LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Le temps des rites: Jean-François GOMEZ

Le temps des rites: Jean-François GOMEZ La société fonctionne avec ses codes, ses rituels et cérémonies qui dans leur complexité montrent que notre monde en a besoin pour fonctionner. Que ces rites ou cérémonies soient religieux ou non montre que l’être humain, qu’il soit enfant, adolescent ou adulte en a besoin pour son bien être personnel et celui du groupe. L’auteur nous explique qu’il y a des dysfonctionnements dans le médico-social face à la personne handicapée mentale.

Nous voyons bien tout au long de ces exemples que les rites sont important dans notre société, que ses effets sur les individus sont bénéfiques et les aident tout au long de leur parcours à faire face aux épreuves de la vie. Tous les individus quel qu’ils soient, n’échappent pas aux rites et cérémonies qui constituent nos cultures, que l’on soit de n’importe quelle origine, religion ou milieu social, nous en avons besoin pour tisser des liens avec autrui et être acteur de notre vie.
Catégorie: Fiche de lecture Moniteur-éducateur
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Les corridors du quotidien : Paul FUSTIER
Paul FUSTIER, né en 1937, est enseignant-chercheur à l'Université Lumière-Lyon 2 en Psychologie. Il collabore au sein du laboratoire du centre de recherche sur les inadaptations de l’institut de psychologie de cette même université. D’orientation psychanalytique, ses travaux ont portés sur le travail social et les institutions d'accueil et essayent de comprendre ce qui se passe pour les personnes accueillies, leur famille, et pour les personnels qui y travaillent. Il publie en 1972 son premier ouvrage, « l’identité de l’éducateur spécialisé » et en 1976, « Pouvoir et Formation ». Il participe à la création d’une école d’ES en cours d’emploi, « Recherche et Promotion ». Il collabore avec d'autres psychologues, B. CHOUVIER, P. DOSDA, R. ROUSSILLON, J. GUILLAUMIN, psychanalyste, R. KAES et J. HOCHMANN, médecin psychiatre. Tous participent aux réflexions sur l’ouverture de l’hôpital psychiatrique, à ses alternatives, à la prévention, à la formation et au groupe1.
psychologie des foules et analyse du moi

Ce texte « Psychologie des foules et analyse du moi » permet d’aborder la psychosociologie. En premier lieu, Freud souligne qu’il n’y a pas lieu d’opposer la psychologie individuelle et la psychologie sociale. Cette dernière étant aussi appelée psychologie des foules. En effet, l’objet de la psychologie individuelle est l’individu. Cependant il est pratiquement impossible dans la vie psychique de l’homme, de faire abstraction des relations avec les autres. Ainsi la psychologie individuelle est aussi une psychologie sociale. Il parle de deux types de processus dans l’investigation psychanalytique : les phénomènes sociaux et narcissiques. Ensuite il définit la psychologie des foules : « la psychologie des foules traite donc de l’homme isolé, en tant que membre d’une lignée, d’un peuple, d’un caste, d’une classe, d’une institution, ou en tant que partie d’un agrégat humain qui s’organise en foule pour un temps donné, dans un but déterminé. » (p.124). En fait il existe différents modes de formation en foule. Elle est le lieu d’expression de nombreux phénomènes psychiques. C’est pourquoi, il se propose d’étudier quelques points précis. Freud analyse l’ouvrage de Le Bon « Psychologie des foules » (1912). D’un point de vue théorique, la psychologie des foules répond à trois questions essentielles : - qu’est-ce qu’une foule ? - d’où provient cette capacité d’influencer la vie psychique d’une personne à l’intérieur d’une foule ? - comment se caractérise le changement psychique de cette personne ? C’est l’observation de la modification du comportement de l’individu dans la foule qui est l’objet de la psychologie des foules. Le plus marquant dans une foule, c’est l’apparition d’une âme collective. Il se demande alors quels sont les liens entre ces individus. Il insiste sur le fait que Le Bon ne répond pas à cette question. Mais, ce dernier reconnaît la modification de l’individu dans une foule. Quelles sont les causes de cette différence de comportement entre un homme seul, et un homme en foule ? Pour cela, il faut s’appuyer sur la psychologie moderne. Celle-ci dit que les phénomènes inconscients jouent un rôle autant dans la vie organique que dans le fonctionnement de l’intelligence. Il existe toujours des causes secrètes à nos actes. Le Bon pense que dans la foule les particularités individuelles disparaissent. « L’hétérogène se noie dans l’homogène. » (p.129). Il y aurait un « caractère moyen de l’individu en foule ».

L'Eloge de la faiblesse
L’éloge de la faiblesse : voici deux mots rarement associés et ce titre de l’ouvrage d’Alexandre Jollien nous indique d’office que ce texte, éminemment philosophique, montre les paradoxes du combat de la vie de l’homme. L’auteur lui-même est encore une association inhabituelle : infirme moteur cérébral depuis sa naissance et écrivain philosophe depuis 1999. Nous verrons dans cet ouvrage que cette association incongrue n’est autre qu’une relation de cause à effet, bien qu’une même cause ne provoque pas toujours les mêmes effets et dans le cas de notre philosophe, l’effet est surprenant mais il en a lui-même bien identifié la cause. Alexandre Jollien est né en Suisse à Savièse le 26 novembre 1975. Lors de sa venue au monde, son cordon ombilical enroulé autour du coup prive son cerveau d’oxygène et cause une athétose, une IMC (infirmité motrice cérébrale). Il passera dix-sept des premières années de sa vie en institution spécialisée où il apprendra les gestes de la vie quotidienne mais aussi où il créera les fondations de sa pensé en exerçant un esprit d’analyse et de critique sur l’institution.
Stéphanie Benson : Un meurtre de corbeau
L’intrigue commence dans un Centre d’Aide par le Travail (CAT), où au cours d’une nuit sont découverts les corps sans vie de deux résidents, par le veilleur de nuit Roland. Au cours de l’enquête menée par la police, Roland est le premier soupçonné. D’une part par rapport à ses relations difficiles avec ses collègues, et de par son passé : il a vécu des moments difficiles et a touché à la drogue. Les soupçons qui pèsent sur lui lui donnent l’impression d’être manipulé, comme si quelqu’un cherchait à lui faire porter la responsabilité d’actes qu’il n’a pas commis.

Connexion

Moniteur-éducateur

Abonnement

Recherche