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BTS ESF

Le BTS ESF – Economie sociale et familiale s’effectue en deux ans après un bac de préférence. C’est un diplôme de niveau bac + 2 qui se prépare en formation initiale mais aussi en alternance dans des établissements publics et privés. C’est un diplôme d’Etat de niveau III délivré par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

L'accès au tri sélectif des déchets ménagers pour des adultes handicapés mentaux en studio

L'accès au tri sélectif des déchets ménagers pour des adultes handicapés mentaux en studio Les français sont de plus en plus invités et sensibilisés à l’effort de trier et de participer à la gestion des déchets. Mais ce n’est pas facile pour tous, d’après l’article « Des déchets mal triés et peu recyclés » du journal Le Monde, paru le 25 mai 2007, ils ne savent plus à quel bac se vouer et ne voient pas toujours l’intérêt du tri. Certes, d’après une enquête menée par le C.N.I.I.D (Centre National d’Information Indépendante sur les Déchets) en 2007, on recyclait 13% des déchets ménagers et on compostait 6%. C’est très faible, par rapport à l’Autriche, où 59% des déchets sont recyclés.

Le tri sélectif tient une place importante de nos jours. C’est un acte de la vie quotidienne pour tous. Il est important de faire attention à notre manière de trier nos déchets, une bonne gestion de nos déchets permet de préserver la Terre. Le fait que le public concerné soit des adultes handicapés mentaux ne permet pas de savoir si le tri sera bien fait. C’est pourquoi, le personnel éducatif tient une place très importante dans cette action. En effet, leur présence est bénéfique aux résidents, ils les aideront en cas de doute et de questionnement par rapport au tri. Ils seront là pour leur rappeler comment trier et leur expliquer leurs fautes.
Catégorie: Autre BTS ESF
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Dossier : Les associations
L’avènement de la liberté d’association, acquise le 1er juillet 1901, a été favorisé par plusieurs évolutions dont les origines remontent à la fin du Second Empire. À la prohibition traditionnelle de toute coalition depuis le vote de la loi Le Chapelier du 14 juin 1791, a succédé une tolérance de plus en plus grande à l’égard des regroupements organisés de personnes. Ainsi, la loi du 25 mai 1864 abolit le délit de coalition, permettant aux ouvriers de faire grève sans violence, ni attentant à la liberté du travail. Un pas important est franchi avec la loi du 24 juillet 1867. Ce texte légalise en effet les sociétés ouvrières de production. Ces organismes voient officiellement reconnus leur existence et leur rôle au sein du monde ouvrier. Leur tâche consistait à gérer des commerces de produits de première nécessité, et à investir les bénéfices réalisés dans des activités d’assistance aux plus nécessiteux. La loi du 6 juin 1868 autorise les réunions publiques sous condition de déclaration préalable. Par ailleurs, les pouvoirs publics, sous le Second Empire, encouragent fortement la création de sociétés de secours mutuels.
L'hygiène dans un atelier cuisine pour des bénéficiaires du RMI et/ou de l'API
Notons que l’hygiène en cuisine est l’ensemble des principes et des mesures garantissant aux aliments qu’ils ne soient pas contaminés par des organismes tels que bactéries, moisissures, parasites, virus devenant ainsi une source de danger pour la santé du consommateur. Dans le cadre de mon stage, j’ai eu l’occasion de visiter le Centre Permanent d’Accueil et d’Insertion (CPAI). Un atelier cuisine se déroulait au même moment ce qui m’a permis de me rendre compte de certaines maladresses, de la part des usagers présents ce jour là, en matière d’hygiène. En effet, le public accueilli (des bénéficiaires du RMI et/ou de l’API) participe volontairement à ces ateliers cuisine hebdomadaires.
Les conduites addictives à la drogue et leur consequences sur l'insertion professionnelle des jeunes
J’ai effectué mes stages de première année à AID 11 (accueil info drogue), et à « petit à petit… » (annexe 1). Dans ce dernier, j’ai pu m’apercevoir lors d’entretien avec des parents, qu’ils étaient inquiets par rapport à la consommation de produits addictifs par les jeunes et à son évolution (quantité et nombre de consommateurs). Suite à ce constat, j’ai choisi d’effectuer mon dernier stage dans une structure pour jeunes afin d’étudier cette inquiétude et de pouvoir y construire un projet. Le stage est à la Mission Locale Insertion de Narbonne, et plus particulièrement au service de PAEJ qui signifie, Point Accueil Ecoute Jeune. Le projet qui va être réalisé se fera dans le cadre de la mission de prévention et de sensibilisation. Lors de ce stage, la conseillère en santé sociale a organisé une action de prévention contre le sida, Elle souhaiterait aborder d’autres thèmes concernant la santé, sur le même modèle, elle m’a proposé de trouver ce thème. J’ai donc eu deux entretiens avec elle et avec une conseillère d’orientation, qui m’ont fait part que beaucoup de jeunes qui souhaitent s’insérer socialement ont ou ont eu des problèmes avec un produit addictif.
ICAF : adopter des gestes favorisant la diminution de la consommation énergétique
La médiatrice énergie et la responsable de la structure ont remarqué que certains clients réapparaissaient régulièrement dans la liste des clients en difficulté de paiement. Ces clients avaient souvent bénéficié d'une aide FSL sans que cela ne règle leur problème de facture liée à la consommation d’énergie et se retrouvaient de nouveau en difficulté de paiement. Les consommations en énergie étaient supérieures à la moyenne en comparaison à un logement identique et composition du foyer identique. Cependant la difficulté était de savoir si leur surconsommation était liée à leurs habitudes domestiques ou si elle était la conséquence d'un logement vétuste et mal isolé. Phase de validation du besoin : élaboration d’un outil d’investigation Dans un premier temps, afin de savoir si les habitudes de consommation étaient à l'origine de la surconsommation j’ai établi un questionnaire (annexe 1) qui abordait plusieurs thèmes : • Le logement (superficie, nombre de pièce, année de construction…) • Le type de logement et son isolation • La composition du foyer • L'équipement électrique • Les habitudes des membres du foyer. • La facture et sa compréhension La forme du questionnaire associe questions fermées et questions à choix multiples afin de limiter le temps passé à remplir le questionnaire et que cela ne représente pas une difficulté pour les usagers que nous recevons. La médiatrice énergie m’a apportée ses compétences en matière de connaissance des publics accueillis pour rédiger le questionnaire. Le questionnaire a été rempli avec elle au cours des entretiens de médiation, l’usager avait aussi la possibilité de le faire seul si il le souhaitait. Nous avons pu constater que souvent la surconsommation était lié aux habitudes, aux équipements mais également au manque d'isolation du bâtiment. 45% des personnes interrogées présentaient des problèmes dans les gestes quotidiens et de la qualité du bâtiment. 25% des personnes n’avaient pas ouvert leurs droits aux tarifs sociaux de l’énergie (tarif première nécessité pour l’électricité et tarif spécial de solidarité pour le gaz) 30% connaissaient les gestes adaptés aux économies d’énergie et présentaient une surconsommation liée aux bâtiments mal isolés. Lorsque les raisons de la surconsommation sont surtout liées à l’état du logement, nous nous mettons en lien avec un dispositif existant sur la commune de Bordeaux, le SLIME pour qu’un technicien se déplace au domicile de la personne afin d’effectuer un diagnostic complet de l'habitation et de l’équipement. Ensuite, le SLIME se met en contact avec le propriétaire afin de l’informer des besoins en termes de travaux et des aides financières existantes (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat…). Le but est de trouver une solution qui permette au locataire de gagner en confort et qui soit supportable financièrement pour le propriétaire. Le résultat de l’enquête menée nous montre qu’un atelier sur les gestes quotidiens en lien avec la consommation d’énergie serait pertinent.

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