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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Les Tsiganes face à la sédentarisation

Les Tsiganes face à la sédentarisation Ce choix m’a fait me poser plusieurs interrogations. Comment peut-on expliquer ce phénomène de sédentarisation ? Est-ce une adaptation ou un choix forcé ? Dans cette note théorique, j’ai tenté de répondre à ces questions en élargissant le problème à toute la population tsigane. En me référant aux livres et revues que j’ai pu lire sur le sujet j’exposerai une définition de la population tsigane dans une première partie, dans une seconde je tenterai d’expliquer le pourquoi de cette sédentarisation et enfin, dans une troisième partie, les problèmes rencontrés.

La demande de plus en plus insistante des gens du voyage qui (outre la réalisation des aires d’accueil) vise, sinon la sédentarisation, en tout cas la possibilité de se fixer plus longtemps et plus facilement, sur de petites aires familiales ou dans un logement en dur qu’ils occuperaient une période de l’année, en particulier l’hiver, tout en continuant à pouvoir partir à d’autres moments ou tout en gardant la possibilité intellectuelle, culturelle et physique, de partir quand ils le souhaiteraient ; l’abandon définitif de cette possibilité signifiant la totale coupure avec leurs racines, leur culture.
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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La Loi N° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale
Aujourd'hui, la loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale est devenue le cadre légal et les fondements des 36 000 établissements, services sociaux et médico-sociaux en France. Cet aboutissement est le fruit, de plus de vingt ans, de modifications législatives. En effet, sur la question relative aux droits des usagers, on peut considérer la loi du 30 juin 1975, comme le texte fondateur des institutions sociales et médico-sociales.
Note réflexive : Que signifie pour vous « accompagner » dans une intervention sociale ?
I. La relation d’aide : Une posture professionnelle : La posture professionnelle peut se définir par le savoir-être, le savoir-faire et le positionnement professionnel. Elle est personnelle et se nourrit de l’expérience personnelle, professionnelle et des interactions de son environnement social. Elle n’est donc pas figée et s’adapte aux situations. Ainsi, pour proposer un accompagnement au travers d’une relation, un travail sur soi est nécessaire. En effet, je pense qu’il est important de connaître ses propres représentations et « son propre système d’interprétation de la réalité, avec sa « grille de lecture » personnelle » . C’est pourquoi, je crois que l’assistante sociale est une interface entre l’institution, qui via un cadre d’intervention et des missions permet d’offrir un accompagnement, et la personne. Aussi, le professionnel qu’est l’assistante sociale doit faire preuve d’adaptabilité face à la singularité de chaque personne et des difficultés qu’elle rencontre, afin d’être facilitateur. Cela peut se faire grâce à l’expertise que chaque professionnel acquiert, au cours des années de formation (cours et terrain de stage) et une fois en poste. En ce qui me concerne, j’ai pu constater sur mon terrain de stage de deuxième année (Carsat ) que d’une part la spécialisation en santé est un atout pour accompagner un public particulier et que d’autre part grâce aux connaissances particulières dans le domaine de la santé, les assistantes sociales sont en mesure d’adapter leur plan d’aide selon les différentes situations rencontrées et de mettre en œuvre une méthodologie d’action (individuelle ou collective).

Je pense que le fondement de l’accompagnement est la relation à autrui et qu’au-delà de la fonction du professionnel, c’est bien en tant que personne que je m’engage dans cette situation relationnelle. Par conséquent, en tant que professionnelle, je dois me mettre au service de l’accompagné, en m’assurant de ne jamais me substituer à lui et en respectant sa singularité. Ceci demande de la vigilance, un travail sur soi et une analyse réflexive de sa pratique et de son rapport à l’autre. En somme, les postures professionnelles doivent s’adapter aux situations ainsi qu’aux différents moments rencontrés dans l’accompagnement. Et comme le dit G. LE BOUEDEC « on n’accompagne jamais en son nom propre mais toujours au nom d’une institution . » C’est donc cette institution qui peut donner à chaque professionnel un cadre de sécurité, qui va permettre d’instaurer une relation de confiance
Réflexion sur l’accès aux soins des personnes les plus démunis
Dans le cadre de notre formation d’« assistant de service social », le stage à responsabilité professionnelle de 3ème année, s’avère être le plus long et le plus décisif. Il constitue pour nous un élément prépondérant dans le processus de professionnalisation et, parallèlement, un support pour l’élaboration d’un mémoire. C’est pourquoi il nous a semblé nécessaire d’établir une étude préalable à l’entrée en stage. Nous avons choisi de nous intéresser au thème de la santé, et plus particulièrement de mener une réflexion sur l’accès aux soins des personnes les plus démunis. Pour cela, nous avons abordé les concepts, les textes législatifs et les problématiques qui s’avéraient être les plus importantes.
Les différents minimas sociaux
Les différents minimas sociaux Selon l’INSEE (INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ETUDES ECONOMIQUES), « les minimas sociaux visent à assurer un revenu minimal à une personne (ou à sa famille) en situation de précarité. Ce sont des prestations sociales non contributives, c'est-à-dire qu'elles sont versées sans contrepartie de cotisations. Le système français de minima sociaux comporte divers dispositifs dont un spécifique aux départements d'outre-mer. » Qu’est-ce qui est pris en compte ? Pour percevoir ces aides sociales, plusieurs critères sont pris en compte, notamment, le niveau de revenu de la personne, sa situation familiale, personnelle, son statut de salarié ou de chômeurs, si son emploi est précaire ou non, etc… Ceux-ci alimentent le phénomène de non recours, cela signifie que la personne peut bénéficier de l’aide mais qu’elle n’en bénéficie pas car administrativement c’est trop compliqué. Il existe actuellement dis types de minimas sociaux : - RSA (Revenu de solidarité active) - RSO (Revenu de solidarité d’outre-mer) - AAH (Allocation adulte handicapé) - ASPA (Allocation de solidarité pour les personnes âgées) - ATA (Allocation temporaire d’attente) - ASI (Allocation supplémentaire d’invalidité) - ASS (Allocation de solidarité spécifique) - AV (Allocation veuvage) - PTS (Prime transitoire de solidarité) - ADA (Allocation pour les demandeurs d’asile)

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