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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

La punition et la sanction en ITEP

La punition et la sanction en ITEP Finalement la sanction est à mon sens éducative, elle permet à l’enfant de prendre sa place d’enfant, de comprendre celle de l’adulte, et lorsqu’il sera de nouveau transgresseur, il sait qu’il s’expose à des sanctions possibles. Ce fut ici le cas pour J. c'est le principe même de la déviance et de son corollaire : la norme. L'apprentissage d'une norme contient à la fois la prescription, c'est à dire le contenu de la règle à appliquer, et le régime de sanctions auquel on est confronté en cas de non-respect de cette règle. Toutefois il me paraît aussi important de savoir lâcher-prise dans la relation éducative, la sanction ne doit pas être une réponse systématique.
Catégorie: Etude de cas clinique Moniteur-éducateur
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Etude de cas clinique dans un foyer de l'enfance
Introduction : l'observation clinique d'un enfant placé en Foyer de l'enfance Cet exercice a été mené à bien non sans quelques interrogations et remises en question... D'une part, il m'a fallu véritablement appréhender cette notion d'observation, neutre de tout affect, de toute prise de position. N'étant pas formée à la psychanalyse, cette neutralité n'est pas une évidence. Je me suis en effet demandée si observer la colère ou l'irritabilité étaient neutre... Quid de la joie ? ou s'il fallait que je décrive simplement l'état sans y mettre une étiquette - émotion. Ce que j'ai choisis. Cependant, la part de subjectivité reste importante : les moments choisis, la connaissance du sujet – même si j'ai tout fait pour éviter « le dossier » – , tous les stéréotypes que j'ai pu construire face à la notion d'adolescence, face à ce que je (mé)connais des enfants placés par l'ASE, ma propre histoire, etc... D'autre part, la réalité de mon quotidien de stagiaire a quelque peu altéré l'exercice. En effet, le manque de personnel des premiers jours m'a mis en position de « complément d'effectif ». J'ai été entraînée par un quotidien sans doublure, donc sans pouvoir prendre le temps d'effectuer mon travail d'observation dans la structure. En outre, Stéphane ne suivant pas un cursus scolaire, il est présent tous les jours, reste souvent dans le bureau des éducateurs, et il est très volontaire pour venir dans la voiture lors des accompagnements des autres jeunes. Je n'ai donc pas pu garder une distance neutre car il était très souvent le seul enfant et je suis rapidement « entrée en contact » avec lui... Qui-plus-est, « son cas » fait beaucoup parler l'équipe éducative. La notion d'implication entre donc en compte dans cette observation clinique. Car si il se veut dénué de tout jugement de valeur, cet exercice demeure un inventaire d'actions ou de moments décrit à travers les perceptions d'une éducatrice en formation.
Étude de situation : Mathias
Tous les mardis après-midi, il n'y a pas d'activité programmée car il n'y a qu'un seul éducateur sur le pavillon « Sirocco ». Cela est dû aux réunions d'équipes sur les autres pavillons « Zéphyr » et « Alizé » : un éducateur se dégage alors pour garder les résidents des autres pavillons. Ce mardi, nous décidons d'aller nous promener dans les bois. Tout le groupe me paraît ravi à cette idée. Chaque résident ferme sa chambre à clé et descend dans la salle à manger sauf Mathias qui est énervé : « Moi je m'en fous d'abord! Je me tire d'ici! ». Il sort dehors, il crie : « c'est dégueulasse! » Il revient dans le pavillon, il claque les portes et s'installe dans le salon qui est à l'étage.
Etude de cas dans une MECS
Lorsque je suis arrivé à la MECS (maison d’enfants à caractère social) « La P » à M, j’ai très vite étais interpellé par la façon qu’ont les jeunes accueillis de s’exprimer. En effet, que ce soit entre eux ou même parfois avec certains éducateurs, ils emploient souvent un langage grossier, parlent fort, toisent, provoquent. La gestuelle fait également partie intégrante de l’expression. Le corps parle dans son entier et le regard est un point très important. C’est plus particulièrement ce qui a motivé mon choix. Cette jeune personne, Sylvie a beaucoup changé depuis mon arrivée. J’ai très vite vu une accélération dans le positionnement de la provocation en tout genre.
Etude de cas

Pour cette étude de cas, mon choix s’est porté sur une jeune fille de 13 ans du prénom de « N ». Dés mon arrivée à l’institution, j’ai souhaité tenter, une compréhension théorique des attitudes de N qui me semblaient provoquantes, et agressive vis à vis des enfants et des adultes. Afin d’expliciter les raisons de mon choix et mon questionnement, je vais vous présenter différentes situations dans lesquelles N a eu des attitudes qui m’ont questionné sur les causes de ces symptômes, et la réponse éducative à donner. Un après-midi où j’allais retrouver l’institutrice avec le groupe pour qu’il reprenne la classe après le repas, N «se baladait » dans le parc et ne souhaitait pas rejoindre le groupe. Je remarquais qu’elle ne pouvait pas me regarder aussitôt que ses yeux croisaient les miens ses yeux se révulsaient comme si elle regardait en elle ! ! J’intervenais donc pour que N suive le groupe, mais, elle persistait dans son refus en ajoutant à cela de nombreuses insultes accompagnées de mouvements violents envers la végétation environnante.(coups de pied ,coups de poings,)

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