LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Rapport de stage Educateur spécialisé

Afficher:

Tout public peut y être accueilli, afin d'y exposer ses difficultés et de bénéficier d'un diagnostic, d'une orientation et/ou d'une prise en charge en nuitées d'hôtel. Cet accueil a notamment lieu durant la permanence, sans rendez-vous, chaque jour de 14h à 17h. En plus de ce temps spécifique, une permanence téléphonique est assurée toute la semaine, ainsi qu'un accueil sur rendez-vous, les concertations partenariales et le suivi de l'hébergement des ménages en appartements temporaires.

Ce dossier présente le travail effectué autour de la technique éducative théâtre. Le choix de cette technique éducative entre cinq possible s'est fait naturellement. Le théâtre est une activité que j'avais déjà eu l'occasion d'aborder durant ma scolarité et elle m'intéressait toujours. De plus, j'avais déjà eu l'expérience d'animer un atelier théâtre lors d'un pré stage aux foyer occupationnel les Lauriers à Villeneuve d'Ascq. Cette expérience fut difficile à aborder, je ne savais pas vraiment comment prendre en main les personnes pour les amener à évoluer sur le plan théâtrale et sur leur plan personnels. Pouvoir faire évoluer des personnes présentant des difficultés grâce au théâtre m'apparaissait un moyen agréable et attractif. Pour le futur professionnel que je suis, il est important de pouvoir intéressé des personnes à une activité en leur faisant découvrir autre chose. De plus, cette activité m'apparaît bénéfique au développement personnel de chacun

Lors de mon second stage de découverte à l'Accueil Mère et Enfant d'H, je me suis confronté à un problème de méconnaissance du secteur social. En effet, certaines mères accueillies dans la structure parlaient d'un tuteur, mais ayant une connaissance du handicap mental, j'ai d'abord pensé qu'il s'agissait d'une tutelle aux incapables majeurs ou plutôt d'une curatelle, cela semblait plus réaliste compte tenu que leur seul problème était de se retrouver momentanément dans une situation difficile avec un ou plusieurs enfants à charge. Mais en discutant avec les éducatrices et les usagers, j'ai entendu pour la première fois parlé d'une tutelle qui n'avait pour objet que de régler les problèmes financiers. Les éducatrices ayants peu de contacts avec les tuteurs, il m'a été difficile d'en savoir plus que le nom de cette tutelle : Tutelle aux Prestations Sociales, et le fait que le tuteur ne s'occupe que du rapport qu'entretienne les tuteurés avec les prestations financières qu'ils reçoivent. C'est pourquoi, j'ai décidé de m'intéresser à ce sujet. Tout d'abord pour le découvrir, ensuite pour savoir qui peut être tuteur et quel est son travail, enfin pour chercher à savoir ce que cette action qui me semblait purement financière, peut apporter à l'usager et pouvoir réfléchir aux conséquences qu'elle peut avoir.

Il m’apparaît intéressant de vous présenter rapidement la journée type d’un élève de l’IMPro pour la bonne compréhension de la suite du document. La journée se découpe en 4 parties : 9h/10h30, 10h30/12h, 14h/15h, 15h/16h Pendant chacune de ces périodes, le jeune sera soit en apprentissage scolaire, soit en apprentissage professionnel c'est à dire en atelier, sinon, si il n'a pas d'activité prévue, il restera dans le groupe. C’est le moment pour les éducateurs de faire de la prise en charge individuelle et de revenir sur certaines choses avec le jeune, que ce soit positif ou négatif. L’IMPro pour les jeunes est ouvert de 8h45 à 16h30 tout les jours de semaine sauf le vendredi ou il est ouvert de 8h45 à 13h30 J'ai été en stage à l'IMPro dans le groupe Espaces verts, bucheronnage et mécanique qui dépend du secteur Champs Professionnel

L’accueil que réserve une société donnée à la différence, à l’anormalité, révèle bien des choses de son fonctionnement, des valeurs qu’elle véhicule, et de l’idée qu’elle se fait d’elle-même. La place que notre société occidentale réserve à la personne handicapée nous apporte donc un témoignage concret de cette construction socio-culturelle, influencée par l’héritage du passé et ses aspirations nouvelles. Traditionnellement, la pensée chrétienne assimile « l’arriéré », « l’idiot » au fou et au criminel, et leur anormalité est l’œuvre de Dieu qui entend ainsi faire expier à certains humains les fautes de ceux qui les ont précédés. Si à présent notre société transmet des valeurs diamétralement opposées, il n’en reste pas moins que l’idée selon laquelle l’enfant touché par la différence est une punition divine a marqué profondément les mentalités, justifiant l’exclusion dont celui-ci était l’objet. C’est dans ce contexte que la pensée de l’autre différent, anormal, handicapé a évolué pour aboutir, parfois, à une autre extrémité conduisant à un égalitarisme béat qui nie la différence ; la revendication d’égalité entre personnes handicapées et non handicapées est une représentation idéalisée, un piège qui conduit à une forme de rejet par indifférenciation.

Depuis une trentaine d’années, le secteur médico-social s’ouvre à de nouvelles logiques professionnelles : organisé jusque-là quasi exclusivement autour de la prise en charge en établissement, le secteur voit l’émergence d’une nouvelle pratique, qui préfigure peut-être une nouvelle culture : celle des Services d’Education Spéciale et de Soins à Domicile (SESSAD). Ouverts vers l’extérieur puisque le lieu d’intervention de l’éducateur est le milieu naturel de l’enfant, ces services travaillent à l’intégration de la différence dans un milieu ordinaire généralement normatif, inversement aux institutions spécialisées qui essaient de mettre de la norme dans un milieu dominé par la différence. C'est parce que je m’interrogeais sur les modalités de cette intervention en milieu ordinaire, et notamment dans le cadre de la famille, que j’ai souhaité effectuer mon stage à responsabilité au SESSAD MF. Mon questionnement portait entre autre sur l’implication de la famille dans la prise en charge, et sur la place singulière occupée par l’éducateur dans ce dispositif particulier de l’intervention à domicile. Enfin, ce stage m’offrait la possibilité de côtoyer une population que je connaissais mal : celle de l’enfant handicapé mental.

J’ai réalisé ce rapport dans l’institution qui m’a accueillie pendant mon stage long de responsabilité éducative, et qui m’a maintenu en poste au-delà de ma période de scolarité. J’ai effectué dans un premier temps des remplacements estivaux pendant les mois de juillet et août. J’ai ensuite remplacé la conseillère à l’emploi qui effectuait un mi-temps de 22 heures par semaine et une éducatrice qui suivait les jeunes placés en studios relais pour 4 heures hebdomadaires, toutes deux quittant l’institution. De plus, le responsable du centre m’a attribué 9 heures, dans le cadre d’activités innovantes, pour animer, avec un comédien professionnel, un atelier expression théâtrale. Le tout représentant 35 heures hebdomadaires de travail, auxquelles se sont ajoutées 4 heures les trois derniers mois, qui m’ont permis la mise en place et l’animation d’un atelier “expression artistique” au sein de l’institution.

Le CHRS où j’ai établi cette note souhaite encourager, dans le cadre de l’insertion socioprofessionnelle, différentes mesures dont l’expression de l’usager, ceci afin de favoriser l’apprentissage de la citoyenneté des personnes qui y sont accueillies. Cela en accord avec les principes énoncés par la Fédération Nationale des Associations de Réinsertion Sociale (FNARS), pour qui une des priorités est de leur permettre d’exercer leurs droits et leurs devoirs dès le début de leur hébergement, en vue d’un retour aussi rapide que possible au droit commun, en matière de logement, d’emploi, de santé, de vie familiale... Que “le droit à l’insertion passe en priorité par le respect ou la restauration de la citoyenneté des personnes en difficulté... Les populations accueillies ont droit au droit commun ; celui-ci est la règle de base, les aménagements apportés à cette règle devant être les plus limités possibles, transitoires, et susceptibles de recours ”. Également que les équipes éducatives s’engagent à travailler pour “inventer des formes adaptées d’expression et de participation dans l’établissement ”.

Dans le déroulement de notre formation à l’I nous avons eu à réfléchir et à essayer de mettre en place un projet dans le secteur du travail social. Ce travail de groupe doit nous amener à utiliser les connaissances méthodologiques qui nous ont été enseignées et à nous faire travailler dans une perspective opérationnelle. Les groupes de travail se sont ainsi formés librement, autour d’une idée partagée à priori par tous, mais chaque membre aura à soutenir la démarche qu’il a eue tout au long du projet. Nous nous sommes ainsi retrouvés au nombre de sept (1 élève assistante sociale et 6 élèves éducateurs spécialisés) autour du projet suivant : mettre en place sur la Loire une structure d’accueil, de relais et de médiation pour des jeunes placés en institution ou en famille d’accueil. Nous avons principalement utilisé les connaissances pratiques que nous ont données nos expériences professionnelles respectives pour aborder une problématique et avons privilégié l’opérationnel plutôt que le théorique. Ainsi, notre approche et sans doute certaines de nos affirmations peuvent risquer d’apparaître comme hâtives mais nous souhaitons que cela soit dépassé au profit de l’aspect opérationnel et concret de notre projet.

J’ai pour projet d’effectuer mon stage hors secteur dans un service de documentation et recherche pour les raison suivantes : L’importance et la quantité que revêt l’information à notre époque, nécessitent une gestion rationnelle de celle-ci. Dans notre métier de travailleur social, le besoin d’être informé sur la législation et ses mutations, occupe une place importante au quotidien, et le plus souvent les institutions ne possèdent pas de service gérant ce type d’information.

Chaque travailleur social est alors obligé de s’organiser afin d’avoir le plus rapidement possible à sa disposition, les renseignements nécessaires aux diverses situations rencontrées. De ce fait, je pense que les méthodes et les connaissances organisationnelles sur la collecte et la gestion de l’information, acquises lors de ce stage, me seront utile pour ma future fonction d’éducateur.

J’ai pour projet d’effectuer mon premier stage de découverte dans un service s’occupant d’AEMO, désireux de mieux connaître le travail avec les familles. En effet, certaines compétences se sont révélées lors de médiations scolaires, et mon expérience antérieure dans le secteur économique m’a habitué à la communication. De plus, le centre “C J” de l’OSE accueille des jeunes de différents âges, ceux-ci vont de trois à dix huit ans, ce qui me permettra une approche des difficultés liées à plusieurs tranches d’âges. Pendant ce stage, le participerai avec l’équipe éducative au projet et aux activités de l’établissement, tout en mettant à profit mon expérience théorique.

Dans le cadre de notre formation d’éducateur spécialisé, nous avons effectué différents stages en institutions, lieux où les réunions de synthèse tiennent une place importante dans le processus d’évaluation des prises en charge éducatives. Pour faire ce travail, nous nous sommes basés, dans un premier temps, sur différents écrits, ce qui nous a permis de recueillir des éléments généraux théoriques, indispensables à la compréhension de cette phase de réflexion institutionnelle. Nous avons pris comme support pratique, la situation d’un enfant accueilli en foyer d‘urgence de S, pour lequel une réunion de synthèse de circonscription a été programmée. Ensuite nous présenterons le foyer d’accueil ainsi que le descriptif de son fonctionnement. Également, il nous a paru utile pour introduire la problématique familiale, nécessaire à la compréhension de cette synthèse, de définir la fonction et le rôle de chaque intervenant assistant à cette réunion. Nous conclurons ce travail en présentant ce processus institutionnel, comme un élément incontournable aux propositions d’orientation concourant à la protection de l’enfance.

La psychothérapie institutionnelle peut être considérée comme une instance critique de la psychanalyse. L’abord de la psychose ne pouvant être que collectif, elle crée un collectif de vie qui peut être nommé “communauté structurelle”. Celle-ci intègre dans son existence socio-économique originale des faisceaux de “relations élémentaires” dont l’étude et l’efficacité nécessitent un processus permanent “d’analyse généralisée”. Il y a ainsi création d’un collectif dont le but est de débloquer les énergies gelées dans les systèmes étatiques. La psychothérapie institutionnelle met en valeur une diversité de contrats, lesquels surdéterminent des réseaux d’échange variés, dans le but d’accueillir ce qui est de l’ordre du singulier, du désir, du fantasme.

Les drogues ont toujours existé. Elles ont été utilisées autrefois pour soigner et soulager les soldats de leurs blessures de guerre en Occident. Chez d’autres peuples d’Asie ou d’Afrique, les drogues sont toujours considérées comme un usage culturel et convivial, ancré dans les coutumes du pays. Les drogues sont aujourd’hui en France et dans d’autres pays intégrées à notre vie quotidienne. Symptôme d’une incapacité à surmonter des difficultés d’origine relationnelle ou sociale, la toxicomanie n’est pas une maladie, mais une déviance qui condamne la vie d’une personne et l’instaure dans un processus de marginalisation. Cette dépendance à un produit peut-être traiter en aidant le toxicomane à aborder les problèmes qu’il croit résoudre avec la drogue. C’est dans cette perspective d’aide aux usagers de drogues, que l’association C accueille une population extrêmement marginalisée et dépendante de substances illicites. Cette structure aborde les problèmes liés à l’usage et travaille à la réduction des risques et à la réinsertion sociale et professionnelle.

Le chômage qui frappe les pays occidentaux n’est pas principalement le fait d’une mauvaise conjoncture économique mais avant tout la conséquence de modifications structurelles propres à nos sociétés développées. On compte ainsi un nombre croissant de jeunes chômeurs de longues durée, dont l’incorporation au marché du travail nécessitera du temps, des méthodes adaptées et donc une mobilisation importante de la part des différents intervenants. Toutefois, les jeunes qui sont accueillis ne sont pas uniquement et simplement victimes de la crise économique. Ils sont en rupture familiale, parfois dès l’enfance, en échec scolaire pour l’essentiel, d’autres sont issus de l’immigration. Ils présentent aussi des troubles du comportement liés à divers types de pathologies. Certains ont connu l’hôpital psychiatrique, d’autres la prison... Ainsi, ces jeunes, déjà fragilisées, sont les premiers touchées par la crise économique. L’action d’accompagnement et de soutien doit tenir compte de cette structure psychosociologique propre à la majorité des jeunes accueillis.

Stage long d'un éducateur spécialisée dans un C.H.R.S Ce rapport traite de l'intégration et de l'insertion professionnelle des travailleurs handicapés,du statut des C.A.T et du besoin fondamental pour l'homme de travailler.

J’ai souhaité effectuer un stage dans une CLIS (CLasse d’Intégration Scolaire). Celle-ci n’entre pas dans le champ des établissements et services répertoriés dans la loi 2002-2 et ne peut donc faire l’objet que d’un stage hors champ. En outre, il s’agit d’une CLIS au sein d’une école élémentaire donc d’un désir d’intégrer ces enfants ayant une déficience à une école « normale ».

Cette expérience devrait me servir dans l’approche de l’enfance handicapée et plus particulièrement de la déficience intellectuelle puisqu’il s’agit d’une CLIS 1. Elle me permettra également, dans le cadre de ma profession d’éducatrice spécialisée, de faciliter les relations entre l’école et les équipes éducatives des institutions spécialisées et de maisons d’enfants. Par ailleurs elle m’a apporté des connaissances sur la pédagogie employée par ces professionnels que sont les enseignants spécialisés et sur les outils qu’ils ont mis en place (matériel scolaire adapté à leurs difficultés).

Mon stage de 8 semaines s'est principalement déroulé sur l'accueil de jour puisque j'y étais présente tous les matins, de 8 heures à 12 heures. Je me suis, dès les premiers jours, sentie très à l'aise dans ce lieu.
A cela plusieurs raisons. Tout d'abord, j'ai eu l'impression de m'intégrer facilement. La première semaine, nous étions dans les anciens locaux, une petite salle d'une vingtaine de mètres carrés où une centaine de personnes défilaient entre 8h30 et 11h45. La proximité physique avec les usagers a donc facilité mon intégration.  J'ai participé à leur vie quotidienne dès le début en faisant le café, en discutant autour de la table de sujets divers...

J'ai été agréablement surprise par la réaction des usagers face à mon arrivée. Les usagers sont dès le premier jour venus à moi, pour converser au début et ils ont rapidement formulé des demandes d'aides diverses. De plus, le fait que nous ne soyons pas mandatés, pas tenus par des obligations nous permet d'être dans une relation humaine plus spontanée et naturelle, ce sont des rapports sont d'égal à égal. Le lien de confiance se crée donc plus facilement. Aussi, l'équipe étant nombreuse, cela permet aux usagers de se tourner vers le travailleur social qu'ils choisissent, la relation n'en est que plus saine.

Le centre de loisirs fait partie de l’agence municipale pour le développement du lien social, de la citoyenneté, de la culture et la promotion d’activités culturelles et de loisirs de la ville. Avec ses maisons de quartiers et ses centres socioculturels, elle assure une présence dans les quartiers de la ville. Ses actions s'adressent indistinctement et de façon complémentaire aux publics enfants, jeunes et adultes.

L’agence municipale centre ville se situe au cœur même de la ville et se répartit dans trois structures et un siège administratif. Il accueille :

  • des enfants de 3 à 12 ans dans des activités : avec ou sans repas, journée complète ou 1/2 journée.
  • des adolescents de 13 à 17 ans dans des activités : sorties à la journée, soirées thématiques, stages d’expressions culturelles et sportives, aides à l’initiative. Stages cultures urbaines, hip-hop, graff, musique actuelle.

J’ai demandé au directeur du centre de loisirs de me recevoir dans le but de connaître un autre public. En effet, j'effectue mon alternance dans une association d’insertion avec un public adulte en insertion sociale.

Dans un premier temps, j’ai été en observation et dans un deuxième temps, j’ai conduit plusieurs animations. J'étais en surplus du personnel engagé.

J’ai travaillé pendant trois mois dans un foyer maternel. Lors de ce stage, j’ai été frappée par les nombreuses origines des jeunes femmes accueillies. Maghrébines, africaines, bulgares, françaises, elles vivent en semi-collectivité avec leurs enfants. Elles sont arrivées au foyer, dans des situations de détresse sociale.

Etre en situation d’errance ou précaire, pour une maman avec des enfants ou une future maman est un passage difficile. Pourtant, elles doivent les surmonter malgré tout, leurs histoires de vies sont échelonnées de ces nombreuses périodes difficiles.

Connexion

Educateur spécialisé

Abonnement

Recherche