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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Philippe Gaberan : Conférence

Philippe Gaberan : Conférence Cette conférence m’a paru être un grand bol d’air frais. En effet alors que notre société prône pour le libéralisme, la compétition, l’efficacité et le formatage, Gaberan nous rappelle que notre métier d’éducateur travail avec l’humain, l’humilité et une formidable éthique. Nous ne serons jamais au même titre que superman des « supers éducateurs », mais nous essayerons avec notre histoire, nos cultures et nos qualités et défauts de soutenir au mieux tous ces enfants et adultes souvent en marge de la société. Les aider à être ce qu’ils veulent devenir, qu’ils soient libres de leur choix de vie.
Catégorie: Fiche de lecture Moniteur-éducateur
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Autiste ? Pour nous, l'essentiel est invisible.

Ce témoignage est celui d'une maman qui, courageusement, relate son parcours, et celui de son fils Louis dans un récit prenant. Elle décline dans ce livre, les difficultés rencontrées avant le diagnostic. Elle exprime également le manque de positionnement de la part des médecins qui par peur de poser un diagnostique, reste dans le silence, alors que la maman a reconnu des traits autistiques.

Elle évoque aussi les difficultés avec la Maison Départementale des Personnes Handicapés (MDPH), les différents professionnels qu'elle visite ( psychologue 1, psychologue 2, ce qui permet de se rendre compte du grand nombre de professionnels rencontrés et des changements répétitifs que devait subir l'enfant). Elle explique de façon surprenante le quotidien à la maison, la peur incessante de recevoir des mots de la part des institutrices dans le cahier de liaison, ou l'angoisse d'un refus de prise en charge de la part de l'école. L'auteur a décliné tout au long de son ouvrage les différentes difficultés, les craintes, les moments de bonheur ; de leur quotidien.

Quartiers, conflits, acteurs…

Cet ouvrage a été élaboré à la suite d'un colloque en 1998 à Aubervilliers à l'initiative des étudiants du Dispositif Expérimental de Formation. Le DEF accueille des intervenants socio-éducatifs non diplômés, qui pendant deux années, reçoivent une formation en alternance, adaptée aux problématiques rencontrées dans les quartiers en difficulté. Sous la direction de trois professionnels du secteur social : Jean Pierre Boivin (responsable de formation du DEF), Vincent Peyre (sociologue), Annick Prigent (responsable du DEF), " Quartiers, conflits, acteurs" rassemble plusieurs écrits de ces travailleurs sociaux en poste dans des quartiers sensibles. Chaque récit fait office de témoignage sur l'action éducative de proximité menée auprès des jeunes par ces intervenants sociaux, et trace également un portrait réaliste de la vie dans un quartier : les différents acteurs, les institutions parti prenantes, les rapports entre les uns et les autres, le quotidien de chacun… Ces tranches de vie relatées donnent matière à une réflexion sur ce que peut être le travail éducatif en milieu urbain. Dans les "Contrepoints" en fin de chapitre, plusieurs spécialistes commentent tour à tour ces récits. Ils soulèvent un certain nombre de questions, envisagent des réponses possibles ou des perspectives de travail, et relèvent quelles sont les constantes du travail social auprès des jeunes dans les quartiers sensibles.

Stéphanie Benson : Un meurtre de corbeau
L’intrigue commence dans un Centre d’Aide par le Travail (CAT), où au cours d’une nuit sont découverts les corps sans vie de deux résidents, par le veilleur de nuit Roland. Au cours de l’enquête menée par la police, Roland est le premier soupçonné. D’une part par rapport à ses relations difficiles avec ses collègues, et de par son passé : il a vécu des moments difficiles et a touché à la drogue. Les soupçons qui pèsent sur lui lui donnent l’impression d’être manipulé, comme si quelqu’un cherchait à lui faire porter la responsabilité d’actes qu’il n’a pas commis.
l'avenir d'une illusion : l'illusion n'est pas là où l'on croit

L'auteur nous dit son intérêt pour la culture humaine qu'il définit comme un dépassement de la condition animale de l'homme et des bêtes qui l'entourent. Pour cela l'homo-sapiens a dû amasser du savoir, du savoir-faire et créer des systèmes pour organiser ses relations humaines. Cette culture devient alors ennemie de l'individu car elle oblige aux sacrifices pour permettre une vie en commun. Lorsque la culture a suffisamment dominé la nature et l'homme, pour continuer d'exister, l'auteur nous parle de son élan vers "l'animique". Celui-ci a pour but "de diminuer le fardeau des sacrifices pulsionnels imposés aux hommes, à (sic) réconcilier ceux-ci avec les sacrifices qui restent nécessaires et à les en dédommager" (p.8). Comment la culture s'y prend-elle ? S. Freud nous propose d'éclairer son action de survie en nous montrant qu'elle fonctionne comme un Surmoi. La Culture imbibe peu à peu en chacun de ses membres des moyens de contrainte qu'elle a créé afin de se perpétuer. Les fonds idéaux font partie de ces biens animiques qui déterminent la culture. S. Freud affecte la religion à ces fonds idéaux. Elle est venue comme alliée de la culture contre la nature toujours indomptable.

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