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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Vivre en prison : histoires de 1945 à nos jours : Hélène Bellanger

Vivre en prison : histoires de 1945 à nos jours : Hélène Bellanger

Outil de réinsertion, mais déshumanisation, désocialisation et criminogène. Fonction sécuritaire et asilaire. Vétusté, manque d’hygiène, surpopulation. 1911 – date de rattachement de l’administration pénitentiaire au ministère de la justice, après qu’elle a été dans le giron du ministère de l’intérieur. « Le taux de suicide est supérieur aux taux d’évasion, est-ce une réussite ? » ancien chef d’établissement. « Les surveillants, s’ils ne peuvent rendre compte du vécu des personnes incarcérés, vivent néanmoins dans une telle proximité que leurs souffrances leurs sont clairement perceptible » (Odile Jacob – prison, une ethnologue centrale, 2000)

Chaque année environ 80 000 personnes franchissent le seuil d’un établissement pénitentiaire et, en 2007, l’administration pénitentiaire compte 23 000 surveillants.

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
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L’intervention sociale d’intérêt collectif de Cristina robertis

« L’intervention sociale d’intérêt collectif et l’action des travailleurs sociaux auprès des personnes constituées en groupe sur un territoire ou dans une institution, ayant pour objectif de : - créer des réponses collectives à des problèmes collectifs ; - faciliter l’accès aux ressources existantes et créer des nouvelles ; - développer l’autonomie personnelle et sociale par la participation citoyenne des personnes.

Partant des situations telles que ressenties et définies par les personnes, elles-mêmes co-auteurs de l’action, il s’agit de les aider à élaborer et concrétiser des projets susceptibles d’améliorer leurs conditions de vie, de renforcer leur insertion sociale, de restaurer le lien social. »

Médecin-Chef à la prison de La santé de Véronique Vasseur

Beaucoup de gens ont une idée fausse de la prison et n’imaginent pas toutes les conséquences sur leur vie des choix, et sanction, d’enfermement faits pour eux par la société. La prison est certainement un mal nécessaire mais comment faire pour qu’elle soit efficace dans son rôle de protection du citoyen tout en permettant d’œuvrer à la réinsertion de ceux qui doivent y passer une partie de leur vie ?

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Dans l’introduction de l’ouvrage, M. Blanc et J.M. Breuvart ont choisit de définir le concept d’interculturalité, en partant de sa naissance, puis en s’interrogeant sur ce qu’il représente aujourd’hui. Tout commence réellement au dix-huitième siècle. L’esprit des Lumières a provoqué de grands changements avec, entre autre, la création de la république française laïque, et prônant l’égalité et la fraternité. Cette philosophie insiste sur la reconnaissance des droits de l’homme, et de sa liberté de penser et d’agir, tout en respectant l’autre.

Il s’agit d’une véritable révolution qui constitue également un prélude à l’interculturalité, en considérant que la pluralité des nations devrait aboutir à la recherche individuel d’un idéal d’humanité, qui s’étendrait aux autres nations, pour former une confédération d’Etats animés par le même idéal. Cette idée est motivée par la croyance que l’esprit d’une nation réside en l’habitude du bien et du vrai. Or, tout d’abord, l’idéal de la raison est difficile à définir, puisque le monde est instable.

« Ni putes Ni Soumises » De Fadela Amara

Chose alors impensable pour Fadela Amara, le 8 mars 2003, plus de 30000 personnes, dont beaucoup venaient de banlieues, défilaient derrière le slogan « Ni putes ni Soumises ». Après des années de luttes féministes, quelques filles de cités parvenaient à mobiliser les principaux acteurs de la société française. Ce mouvement de protestation débuta par un tour de France des villes de ce pays à la rencontre des élus, des habitants et via des conférences de presse. Le but : dénoncer les tournantes et les violences masculines ! A l’origine de cette marche, deux événements : le meurtre de Sohanne, brûlée vive, le 4 octobre 2002, dont sa sœur Kahina dénonça la violence.

Le livre de Samira Bellil, paru quelques mois plus tôt, et intitulé « Dans l’enfer des tournantes », décrivait l’histoire de ces filles violées pour n’avoir pas caché ce qui en elle reflétait leur féminité. Mais la pression exercée dans les cités les vouait au silence et enfermait le quartier dans le tabou. Pourtant, Samira n’excusait pas mais parvenait à comprendre ces jeunes hommes.

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