis le livre « Que sais‐je ?, L’épilepsie » de Pierre Jallon, docteur en médecine et je fais différentes recherches vidéos et écrites sur internet.

L’AMP (Aide Médico‐Psychologique) a un rôle d’accompagnement au quotidien des personnes accueillies. Le réveil des résidents s’effectue entre 7 heures et 8 heures 30 environ, selon le rythme de chacun, et le coucher entre 20 heures et 22 heures. Les résidents qui le souhaitent restent dans le salon afin de regarder ou d’écouter la télévision. L’AMP aide et accompagne les résidents tout au long de la journée : lever, toilette, repas, activités et sorties, aide au coucher, Il prend son repas avec les résidents. Il participe aux réunions de régulation, de synthèse, de réflexions sur les pratiques professionnelles.

La violence ordinaire ou pathologique, se situe au cœur même de la vie psychique et peut devenir destructrice. L'enfant, et plus encore l'adolescent, sont confrontés au risque de cette violence dans leur développement. « Les humiliations, les coups, les gifles, la tromperie, l'exploitation sexuelle, la moquerie, la négligence etc. sont des formes de maltraitances parce qu'ils blessent l'intégrité et la dignité de l'enfant, même si les effets ne sont pas visibles de suite. C'est à l'âge adulte que l'enfant maltraité jadis commencera à en souffrir et en faire souffrir les autres. » (cf. Alice Miller. C’est pour ton bien, racines de la violence dans l’éducation des enfants. Ed Aubier).

J’effectue mon stage sur un groupe, se composant de onze adultes déficients mentaux, présentant différentes pathologies. Après les activités du matin et du soir se déroulent les temps familiaux. Certains résidents sont dans leur chambre pour se reposer, écouter la musique ou vaquer à leurs occupations. D’autres restent dans le salon pour regarder la télévision ou faire des jeux. Je profite de ce moment pour faire une lecture attentive des projets individuel Pendant cette période d’observation et de lecture, mon attention se porte plus particulièrement sur une résidente, qui découpe des magazines un peu à l’ écart du groupe : je la nommerai Madame M.

J’ai eu l’idée de faire un loto. Après observation de tous les résidents et discussion avec l’équipe, j’ai constaté que très peu de résidents savaient reconnaître leurs chiffres mais tous savaient reconnaître les animaux. J’ai donc proposé de faire un loto avec des animaux. J’en ai d’abord parlé avec l’équipe et la chef de service qui m’ont donné l’autorisation. J’en ai ensuite parlé avec tous les résidents, ils ont trouvé l’idée très intéressante et ont tous acceptés de participer.

La classification internationale des maladies rajoute les troubles envahissants du développement sans précision et l'hyperactivité associé à un retard mental et mouvements stéréotypés. Elles ne seront pas traitées vu qu'elles ne concernent pas l'autisme. Beaucoup de questions se posent pour prendre conscience de cette pathologie vu son ampleur. Je vais essayer d'y répondre par les chapitres que je vais aborder. Grâce aux différentes recherches, je vais présenter: Ce qu'est l'autisme, les signes courant, les classifications, son histoire, les troubles envahissant du développement, les causes, ses différentes sortes, comment elle est diagnostiquer, ce que l'on peut faire pour améliorer l'autisme, la perception, différentes structures d'accueil et les politiques menées. De mon expérience, je vais argumenter mes apports théoriques.

L’AMP (Aide Médico-Psychologique) a un rôle d’accompagnement au quotidien des personnes accueillies. Le réveil des résidents s’effectue entre 7 heures et 8 heures 30 environ, selon le rythme de chacun, et le coucher entre 20 heures et 22 heures. Les résidents qui le souhaitent restent dans le salon afin de regarder ou d’écouter la télévision. L’AMP aide et accompagne les résidents tout au long de la journée : lever, toilette, repas, activités et sorties, aide au coucher, Il prend son repas avec les résidents. Il participe aux réunions de régulation, de synthèse, de réflexions sur les pratiques professionnelles.

Mme C est née en février 1920, elle est souffre de maniaco-dépression. Elle est atteinte de troubles mnésiques. Elle se déplace avec un déambulateur. C’est une petite dame agréable mais réservée qui a tendance à refuser le contact avec les autres résidents. Elle entretient une relation fusionnelle avec sa fille, Jeanne, et passe ses après midi à attendre son hypothétique visite. Jeanne, très dévouée à sa mère, est consciente de la dépendance de celle-ci envers elle. Mme C participe au cours de gym douce. Elle apprécie également les séances de relaxation de groupe. Son manque de confiance lui fait éviter les animations papotages ou jeux de mots où elle craint de se trouver en difficulté.