Conditions réelles des personnes ?, Qui sont-elles ?, Quelle est leur histoire ?, Leur culture ?, leur fonctionnement ?, leur place au sein de la société ?
Entre les individus, il y a des passerelles, la société les quantifient et les incluent dans un groupe (Rmiste,…) ; en les évaluant économiquement (faible, sans rien, modéré,…) également du point de vue humain (tant de femmes, d’hommes, de célibataires, …), donnant lieu ainsi à des statistiques : photographie floue de la société.
La société met des portes, des sas, permettant ainsi de savoir si un individu peut passer d’exclu au statut de salarié inséré dans la société.
Ce qui ferait de ce même individu, une personne normalisé/normative/socialisé.
L’anthropologie, ne veut les considérer comme des individus seuls, mais les intégrer dans un groupe, défini par un aspect humain, la rue, normaliste, addiction ; les situer dans un territoire.
Réfléchir à l’exclusion, c’est réfléchir à la géographie, ces personnes s’approprient des espaces, des lieux qui « provoquent », des lieux qui font porter l’attention sur eux.
A souligner le combat qui existe entre les territoires, même au sein de la rue il existe des territoires, qu’importe ne peut s’y installer.
La pauvreté avant était folklorisée, « le clochard poète, qui a un grain de folie » - cf. .Erasme « Eloge de le Folie » XIIIème siècle