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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

La police des familles de Jacques DONZELOT

La police des familles de Jacques DONZELOT Ainsi, la délinquance a évolué car les normes ont changé. Au 18ème siècle, la délinquance était considérée comme une « maladie » et présentait avec certitude des troubles psychiatriques chez le délinquant. Aujourd’hui, Il apparaît que dans certains milieux sociaux (chez les pauvres et les stigmatisés), dans certains contextes (les tribulations des groupes de pairs) et à certains âges (essentiellement de la pré-adolescence au milieu de l’adolescence), la délinquance constitue une potentialité d’investissement particulièrement ouverte pour des individus que ne singularise aucune carence, aucune maltraitance même psychologique, en un mot aucun fonctionnement psychopathologique. Toutefois, cette délinquance ne s’enracine dans le mode de vie d’un jeune que si la réaction familiale ne parvient à pas à l’endiguer.
Catégorie: Fiche de lecture Moniteur-éducateur
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Cultive ton jardin, p'tit bigleux de Philippe Menaut
Ce livre est un récit autobiographique de Philippe Menaut, édité en 2013. Il est malvoyant depuis l’âge de 7 ans et est devenu éducateur spécialisé auprès de jeunes déficients visuels. Sous forme de feuilleton il retrace son parcours ordinaire, d’une personne handicapée de la vue, qui cherche à reprendre les rênes de sa vie. C’est une véritable réflexion sur lui-même et sur ce qu’il est devenu en tant qu’individu. Il essaye de comprendre les différentes étapes de son parcours d’homme avec des déficiences, mais qui reste les même qu’une personne normale. Ce livre est une sorte de regard qu’il porte sur son histoire. Il aimerait changer les représentations sur les grands thèmes de la vie et plus précisément sur ce qui est une personne qui est malvoyante. Il s’interroge dans son livre sur la place du handicap dans la société au travers de sa propre expérience de la vie.

Il écrit dans le but de comprendre et de transmettre. Il parle donc plusieurs sujets dans son livre : l’institution, l’amour, la parentalité, l’adoption, l’insertion professionnelle… Placé à ses six ans dans un foyer pour jeunes malvoyants, il cherche à se construire dans un premier temps. Il dénonce la culpabilité de la famille à le laisser si jeune, seul. Il va faire de belles rencontres dans sa vie qui vont lui permettre d’accepter petit à petit son handicap. Plus tard il devient éducateur spécialisé et nous décrit les différentes expériences qu’il a eu en tant que professionnel ayant un handicap. Il nous parle de sa vie personnelle et plus précisément de la rencontre avec sa compagne et de ses trois enfants. A 35 ans, il rencontre un professionnel de santé qui met un nom sur sa maladie génétique. Il renonce à la procréation. Il a une chance sur deux que son enfant est le même gène. Il adoptera son troisième et dernier enfant, Camélia. Par la suite il se sépare d’Irène, la mère de ses enfants, et connaîtra la garde alternée. Il nous évoque ses différentes expériences professionnelles. Aujourd’hui à 50 ans, il a un parcours professionnel riche. Il revendique sa liberté et sa responsabilité face à la vie.
l'avenir d'une illusion : l'illusion n'est pas là où l'on croit

L'auteur nous dit son intérêt pour la culture humaine qu'il définit comme un dépassement de la condition animale de l'homme et des bêtes qui l'entourent. Pour cela l'homo-sapiens a dû amasser du savoir, du savoir-faire et créer des systèmes pour organiser ses relations humaines. Cette culture devient alors ennemie de l'individu car elle oblige aux sacrifices pour permettre une vie en commun. Lorsque la culture a suffisamment dominé la nature et l'homme, pour continuer d'exister, l'auteur nous parle de son élan vers "l'animique". Celui-ci a pour but "de diminuer le fardeau des sacrifices pulsionnels imposés aux hommes, à (sic) réconcilier ceux-ci avec les sacrifices qui restent nécessaires et à les en dédommager" (p.8). Comment la culture s'y prend-elle ? S. Freud nous propose d'éclairer son action de survie en nous montrant qu'elle fonctionne comme un Surmoi. La Culture imbibe peu à peu en chacun de ses membres des moyens de contrainte qu'elle a créé afin de se perpétuer. Les fonds idéaux font partie de ces biens animiques qui déterminent la culture. S. Freud affecte la religion à ces fonds idéaux. Elle est venue comme alliée de la culture contre la nature toujours indomptable.

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C’est l'histoire d'un petit garçon qui s'appelle Icare et que sa mère a surnommé "Courgette". Le père de courgette est parti avec une autre femme que sa mère appelle la "poule». Sa mère est alcoolique et handicapée depuis un accident de voiture. Elle n'aime plus Icare et lui en fait voir .Alors, le petit garçon veut la sauver pour cela, il pense tuer le ciel. Il trouve un revolver dans un tiroir de sa mère, elle le surprend en train de jouer avec, il refuse de lui rendre l’arme et là le coup part tout seul et elle meurt.
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