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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Corps infirmes et sociétés : Henri-Jacques STIKER

Corps infirmes et sociétés : Henri-Jacques STIKER

La problématique qu’il aborde dans cet extrait est : « que fait-ont, réellement, c'est-à-dire symboliquement aussi, dans notre société occidentale, des « handicapés » ? ». C'est-à-dire, quelle regard la société à telle sur les personnes handicapées, et que m’est-elle en place pour leurs intégrations ?Nous allons aborder cette question autour de trois différents axes. Dans un premiers temps : l’évolution du vocabulaire désignant l’infirme. Dans un second temps : la naissance de la réadaptation. Enfin, de la mutation de la normalisation vers l’individualisation.

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
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Enfermement et discrimination de Christophe DARGERE

Le stigmate provient des normes sociales, il est attribué par ces normes à une identité sociale qui ne correspond pas à ces normes. Il produit la moquerie, le rejet, les insultes, et pour le stigmatisé il est ressenti de la honte et une certaine humiliation.

Parents et professionnels face au dévoilement du handicap : Dires et Regards : Serge EBERSOLD

Cet ouvrage a été rédigé suite à une recherche basée sur un raisonnement situationnel qui permet de réunir les points de vue des différents acteurs grâce à des entretiens menés avec ceux-ci. Il permet d’apporter des indices dans le déroulement de l’annonce du handicap pour favoriser le travail qui doit être fait entre les parents et les professionnels (du secteur médical, médico-social et social) pour le bien être de l’enfant.

Le deuil à vivre : Marie-Frédérique BACQUE

Toutes les civilisations sauf la nôtre ont apporté des réponses qui aidaient au deuil. Les mourants et leurs proches restent les plus souvent seuls, désorientés, désarmés, dans une société qui refuse la douleur, qui valorise le plaisir, la jeunesse et la performance. Au moment où les religieux et les rites s’effacent, où la communauté se disjoint, Marie Frédérique BACQUE montre qu’il est de notre devoir d’inventer les moyens de faire face à l’écoulement du temps et aux drames qui accompagnent le mouvement même de la vie.

Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran : ERIC-EMMANUEL SCHIMTT

L’idée est la découverte d’une religion du point de vue d’un enfant de onze ans en confrontation avec la sienne, qui au début va généraliser et même se permettre de justifier son vol en pensant « après tout c’est qu’un arabe ». Mais qui par la suite découvre que Mr Ibrahim n’est pas Arabe mais Musulman, « -Qu’est-ce ça peut vous faire à vous ? Moïse, c’est juif c’est pas arabe – Je ne suis pas arabe, Momo, je suis musulman – Alors pourquoi on dit que vous êtes l’Arabe de la rue, si vous êtes pas arabe – Arabe, Momo, ça veut dire « ouvert de huit heures du matin jusqu’à minuit et même le dimanche » dans l’épicerie ».

En découvrant M Ibrahim, Moïse découvre aussi l’Islam. Et il va trouver dans cette religion et plus particulièrement dans ce courant qu’est le Soufisme un exutoire à sa colère qu’il a envers ces parents et une autre façon de voir la vie. « - Un tekké ce n’est pas un dancing, c’est un monastère….Pendants les premiers tours, je me disais : je suis heureux avec M Ibrahim. Ensuite, je me disais : je n’en veux plus à mon père d’être parti. A la fin, je pensais même : Après tout, ma mère n’avait pas vraiment le choix lorsqu’elle… ». « Alors, aujourd’hui encore, quand ça ne va pas : je tourne ».

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