LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

BTS ESF

Le BTS ESF – Economie sociale et familiale s’effectue en deux ans après un bac de préférence. C’est un diplôme de niveau bac + 2 qui se prépare en formation initiale mais aussi en alternance dans des établissements publics et privés. C’est un diplôme d’Etat de niveau III délivré par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Rapport de stage BTS ESF

Afficher:
A l'heure où les préoccupations primordiales des personnes en précarité sont de trouver un toit, de se sentir en sécurité, d'avoir des revenus et de se nourrir, la question de l'équilibre alimentaire n'est souvent pas leur priorité ; C'est pour cela que l'on souhaitait aussi leur faire passer le message que cuisiner est un bon moyen de faire des économies et les motiver à participer aux ateliers cuisine prévus prochainement par la CESF grâce à la cuisinette mobile dans les différentes associations. Ces ateliers cuisine ont pour objectif principal de montrer aux bénéficiaires qu'il est possible de réaliser un repas simple et équilibré à un coût peu élevé, tout en créant du lien social entre les participants, en offrant un espace de parole et d’échange autour de la confection de recettes, de mettre en valeur les acquis de chacun en fonction de sa culture et de valoriser la convivialité et le plaisir de partager un bon repas autour d'une table. Les femmes se sont montrées particulièrement intéressées et ont beaucoup échangé entre elles, ce qui a créé du lien social. Un peu moins d'hommes l'ont été mais il est vrai que nous n'étions que des femmes pour représenter la BA30. Si il y avait eu des hommes pour leur en parler, peut être auraient-ils été plus impliqués. La question du manque de place et de temps à leur accorder a été encore valable. Plus de bénévoles et donc plus de temps nous aurait permis d'échanger davantage et façon plus individuelle avec les familles.
Pour les résidents j’ai réalisé des outils pour leur permettre de faciliter le quotidien. Par exemple un planning d’entretien de la chambre, des fiches recettes. Je mets également en place régulièrement une animation collective autour d’un repas à thème. Les résidents choisissent le thème, le menu et participa à toutes les étapes, de la liste de courses à la confection du repas. Nous avons par exemple réalisé un repas « montagnard » ou nous avons préparé une tartiflette.
Il est important de gérer le budget car pour préparer un repas, la structure met à disposition 3.80 euros par personnes. Il faut aussi mettre en place et expliquer toutes les règles d’hygiène et de sécurité. Le plus difficile lors de l’organisation a été de recueillir l’adhésion de certains résidents.
Cela permet de créer du lien entre les résidents et de partager un moment agréable tout en mettant à profit les compétences de chacun et cela favorise de nouveau apprentissage.
Les résidents du foyer vivent dans des appartements doubles avec deux chambres et un espace sanitaire ou des appartements individuels. Ils ont la possibilité d’aménager leurs chambres en appartement en y installant une cuisine et de meublé et décorer leur appartement selon leurs goûts.
Les résidents s’occupent d’entretenir leur appartement et les sanitaires à tour de rôle lorsqu’ils cohabitent. Certains entretiennent eux même leur linge dans les machines à laver à disposition dans la buanderie, le linge des autre est entretenu par la lingerie de l’ESAT. Les résidents participent également au service lors des repas, mise en place de la table, débarrassage, vaisselle, nettoyage…
Je me suis donc occupée de la section bourse aux vêtements avec chacune des équipes. J’ai pu constater dans un premier temps qu’il y régnait une ambiance conviviale et chaleureuse. En effet certaines des bénévoles œuvrent dans cette association depuis plus de vingt ans et au fur et à mesure des années où elles se sont côtoyées des liens d’amitiés se sont ainsi créés.
Ses femmes retraitées viennent en grande partie pour aider l’association mais aussi afin de trouver une écoute, une vie active et sociale. Néanmoins j’ai pu constater qu’il y avait un manque de communication entre chacune des équipes. Les bénévoles y ont leurs habitudes et ont du mal à accepter certains changements dans le fonctionnement de la section.
Les entretiens que mène la CESF se font essentiellement individuellement, pour la plupart à domicile. Les visites se font à hauteur d'une fois toutes les trois semaines, ce qui ne m'a pas permis d'effectuer un accompagnement dans son ensemble (de 3 à 6 mois renouvelable). Néanmoins, en accord avec la CESF j'ai pu mettre en place avec la famille une activité lui permettant d'apprendre à utiliser un outil budgétaire (feuille budget) pour calculer le reste à vivre ainsi que classer les documents administratifs. Cette activité découle d'une demande de la famille auprès de l'assistante sociale de secteur. Suite à un déménagement dans un nouveau logement la famille souhaité l'intervention d'une CESF pour un bilan budgétaire afin de l'accompagner dans les démarches à effectuer. Le but de l'activité est d'évaluer la compréhension de la famille face au budget proposé ainsi que sa capacité à devenir autonome. L'activité correspond à la fonction de conseil pour la gestion budgétaire d'un ménage du fait qu'elle répond à l'objectif : participer aux études et actions menées dans les domaines d'expertise, de conseil, de gestion technique. Les bénéficiaires de cette activité sont une famille recomposée avec deux enfants. Les objectifs de l'activité étaient de créer un budget mensuel grâce à des outils budgétaires (Annexe 1), établir des priorités dans les achats et de classer les documents administratifs. Afin de répondre aux besoins que la famille a exposés à l'assistante sociale de secteur. L’activité s’est déroulée en fin de mois afin de prévoir pour le mois suivant. D’autres rencontres avec la famille avaient eu lieu à leur domicile, à raison d’une heure, pour rendre compte de leurs difficultés, leurs attentes et inquiétudes. La demande de l’intervention de la conseillère ESF ce fait toujours par l’assistante sociale de secteur avec l’accord de la famille. De ce fait la CESF approfondit le travail au niveau du budget de l’assistant social.
Ce stage de BTS ESFa été très bénéfique pour moi, tant sur le plan personnel que professionnel. En effet, il m’a permis d’appréhender le milieu professionnel plus profondément. Sans avoir de formation juridique et sans même faire de courriers aux professionnels, j’ai pu aider ma maitre de stage dans ses recherches. Je me suis rendue compte de la difficulté du monde du travail. J’ai notamment compris que rien ne pouvait se faire sans écrit : l’écrit est une preuve contrairement à la parole. Il faut impérativement que les citoyens français connaissent leurs droits afin de les faire valoir en temps voulu. Ce stage m’a aussi permis de mener à bien un projet. En effet, d’ordinaire, les projets étaient réalisés avec les collègues de la classe. Cette fois ci, j’ai été autonome. Je me suis donc rendu compte, que le travail seul est très difficile et que le partenariat, avec des structures extérieures et avec les membres de la structure est primordial. Malgré tout, les salariés de l’association m’ont aidé lorsque j’en avais besoin ; je n’ai d’ailleurs pas hésité à leur poser des questions lorsque j’en avais besoin. Ensuite, j’ai pu respecter les contraintes que j’avais, c'est-à-dire réaliser un projet avec peu de moyens. Enfin, ce stage m’a permis de me positionner en tant que professionnel et de mettre en pratique les points vus en théorie.
Durant mon stage, j’ai effectué différentes actions telles que l’accueil, la visite des services, une cession de formation et de commission… J’ai instruit différents dossiers notamment une demande de Revenu de Solidarité Active (R.S.A), une demande d’aide alimentaire mais également une demande de F.S.L (Fonds de Solidarité au Logement). J’ai pu, par la suite, remplir un Contrat d’Engagement Réciproque lié au R.S.A.
Lors d’un entretien avec un usager, j’ai participé à l’instruction d’un dossier de surendettement ce qui m’a permis de voir et de comprendre la procédure à suivre.

Je suis allée en visite à domicile pour me rendre compte dans quelles conditions de vie les différents publics vivent mais également de comprendre leurs besoins. Ces visites permettent au travailleur social d’effectuer un constat de leur situation.
Durant cette période, je suis allée à la restitution d’une action collective. Le service social du C.C.A.S avec la collaboration de la C.S.D ont mis en place un projet qui réunit des usagers des deux services. Ces personnes participent sur libre adhésion.
Lors de mon stage, j’ai effectué plusieurs activités auprès du personnel administratif qui constituaient à subvenir à certains besoins des bénéficiaires et également aux besoins des salariés (aides à domicile) comme la réalisation de fiches d’intervention qui permet aux Aides à Domicile de se renseigner sur la personne chez qui elles vont intervenir.

Certains bénéficiaires ne peuvent pas se prendre en charge seuls : il convient donc de les aider du mieux possible. Une personne atteinte d’Alzheimer ne nécessite pas de la même intervention qu’une personne avec un handicap physique. Grâce aux fiches, les aides à domicile ont moins de difficultés à subvenir aux besoins des bénéficiaires car elles connaissent, par avance, les personnes chez qui elles vont intervenir.
Le budget des ménages est un thème souvent abordé par les travailleurs sociaux. Cependant pour élaborer un budget équilibré, il faut avant tout être à jour au niveau de ses documents administratifs (factures, échéanciers, prêt à la consommation, etc.). En effet, pour entreprendre des démarches d’aides sociales légales, facultatives ou des démarches d’inscription auprès d’associations, d’organismes ou de structures médico-sociales, les travailleurs sociaux doivent demander les ressources et les dépenses aux usagers. Or sans justificatifs aucune aide ne peut aboutir. Cela justifie l’importance de ce thème du tri des documents administratifs. Les usagers doivent être capables de les classer par importance et de savoir combien de temps les garder pour ne pas en accumuler de trop. Or, dans une structure telle que le Conseil Général de Schiltigheim, les usagers ressentent souvent des difficultés à classer leurs documents personnels. Dans le cadre de ma deuxième année de BTS en Economie Sociale Familiale, j'ai effectué mon stage de 6 semaines, auprès d'une conseillère en Economie sociale et familiale, au pôle d’aide à la personne du Conseil Général du Bas-Rhin. A travers ce stage, j’ai pu découvrir le travail d’une CESF, son fonctionnement, le rôle et l’utilité des travailleurs sociaux. En effet, l'une des approches des CESF peut être envisagée tout d’abord sous l’angle technique et comptable : conseil pour apurer les dettes, conseil sur la gestion budgétaire en fournissant des outils adaptés, sollicitation d’aides pour « rebondir ». Pour conclure, je tiens à insister sur l’aspect bénéfique de cette période de stage au Conseil Départementale avec la confiance qui m’a été accordée pour mener à bien mon projet dans le cadre de mon BTS ESF. Il m’a conduit à travailler méthodiquement, à faire face aux problèmes rencontrés et à développer l’assurance nécessaire à une approche relationnelle. Ce projet, « classement des documents administratifs » dans le fond et la forme a permis de sensibiliser quelques usagers sur l’importance d'un classement de qualité, afin de s'y retrouver. Il a permis un échange entre les usagers sur leur vécu personnel et la pochette a eu un très bon ressenti auprès d’eux. Il pourra se prolonger dans le futur par la mise en place "d’autres points sur les documents administratifs " lors des différents ateliers existants sur les acteurs de la politique du logement. Les travailleurs sociaux ont été très satisfaits de mon outil et celui-ci sera développé lors des prochains ateliers prévus ainsi que dans les suivis personnalisés. Je pense que mon outil à court terme pourra être très utile auprès des usagers où la problématique des documents administratifs revient régulièrement mais il faut penser aussi à l'aspect numérique. Pour beaucoup d’administrations, le traitement des dossiers papiers baisse petit à petit pour faire place à l’informatique : préférence pour l’utilisation des ordinateurs et d’internet (exemple : les impôts). Malgré la difficulté des usagers à trier leurs papiers, il faudra dans le futur les sensibiliser à une « gestion numérisée » des documents administratifs.
Plusieurs personnes (parents et assistant(e)s maternel(le)s) ont contactés le RAM, par le biais d’appels téléphonique mais aussi durant les ateliers afin de savoir s’il était possible de poser des affiches et vendre des jouets au sein du RAM. Afin de mettre en place une action autour du jouet, j’ai donc procéder à la mise en place d’un questionnaire (annexe1) pour connaître leurs pratiques autour de celui-ci. De plus, durant les semaines que j’ai passée au sein du RAM, j’ai été amené à aller dans chacune des communes ou se déroule leurs ateliers.

Durant ces ateliers j’ai observé les assistant(e)s maternel(le)s, les parents et les enfants, afin d’analyser leur pratique autour du jouet. J’ai analysé si un enfant se penché plus sur un jeu qu’un autre parce qu’il le trouver beau et donc ne s’en servait pas forcément selon sa fonction (ex : un hochet en forme d’animal qui est pris comme un doudou) ou si l’enfant exercé la fonction du jouet (ex : un puzzle ou il faut replacer les formes au bon endroit). Mais aussi, j’ai observé si l’accompagnant (parent, assistant(e)s maternel(le)s) de l’enfant lui expliquer la fonction que le jouet a si l’enfant ne la comprenais pas, ou si cet accompagnant le suivais sur par exemple le fait que le hochet en forme d’animal soit un doudou. La place d’une TESF ou CESF au sein d’un Relais Assistants Maternels étant encore quelque chose de récent, il est difficile de trouver la place adéquate. Mais une fois les compétences expliquées à l’ensemble de l’équipe cela fut facile de s’intégrer et montrer la place d’une TESF, CESF dans ces structures. Mon projet fut complexe tant pour la mise en place que pour l’intégrer à un domaine de l’ESF. Cependant, une fois toutes ces choses définies les étapes du projet se sont succéder assez rapidement.
Actuellement en deuxième année de BTS ESF, j’ai réalisé un stage à l’EHPAD (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) Les Grands Pins. Il accueille des personnes âgées dépendantes, semi-dépendantes et autonomes. Cet EHPAD se situe à Marignane. Après une présentation globale du fonctionnement et de l’organisation de la structure, j’analyserai une activité spécifique et j’apporterai ma réflexion concernant ce stage. L’équipe est pluridisciplinaire et encadrée par un médecin coordonnateur et un infirmier coordonnateur. 6 aides-soignantes sont présentes chaque jour. Un roulement sur 15 jours est mis en place avec une autre équipe d’aides-soignantes. 3 infirmiers ainsi que 3 agents hôteliers. L’agent d’entretien est présent le matin et un roulement est organisé entre le chef cuisinier et son second. La directrice, la secrétaire et l’animatrice sont présentes tous les jours sauf le vendredi et le lundi quand elles sont de garde le week-end. Une préparatrice en pharmacie est présente le mardi et le vendredi. Le médecin coordonnateur est présent le mardi et le vendredi matin et la psychologue le mardi et le vendredi matin. Des professionnels extérieurs libéraux (médecins et kinésithérapeutes) interviennent régulièrement au sein de l’EHPAD.

Dès la première semaine de mon stage, je me suis entretenue avec la directrice qui, elle-même a une formation de BTS ESF. Je lui ai expliqué le but de mon immersion. Suite à cet échange, plusieurs problèmes sont ressortis : souci de dénutrition par manque d’appétit, peu de consommation de desserts et de laitages, perte d’autonomie. Par observation et échanges entre professionnels et résidents, le besoin s’est confirmé.Le public accueilli est constitué de personnes âgées dépendantes, semi-dépendantes et autonomes. Les résidents présentent des troubles cognitifs ou de légers troubles qui s’aggravent après l’entrée en maison de retraite. Les 65 résidents ont une moyenne d’âge de 88 ans. On compte 79% de femmes et 21% d’hommes. Les motifs d’admission sont diverses : isolement familial, problèmes de santé, dépendance, transfert unité de soins, transfert d’une autre maison de retraite Un technicien en Économie Sociale et Familiale a tout à fait sa place dans cette structure car il peut intervenir dans les domaines de la vie quotidienne : Habitat-Logement, Alimentation-Santé-Hygiène, Environnement-Énergie. Il peut mettre ses compétences au service de ce public. Il peut intervenir sur la gestion des stocks pour les différentes activités proposées, gérer le budget des animations. La gestion du linge ainsi que la propreté peuvent être gérées par le TESF.
Dans le cadre de la préparation du Brevet de Technicien Supérieur en Economie Sociale Familiale (BTS ESF), j’ai réalisé un stage de 6 semaines au sein de la Banque Alimentaire de la M, association loi 1901, membre de la Fédération Française des Banques Alimentaires. Cette association à but non lucratif et à visée humanitaire a été créée en 1987, 3 ans après la création de la 1ère banque alimentaire française suite à la montée de la pauvreté. L’objectif principal des Banques Alimentaires est d’aider l’homme à se restaurer dans la dignité. Selon l’INSEE, il y a en France 8,7 millions de personnes pauvres et 2,6 millions sont concernées par l’aide alimentaire. Celle-ci constitue un complément d’alimentation pour les personnes en situation de précarité. L’aide alimentaire d’urgence est destinée à ceux n’ayant aucun moyen de se nourrir, même partiellement, à un moment donné. La population devient de plus en plus précaire (travailleurs pauvres, demandeurs d’asile, maladie, perte d’emploi…) et l’évolution des dépenses ne fait que d’augmenter. Les dépenses liées au logement et aux charges représentent 25% du budget des ménages les plus modestes et celles d’énergie représentent 15%. Le budget restant diminue pour tous, mais c’est sur les ménages les plus pauvres, souvent touchés par le surendettement, que cette évolution des dépenses pèse le plus fortement : le recours à l’aide alimentaire n’est plus seulement une aide d’urgence mais elle devient une aide budgétaire en nature indispensable. La Déclaration Universelle des droits de l’homme de 1948 traitait du droit de tout individu « à un niveau de vie suffisant [...] notamment pour l’alimentation » et introduisait pour la première fois un droit large dans lequel l’alimentation était comprise. Ce fut le premier document garantissant les droits de tous. Il est donc important de garantir aux bénéficiaires de l’aide alimentaire des denrées saines afin d’éviter d’éventuelles intoxications alimentaires. Pour cela, la réalisation d’un projet permettant de mettre en place un plan de surveillance alimentaire est nécessaire. Ce projet résulte d’une demande institutionnelle et mobilise les connaissances de méthodologie, de communication et de sécurité alimentaire afin de réaliser les différentes étapes.

Mon stage de deuxième année a constitué une transition entre la théorie et la pratique, entre l’analyse et l’application de mes connaissances et surtout entre le monde scolaire et professionnel. Grâce aux nombreux partenaires, j’ai pu rencontrer et identifier les missions de diverses associations. J’ai également passé une journée dans une association partenaire qui m’a permis de voir l’acheminement des denrées jusqu’au centre de distribution et de mieux appréhender le public. Pendant cette journée, j’ai pu rencontrer des bénévoles qui étaient professionnels (Conseillère en ESF et Educateurs Spécialisés) qui m’ont fait découvrir leurs parcours professionnels, tout en me percevant comme future professionnelle. Cette journée de découverte m’a permis de mieux intégrer la notion de travail en partenariat. Le En effet, j’ai pu découvrir le travail en commun basé sur un besoin afin de résoudre un problème donné. Lors de cet échange, nous avons pu évoquer la problématique sociale de l’insécurité alimentaire. Les récents débats sur la diminution des subventions européennes pour le Programme d’aide alimentaire aux plus démunis (PEAD) et leurs médiatisations ont propulsé l’aide alimentaire en première ligne comme symbole des retombées de la crise sociale, politique et économique actuelle.
L’association X est un chantier d’insertion par l’activité économique (IAE) dont le support est le repassage. Créée en 1994, elle est dirigée par M. Z, le directeur et Mme Y en est la présidente. Cette association dispose de 24 salariés, d’une équipe encadrante et d’adhérents. B) Missions et objectifs L’association a été créée pour venir en aide à un public ayant des problématiques professionnelle et/ou sociale, à des personnes exclues durablement ou de manière temporaire du marché du travail et/ou de la vie sociétale. Elle est un dispositif d’insertion socioprofessionnelle fondé sur le travail, ici le repassage. Elle emploie des salariés en contrat CAE pour une durée de 6 mois renouvelable une fois. Toutefois, fait rare, le contrat peut être reconduit une seconde fois ou de manière encore plus exceptionnelle une troisième fois le conduisant à 24 mois, avec l’accord du Directeur, de l’employé concerné et du Conseil Général, afin d’aboutir aux actions entreprises. Les personnes postulant à l’association sont orientées soit par leur référent RSA, pôle insertion, association intermédiaire (etc…), soit par leur conseiller Pôle Emploi, soit elles déposent une candidature spontanée.

Force est de constater que cette dernière est assez rare ; sachant que pour pouvoir prétendre à un parcours à l’association il faut être soit bénéficiaire du RSA soit demandeur d’emploi éligible au Contrat Unique d’Insertion, contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE). Les personnes qui s’adressent à l’association sont en grande majorité des femmes. En effet, un seul homme était salarié au moment où j’ai effectué mon stage à l’IAE mais ayant terminé son contrat, à présent, seules des femmes y travaillent. Notons que l’atelier de repassage attire en priorité les femmes de tous âges, et de toutes catégories sociales confondues. Toutes ont en point commun l’exclusion du monde social et du travail, et une volonté réelle de (re)prendre les choses en mains afin de (re)trouver une place dans la société. Elles souhaitent être aidées dans leurs démarches citoyennes (accès au logement, à la mobilité…) et être accompagnées dans un parcours de retour à l’emploi. L’objectif final de l’association est de développer et favoriser l’employabilité des salariés, afin qu’ils puissent accéder à la fin de leur parcours à un emploi et qu’ils acquièrent une situation pérenne et durable.
J’ai été amenée, dans le cadre de ma seconde année de BTS en Économie Sociale et Familiale, a effectué un stage de 7 semaines au sein d’un groupement d’employeurs de comités APAJH(1) et centres médico-sociaux (GECAC Tremplin), et plus particulièrement dans le service du personnel et des ressources humaines. Ce stage professionnel s’est déroulé sous le tutorat de la Chef de service, avec la collaboration de la Coordinatrice sociale affectée aux salariés en contrats emplois d’avenir. Durant cette immersion en milieu professionnel, nous avons pour objectif de réaliser un projet en lien avec un des domaines de la vie quotidienne. L’intervention collective d’animation et de formation (ICAF) que je souhaite vous présenter s’intitule “Crédits et Risques de surendettement” et relève donc du domaine du budget. Dans une première partie, je vous présenterai le GECAC et le GECAC Tremplin ainsi que le public concerné par mon projet et le besoin qui en est à l’origine. Puis, dans une deuxième partie, je vous exposerai les différentes étapes mises en place pour son élaboration. Enfin, je vous proposerai une évaluation de ce projet.

Ce stage professionnel et le projet que j’ai pu y réaliser ont été formateurs pour moi tant professionnellement que personnellement. L’élaboration de mon projet m’a permis d’acquérir de nouvelles compétences, notamment la méthodologie d’analyse de besoin et de conduite de projet dans un contexte institutionnel réel. Mon intervention collective d’animation et de formation m’a permis de mettre en évidence le manque de connaissances que pouvaient avoir les salariés au sujet des crédits à la consommation et du surendettement. L’information collective leur a permis de mieux connaitre les particularités et dangers des crédits mais également de mesurer l’importance de faire appel à des travailleurs sociaux habilités à leur venir en aide en cas de besoin. Mon stage et mon projet ont également permis à la structure d’observer ma méthodologie. En effet, il avait été envisagé avant ce stage de mettre en place des informations collectives à destination des salariés. J’ai appris au cours de mon stage qu’elles le seraient à compter du mois de mai 2014 par Madame G., Coordinatrice sociale.
Souhaitant travailler après le DE auprès d’un public en situation d’exclusion, j’ai réalisé mon stage de 2ème année de BTS Economie Sociale et Familiale dans le CHRS (Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale) A C situé à T Nord. J’ai été stagiaire auprès d’une TESF. J’ai également participé à la vie quotidienne de la structure (accueil physique, téléphonique, demandes diverses des résidents) et assisté aux réunions d’équipes hebdomadaires. Je vais vous présenter mon projet de conseil, concernant l’aménagement d’une pièce collective. Dans une première partie, je vais étudier le contexte et poser le diagnostic, puis dans une deuxième partie, je vous présenterai le projet de conseil. Une très grande salle (environ 160 m²) sera alors inoccupée.

Lors de l’entretien préalable au stage on m’a présenté la structure et les projets. Le sujet de l’ICAF a été défini entre le responsable de site, mon maître de stage et moi. Ils m’ont demandé conseil quant à l’aménagement possible de cette salle. Ce projet de conseil part donc d’un besoin institutionnel. Les travailleurs sociaux et le responsable de la structure ont pensé réformer la salle de restauration en salle collective afin de favoriser les moments de partage, de convivialité. Certains soirs avaient lieu la « Tisanerie », un moment autour d’une tisane où les travailleurs sociaux présents et les résidents qui le souhaitaient pouvaient se retrouver et discuter. Ces moments de convivialité avaient lieu dans le hall, où on trouvait un canapé, mais celui-ci devenu trop vétuste a été enlevé. La ‘tisanerie’ s’est arrêtée d’elle-même, les gens n’ayant plus d’endroit pour s’asseoir. Mon constat J’ai moi-même constaté assez vite qu’aucune salle commune n’existait. Le seul lieu de vie commune est le grand hall : froid et inadapté (aucun fauteuil, table ou chaise) ; c’est avant tout un lieu de passage. Les gens ne se regroupent que rarement en dehors de chez eux. Et peu d’activités sont proposées.
J'ai apprécié mon stage passé pour la deuxième fois auprès d'une CESF comme mon stage de première année. Cela m’a permis de voir une autre structure et un public complètement différents. J'ai assisté surtout à l'une des missions principales du CCAS qui est d'animer une action générale de prévention et de développement social dans la commune, j'ai donc commencer à travailler sur le projet sur la sensibilisation du handicap en lien avec les partenaires de l'ADAPEI que j'ai sollicité aussi pour le projet que j'ai commencé à mettre en place. J'ai participé au diagnostic social en allant faire du porte à porte et donné la date de la réunion pour échanger et proposer des idées pour améliorer leur vie dans Châteaubriant. Cette réunion m’a beaucoup plu car cela permettait aux personnes de donner leurs avis, de raconter leurs difficultés et d'échanger sur ce qui pourrait être amélioré dans la ville ou dans leurs quartiers pour que leur vie soit mieux. Je n’ai pas travaillé sur la mission qui est participer à l'instruction des demandes d'aide sociale et les transmettre à l'autorité compétente, car ma maître de stage ne voulait pas que j'assiste aux entretiens individuels car on ne verrait que cet aspect-là lors de la préparation au diplôme de CESF.J'ai apprécié travailler sur les questionnaires car la stagiaire en BTS SP3S m'as aidé, le fait de nous entraider a permis de découvrir des compétences autres que celles que l'on à développer. Le fait de travailler en équipe et en ayant une formation différente permet de découvrir le travail pluridisciplinaire. La mise en place du projet m'as beaucoup plu, les difficultés à rencontrer tous les partenaires en même temps m'as pris beaucoup de temps, mon projet est donc réalisable mais il me manquait donc le temps pour la réalisation. La difficulté du fait de la rencontre des partenaires fait rendre compte qu'il faut donc ajuster son emploi du temps avec le leur pour permettre que le partenariat puisse faire avancer le projet mis en place. J'aurais beaucoup apprécié de pouvoir mettre en place l'exposition, afin de demander l'avis des gens sur ce que j'aurais mis en place, ce qui aurait être pu modifier, ce qui leur aurait plu et sur ce qui aurait été bien de rajouter. J'avais quand même commencé les moyens de communication afin de les gens viennent voir l'exposition, j'ai donc créé des affiches et des flyers. Et j'ai aussi réalisé les dépliants qui auraient été mis à disposition des personnes lors de l'exposition. Cela m’a permis de mettre en place de la créativité, cela aurait pu attirer les personnes pour venir à l'exposition qui aurait été mis en place. Cependant je me suis aperçu que mettre en place une exposition est un travail très dur, mais avec les moyens humains que j’avais et les informations de qualité que m’ont donné certains de mes partenaires m’auraient permis de la réaliser, il me manquait juste un peu de temps.
La première semaine j’ai préparée avec Sébastien un diaporama et un oral pour une conférence Erasmus+ conférence réunissant toutes le MFR de Bourgogne Franche-Comté portant sur les différents stages à l’étranger effectués par les élèves des différentes classes. Ces élèves devaient présenter un diaporama, j’ai donc créée le diaporama et assisté les élèves lors de leur présentation (gestion informatique durant la conférence). J’ai également aidé Jean-David, moniteur de sport, à organiser la journée sport de la MFR. Durant cette semaine, j’ai aussi accompagné Sophie pour être jury d’entrainements oraux avec les Terminales SAPAT, oraux préparés pour leur épreuve de baccalauréat. J’ai aussi accompagné Mélinda pour être jury de l’épreuve du DNB (diplôme national du brevet) histoire des arts auprès de la classe de 3ème A. La seconde semaine j’ai préparé mon projet accompagnée de Mélinda, je l’ai ensuite présenté à la classe de 3ème B, public auprès duquel j’allais l’effectué, pour la partie théorique. Cette semaine j’ai également surveillé la classe de 3ème B le mercredi après-midi en mettant en place différentes animations (des jeux, des ateliers de révisions pour le brevet, des entrainements pour leurs oraux qu’ils passaient à ce moment-là en les conseillant et en les mettant plus à l’aise) et ce, pendant que chacun attendait de passer son oral d’histoire des arts.

Vendredi matin j’ai aidé Rémi, agent d’entretien à la MFR, à rechercher des matériaux, en particulier de la peinture pour rafraîchir certains des locaux de l’établissement, nous avons alors recherché certaines références et étudié les différents composants afin de choisir la peinture la plus adaptée. Vendredi après-midi je suis allé faire une animation avec Mélinda avec les classes de seconde et terminale SAPAT. La troisième semaine j’ai accompagné Franck et Eric en sortie avec la classe de 3ème au Lazer-Game et au baseball, j’ai été jury d’examens blanc deux jours avec Sophie auprès des terminales SAPAT et j’ai accompagnée Mélinda et Guy (animateur à la MJC de Dole) aux entrainements de théâtre de la classe de 4ème, j’ai aidé à la mise en place du décor et ai aidé les élèves à apprendre leurs textes, vendredi après-midi leur représentation théâtrale avait lieux devant leurs parents, des élèves de la MFR et différents moniteurs tous venus les encourager.
Durant mon stage, j’étais principalement avec l’animatrice. J’ai participé à toutes les activités quotidiennes (ateliers décoration, jeux de mémoire, jeux de société…). J’ai pu aller voir divers professionnels, comme l’assistante sociale, la psychologue, l’ergothérapeute… J’ai pu observer comment se déroulent les repas ainsi que les collations. J’ai également eu l’occasion de visiter la cuisine et la lingerie pour en comprendre leur système. J’ai participé à l’accueil de nouveaux résidents. J’assistais aux réunions appelées « les transmissions » une à deux fois par semaine. Depuis quelques mois, toutes les deux semaines, des intervenants du théâtre se rendent à l’EHPAD pour créer une pièce de théâtre avec un petit groupe de résidents, dans le cadre du projet « L’un est l’autre », initié par le Conseil Général et mis en œuvre par la Direction des Actions pour les personnes âgées et pour les personnes handicapées et la Direction de la culture et de la citoyenneté. J’ai donc pu assister à ces interventions. Avec quelques résidents de la maison de retraite de Villandraut, nous sommes allés à la maison de retraite de la ville voisine, pour jouer à des jeux de sociétés avec les résidents de cette maison de retraite. Nous avons fait une sortie à la fête de la ville en février, j’ai pu observer et participer à toute l’organisation qu’une sortie implique (protéger les résidents contre le froid, accompagner les résidents à monter dans le bus, vérifier qu’ils restent dans le groupe…). L’EHPAD dispose d’un minibus, ce qui facilite la possibilité de sortir. Nous avons accueilli des lycéennes de baccalauréat professionnel « mode » qui ont réalisé un exposé, ainsi que des lycéennes de baccalauréat professionnel ASSP (Accompagnement soins et services à la personne) pour des journées de découverte.

J’ai été présente lors d’appels vers des tuteurs, pour des demandes de sortie d’argent par exemple. Chaque été, un groupe de résidents part à Lourdes, beaucoup de choses doivent être organisées, il faut communiquer avec la pharmacie du Centre Hospitalier pour pouvoir prendre les médicaments des résidents, communiquer avec les tuteurs… J’ai donc assisté à la préparation de ce séjour, qui s’est déroulé après mon stage. Tous les jeudis, pour les jeux de société, des bénévoles interviennent. Il est important que les résidents se repèrent, c’est pour ça que tous les jours, la date du jour est écrite, ainsi que la fête du jour et une citation. A la maison de retraite, un groupe d’enfants du centre aéré est venu pour jouer à des jeux de société avec les résidents. Mes objectifs ont été atteints, j’ai réussi à identifier les caractéristiques de la structure, du service « animation » et celles du public. J’ai constaté que le travail en équipe et la communication entre les membres du personnel étaient réellement importants. J’ai pu réaliser un support de communication (une affiche sur le chocolat). Enfin j’ai pu mettre en place mon activité.
Dans le cadre de mon parcours scolaire, j'ai effectuée un stage au sein du CCAS (Centre Communal d'Action Social) de C ; Plus précisément dans le service chargé du suivi RSA (Revenu de Solidarité Active). Encadrée par une Conseillère en Économie Sociale et Familiale, j'ai pu apprendre dans d'excellentes conditions. J'ai pu également participer à de nombreuses activités telles que l'antenne d'animation sociale (atelier couture) ou des ateliers d'animation au sein du foyer André S. J'ai notamment pu me rendre à l'épicerie sociale, organisée et gérée par le CCAS. En effet, j'ai pu observer le déroulement et le fonctionnement de l'épicerie sociale (PASAC) pendant 6 demi-journées (1 fois toutes les semaines). La réalisation de l'analyse de cette activité me semble donc intéressante et se voit comme l'aboutissement d'une activité que j'ai vu évoluer et à laquelle j'ai participer tout au long de mon stage. L'objectif principal de l'épicerie sociale est de garantir un accompagnement pour les bénéficiaires. C'est aussi un lieu d'écoute, d'échange, de rencontre. Les bénéficiaires peuvent partager leurs expériences. L’ouverture de l'épicerie sociale permet un plus grand respect de la dignité de la personne et offre aux bénéficiaires plus de responsabilités. L'épicerie offre la possibilité aux bénévoles de sensibiliser les clients à une meilleure gestion de leur budget, de les responsabiliser, de leur proposer une aide alimentaire plus équitable et de favoriser l'accès à tout type d'information conduisant à l'autonomie sociale des familles. Une autonomie qu'il a fallu mettre à profit dès la réalisation de la demande d'aide financière pour le PASAC. En effet, les bénéficiaires ont dû rechercher et apporter des informations sur leur situation financière afin que je puisse au mieux remplir le dossier de demande de PASAC.
J’ai fait mon stage avec une autre étudiante en BTS ESF et toutes les deux, nous avons choisi une activité correspondant au champ de l’ESF « environnement-énergie » puisque nous avons mis en place un projet d’animation sur le thème du tri sélectif. Le projet était déjà monté sur papier, nous avons donc pu le montrer et l’expliquer à notre tutrice de stage. Celle-ci a immédiatement été ravie par le thème de notre projet. En effet, elle nous a expliqué qu’il y avait un réel problème au niveau du tri des déchets dans les deux résidences mais principalement à la S. Les gardiens s’occupent de sortir les poubelles - nous les avons donc accompagnés afin de voir d’une part les locaux et le matériel mis à la disposition des résidents et d’autre part voire les poubelles. Ils nous ont expliqué que très souvent les poubelles ne sont pas acceptées car il y a n’importe quoi dedans, pas de sacs. Aussi, souvent des couches sales dans la poubelle du verre. Poubelles et locaux sont rapidement sales. Nous avons effectué des petits entretiens, informels, pendant nos pauses, nos déplacements ou repas, et nous avons pu questionner les résidents sur ce qu’ils pensaient du système général de la gestion des déchets au sein de leur résidence, savoir s’ils faisaient eux même le tri. D’une manière générale, ceux qui ont été questionné trient leurs déchets et savent que le voisin ne le fait pas correctement. Le besoin d’améliorer le tri des déchets concernait alors aussi bien les résidents que le personnel afin de facilité leur travail.

Nous sommes ensuite allées voir le SMICTOM Rhône-Garrigues (Syndicat Mixte Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères), pour recueillir des informations et récupérer des prospectus à distribuer aux participants. Nous avons ensuite retravaillé sur l’animation : nous l’avons adapté aux personnes âgées. En effet, celle-ci était prévue au départ pour des hommes en réinsertion. Nous avons donc revu l’ensemble de l’animation et modifié certaine séquence. Nous avons dû trouver des dates pour les deux résidences : deux fois deux dates car nous devions inclure une animation peinture (demande institutionnelle), conçu des affiches pour chacune d’entre elles : des grandes pour afficher, des moyennes pour mettre dans les boites aux lettres et des petites pour leur mettre à table. Dans le but que l’information passe à tous les résidents ; de plus, nous sommes allées voire chacun des résidents pour les inviter à notre animation, leur expliquer en quoi elle consistait.

Connexion

Abonnement

Recherche