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Animateur

L'animateur socioculturel est présent auprès des jeunes et des seniors. Foyer, centre de loisirs, maison de quartier, maison de retraite, MJC… L'animateur favorise les échanges et facilite l'expression, la créativité et la socialisation des individus.

Mémoire DEFA sur l'autorité de l'animateur

Mémoire DEFA sur l'autorité de l'animateur

« Les jeunes aujourd’hui aiment le luxe, ils sont mal élevés, méprisent l’autorité, n’ont aucun respect pour leurs aînés et bavardent au lieu de travailler, ils ne se lèvent plus lorsqu’un adulte pénètre dans la pièce où ils se trouvent. Ils contredisent leurs parents, plastronnent en société, se hâtent à table d’engloutir les desserts, croisent les jambes, et tyrannisent leurs maîtres. » L’auteur de ces propos n’est pas plus un pédopsychiatre, qu’un Ministre de l’Education de notre époque. C’est Platon qui, en 348 avant Jésus-Christ, a rapporté ces paroles de son maître Socrate. Pourtant, en 2004, le constat du « mépris de l’autorité » par les enfants et les jeunes est perpétuellement repris, reformulé au goût du jour, aussi bien par les parents que par les éducateurs, enseignants, pédagogues, psychologues, journalistes, responsables politiques. Chacun y va de son couplet accusateur, reprochant à l’une ou à l’autre catégorie d’être à l’origine de ce problème.

A partir d’un problème auquel j’ai été confronté avec l’équipe d’animation du centre de loisirs Les Glaïeuls, l’autorité m’est apparue comme étant une question peu traitée dans le secteur de l’animation. Il est vrai que l’animation souffre encore d’une image de « gentil organisateur », qui n’est là que pour proposer des loisirs et non pour éduquer les enfants. Cependant, en analysant cette notion d’autorité sous différentes approches (étymologique, historique, sociologique, psychologique, juridique, éducative), je me suis rendu compte que l’autorité n’est traitée souvent que sous une forme négative, répressive, et que son supposé retour, promu par bon nombre de politiques, de journalistes et de « spécialistes » de l’éducation, est pour eux la solution rêvée à tous les maux de notre société. C’est une position radicale, mais elle est contestée par bien d’autres auteurs.

Catégorie: Mémoire Animateur
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Documents associés

BEATEP dans un centre socio-culturel

Ayant travaillé quatre années dans des centres de loisirs, je souhaitais, dans le cadre de ma formation BEATEP, pouvoir connaître différents domaines de l’animation. C’est pourquoi je me suis dirigée vers un Centre Social. Celui-ci me permettra de découvrir d’autres secteurs, comme le secteur jeunesse, famille, culturel, social… De plus le centre de loisirs du Centre Social a une particularité : c’est une structure ouverte, ce qui a porté un intérêt plus particulier pour moi car je ne connaissais pas réellement ce fonctionnement. J’avais travaillé durant un mois d’été dans cette structure et je voulais en connaître plus. Je pense que ces structures correspondent bien avec les besoins des enfants.

Je savais aussi que l’équipe me soutiendrait et me conseillerait dans la formation c’est pourquoi j’avais fait la démarche de prendre rendez-vous avec le directeur pour savoir s’il était possible de réaliser mon stage au centre, avant de commencer ma formation BEATEP. Lors de mes interventions dans la structure du CLSH, j’ai pu constater que le quartier était très riche culturellement. Les parents participent à la vie du centre social mais, sont absents du CLSH. Des efforts ont pourtant étaient fait en les invitant à venir, par vive voix ou par courriers.

La place du militant dans le devenir associatif

Il est une histoire qui n’a guère plus d’un siècle et qui, pourtant, a su profondément transformer notre société contemporaine dans ses dimensions sociales, économiques, culturelles, politiques et sociologiques. La célébration récente du centenaire de la loi du 1er juillet 1901, dite du « contrat d’association », a été l’occasion pour les nombreux acteurs de ce mouvement de se replonger dans une Histoire modelée par un 20ème siècle, sur de nombreux points, chaotique.

En outre cette commémoration a aussi présenté une occasion unique, parce que fédérée, de s’interroger sur le devenir du système associatif. Avec près de 70.000 créations d’associations par année, 20 millions d’adhérents (dont la moitié environ y exerce une activité bénévole), 1,2 millions d’emplois salariés et plus de 30 milliards d’euros de chiffre d’affaire, le fait associatif représente un phénomène structurant de notre société dont on mesure encore mal l’ampleur, mais que chacun s’accorde à reconnaître comme prépondérant.

En quoi la réalisation de court métrage permet-elle de favoriser l'intégration et l'insertion sociale

Ainsi, nous serons amenés à traiter des questions comme : qu’est-ce que la jeunesse ? Peut-on la délimiter et comment ? Qu’est ce que l’adolescence et ses enjeux ? Qu’est-ce que l’insertion sociale? Quel lien peut-on faire entre l’insertion sociale et l’insertion professionnelle ? Quel lien peut-on faire entre le projet court métrage et les notions évoquées ci-dessus ?

Pour tenter de résoudre efficacement le pourquoi des difficultés des jeunes quant à l’insertion sociale et définir si le court-métrage peut être une alternative ou non à la construction identitaire des jeunes, il paraît impératif de définir ce qu’est la jeunesse et l’adolescence pour savoir quel type de population on étudie. Il est préférable de continuer cette tâche par la décomposition des notions d’insertion et d’intégration sociale. Enfin, pour avoir une vision plus concrète du sujet, il se révèlera intéressant d’étudier les deux projets courts métrages mis en place dans deux structures Rennaises.

L'accès à la culture en milieu carcéral et le rôle d'un animateur socioculturel dans cet espace

J'ai choisi de m'intéresser à l'animation auprès des personnes placées sous main de justice car je n'ai aucune connaissance de ce public et la rédaction de ce mémoire me permettra d'élargir mes représentations de l'animateur socioculturel dans sa mission de transmission de savoirs et de techniques auprès d'un public en grande difficulté sociale et exclu de la société. La réinsertion sociale des détenus se prépare, en partie, grâce aux activités socioculturelles proposées dans les centres de détention. Tout au long de leur incarcération, les prisonniers ont la possibilité de participer à des ateliers de développement culturel, qui leur permettent d'acquérir de nouvelles capacités intellectuelles ou de continuer à les exploiter et à les enrichir.

C'est pourquoi, des intervenants extérieurs, des artistes ou encore des enseignants interviennent pour animer et dynamiser l'activité culturelle en milieu carcéral. Des réseaux d'associations se forment autour des services d'insertion et de probation des administrations pénitentiaires afin d'organiser les actions et de les pérenniser dans une perspective de réinsertion sociale à long terme. Mais qu'est ce que le milieu carcéral aujourd'hui en France? L'administration pénitentiaire est une institution complexe, liée à l'Etat, au Ministère de la Justice, de l’Education et de la Communication et à celui de la Culture. Les mesures qui sont prises par tous ces acteurs et les applications qu'ils en font, ont un impact direct sur la vie carcérale. C'est pourquoi, je tenterai de mettre en évidence le fonctionnement de cette administration et d'en dégager les forces et les faiblesses afin de mieux comprendre les actions ou les "non actions" culturelles en milieu pénitentiaire.

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