Dans un milieu ordinaire, les gens ont le choix d’accepter ou non un régime alimentaire. Dans le cadre d’un régime qui mettrait en danger une personne, celle-ci aurait quand même le choix de s’y conformer ou pas. Il en va que de la responsabilité des gens concernés car ils sont « maîtres » de leurs vies, puisqu’ils sont théoriquement adultes et responsables. Dans les institutions où l’aide médico-psychologique est amené à travailler, le public concerné est le plus souvent soumis à un régime alimentaire et même si ces résidents ont du mal à l’accepter nous devons être vigilants à ce qu’ils le « suivent » car il est de notre devoir de les protéger.
Pour conclure, je pense qu’il est important que l’équipe garde toujours à l’esprit que ce n’est pas à seulement 1/3 des résidents qu’il faut faire « la guerre » pour qu’ils mangent raisonnablement (équilibré) mais à l’ensemble des résidents car en effet nous avons à faire à une population vieillissante avec tout ce que la vieillesse entraîne comme risques de pathologies (problèmes cardiaques, diabétiques, …). Notre rôle est de prendre soin au quotidien de leur santé et dans ce cas précis il est de notre devoir lorsqu’il y a prescription médicale de s’y conformer sans en dévier le contenu.
Catégorie: | Etude psycho-pédagogique Aide médico-psychologique |
Type de fichier: | application/pdf |
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