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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Judith MIGEOT-ALVARADO, La relation école-familles

Judith MIGEOT-ALVARADO, La relation école-familles

Dans cet ouvrage, Judith Migeot-Alvarado fait une étude de la relation école–famille à travers des témoignages d’enseignants, d’élèves et de parents, ponctués de références à des textes officiels. L’auteur se réfère aux représentations, attitudes éducatives, rapport à la loi et savoir des familles. Elle rend compte aussi de la participation des parents au fonctionnement des établissements de second degré. Elle met en avant les tensions qui existent entre l’école et la famille et qui rendent complexe la relation entre les deux. A travers un survol historique, l’auteur essaie de nous montrer les origines de ce « malentendu » entre les deux parties et fait le point sur les problèmes actuels.

La solution qui reste à l’école, et particulièrement au collège pour faire face aux difficultés, c’est l’articulation entre l’éducatif et le pédagogique. Cela permettra plus d’efficacité au niveau de l’acte pédagogique mais aussi d’assurer l’équité au sein même de l’établissement. C’est dans ces conditions que le collège peut être un facteur d’égalité des chances. Quant à l’amélioration des relations familles-école, il ne faut pas perdre de vue que pour favoriser l’autonomie de l’enfant-élève, le milieu familial et le milieu scolaire doivent rester distincts. Collaboration, partenariat, relation entre familles et école ne signifie pas confusion et encore moins fusion des rôles. Pour favoriser l’autonomie et l’évolution psychique et sociale du jeune, la famille doit s’effacer peu à peu tout en restant bienveillante et attentive.

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
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Chose alors impensable pour Fadela Amara, le 8 mars 2003, plus de 30000 personnes, dont beaucoup venaient de banlieues, défilaient derrière le slogan « Ni putes ni Soumises ». Après des années de luttes féministes, quelques filles de cités parvenaient à mobiliser les principaux acteurs de la société française. Ce mouvement de protestation débuta par un tour de France des villes de ce pays à la rencontre des élus, des habitants et via des conférences de presse. Le but : dénoncer les tournantes et les violences masculines ! A l’origine de cette marche, deux événements : le meurtre de Sohanne, brûlée vive, le 4 octobre 2002, dont sa sœur Kahina dénonça la violence.

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