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Animateur

L'animateur socioculturel est présent auprès des jeunes et des seniors. Foyer, centre de loisirs, maison de quartier, maison de retraite, MJC… L'animateur favorise les échanges et facilite l'expression, la créativité et la socialisation des individus.

Le temps de la toilette en MAS

Le temps de la toilette en MAS

La toilette, est certes un besoin fondamental mais c'est aussi un moment privilégié entre la personne accompagnée et le professionnel. En effet, c'est un temps où l'on se consacre entièrement et uniquement aux résidents. Il me semblait important, lors de ce temps clé, de comprendre certaines attitudes et ce que pouvait ressentir les personnes accompagnées. Il en ressort que l'observation et l'attention sont les meilleurs moyens pour proposer une prise en charge personnalisée à chacun. Si l'on prend le temps de comprendre chaque personne, on arrive à trouver ce qu'il leur convient le mieux, tout en sachant que ce qui peut leur convenir un jour, ne sera pas forcément vrai le lendemain. Notre comportement a beaucoup d'importance pour la réussite du soin, les compétences exigées auprès des personnes en difficultés sont plus relationnelles que techniques : nous devons être disponibles, à l'écoute, sans porter de jugement... pour cela, il convient de connaître les habitudes de vie de la personne accompagnée.

Ce travail ne se fait pas du jour au lendemain et il faut beaucoup de patience pour parvenir à comprendre les attentes des résidents et entrer dans une relation de confiance. Nous devons toujours avoir à l'esprit que chaque personne, quelle que soit sa pathologie, est unique. J'ai appris grâce à cet écrit que la toilette n'était pas uniquement de participer au bien être de la personne et de garantir son hygiène corporelle. Cet accompagnement est plus délicat lorsque l'on travaille avec un public présentant un handicap. Elle amène des problématiques telles que le rapport à l'intimité, à la sexualité et soulève des questionnements relatifs au corps tel que des déformations, souillures... et la capacité que nous, professionnels, devons avoir pour accompagner ces personnes et pour s'adapter à chaque difficulté rencontrée. Je pense que l'essentiel, dans ce travail, c'est accepter « l'autre » tel qu'il est, avec toute sa singularité, de ne pas voir, seulement, le handicap qui le compose. Je trouve que chaque geste, chaque comportement, sont autant de choses qu'il faut prendre en compte pour apprendre à connaître la personne et ainsi pouvoir lui apporter ce dont elle a besoin.

Catégorie: Travaux U.F. Animateur
Type de fichier: application/pdf
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Projet d'animation : l'atelier terre

Après un temps d'observation, nous avons, mes collègues et moi, établi le planning des enfants. J'ai alors proposé de créer un atelier terre, activité qui n'existait pas au sein du groupe, et d'encadrer trois enfants. 1) Quelles sont vos objectifs ? Mon objectif est de créer des échanges, de les valoriser, de développer leur imagination en créant un objet. Par le biais de cette activité, j'espère instaurer un climat de confiance qui me permette de les comprendre, afin de mieux communiquer

Favoriser l’accès à l’éducation pour les gens du voyage

Je suis directrice de l'A.N.C.B, depuis 1997, et c’est en tant que telle que m’a problématique m’est apparue : en quoi les dispositifs existants contribuent-ils à favoriser l’accès à l’éducation pour les gens du voyage ? Au vu de mes statuts de directrice, d’animatrice défasienne et de femme de tsigane, j’ai souvent constaté l’existence de moyens, et/ou de dispositifs qui devraient contribuer à favoriser l’accès à l’éducation pour les gens du voyage.

Malgré ceux-ci, le public n’adhère pas forcément, (et cela qu’il soit sédentaire ou pas) à l’éducation telle quelle est proposée. Le but de l’association est : « L’insertion des familles tsiganes du quartier de N. Ariane, par diverses activités », telles que : Atelier de Raisonnement Logique ; Contes et légendes ; Médiation ; Activités culturelles de loisirs et de proximité ; Accompagnement scolaire ; Recherche d’emploi ; Lutte contre l’illettrisme.

DF 3 : Animation de la vie sociale et relationnelle en MAS

1. Les besoins et les ressources des personnes - Christian se déplace sans aide, possède un langage simple, sait se faire comprendre par des gestes, a passé son enfance dans une ferme, aime passer son temps seul à l’extérieur à « mimer » des scènes de vie à la ferme et cela semble le réjouir. - Yvon apprécie les activités ponctuelles, se déplace dans un fauteuil roulant, aime la nature, les promenades et « imite » le bruit de certains animaux lors des activités conte.

Le temps de la toilette en MAS
La toilette, est certes un besoin fondamental mais c'est aussi un moment privilégié entre la personne accompagnée et le professionnel. En effet, c'est un temps où l'on se consacre entièrement et uniquement aux résidents. Il me semblait important, lors de ce temps clé, de comprendre certaines attitudes et ce que pouvait ressentir les personnes accompagnées. Il en ressort que l'observation et l'attention sont les meilleurs moyens pour proposer une prise en charge personnalisée à chacun. Si l'on prend le temps de comprendre chaque personne, on arrive à trouver ce qu'il leur convient le mieux, tout en sachant que ce qui peut leur convenir un jour, ne sera pas forcément vrai le lendemain. Notre comportement a beaucoup d'importance pour la réussite du soin, les compétences exigées auprès des personnes en difficultés sont plus relationnelles que techniques : nous devons être disponibles, à l'écoute, sans porter de jugement... pour cela, il convient de connaître les habitudes de vie de la personne accompagnée. Ce travail ne se fait pas du jour au lendemain et il faut beaucoup de patience pour parvenir à comprendre les attentes des résidents et entrer dans une relation de confiance. Nous devons toujours avoir à l'esprit que chaque personne, quelle que soit sa pathologie, est unique. J'ai appris grâce à cet écrit que la toilette n'était pas uniquement de participer au bien être de la personne et de garantir son hygiène corporelle. Cet accompagnement est plus délicat lorsque l'on travaille avec un public présentant un handicap. Elle amène des problématiques telles que le rapport à l'intimité, à la sexualité et soulève des questionnements relatifs au corps tel que des déformations, souillures... et la capacité que nous, professionnels, devons avoir pour accompagner ces personnes et pour s'adapter à chaque difficulté rencontrée. Je pense que l'essentiel, dans ce travail, c'est accepter « l'autre » tel qu'il est, avec toute sa singularité, de ne pas voir, seulement, le handicap qui le compose. Je trouve que chaque geste, chaque comportement, sont autant de choses qu'il faut prendre en compte pour apprendre à connaître la personne et ainsi pouvoir lui apporter ce dont elle a besoin.

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