LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Comment la pose d’un diagnostic influence-t-elle l’accompagnement de la personne atteinte d’autisme ?

Comment la pose d’un diagnostic influence-t-elle l’accompagnement de la personne atteinte d’autisme ? L’annonce du diagnostic qui touche à la filiation entraîne une blessure narcissique à laquelle tout un chacun peut-être sensible. Considérer l’autisme comme une maladie neurologique ou génétique peut correspondre au désir, légitime, d’évacuer toute résonance de folie liée au diagnostic d’autisme. L’enfant autiste ne parle pas ou présente un langage inhabituel, il a un rapport particulier aux objets ou bien encore, présente des activités répétitives avec son corps (stéréotypies). Mais pris individuellement, aucun de ces signes n’est suffisant pour établir le diagnostic de l’autisme. C’est leur regroupement après une observation précise qui donne lieu à ce constat.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Dossier notions et concepts: l'errance
« Errer » vient du latin « errare » qui veut dire « s’écarter, s’éloigner de la vérité », mais aussi « aller ça et là à l’aventure », « faire fausse route, s’égarer ». J’effectue mon stage de première année dans un CHRS proposant une prise en charge de type « stabilisation », accueillant des hommes de plus de 40 ans. Je m’intéresse au concept « d’errance » car ce terme tend, de plus en plus, à désigner les hommes accueillis dans la structure où je suis en stage. Existe t-il plusieurs types d’errance ? Comment la reconnaître ? Comment est t-elle vécue par les personnes dites « en errance » ? Comment en tant que travailleur social, nous pouvons la prendre en compte dans notre pratique professionnelle ? Après avoir retranscrit diverses définitions de l’errance; je souhaite approfondir cette notion auprès d’une population particulière : les hommes de plus de 40 ans, en errance depuis plusieurs années.
L'acte éducatif à travers la peinture
Lorsque je partis en stage, l’idée de mettre en place une activité peinture était loin d’être un projet. Mais une fois arrivée en ces lieux assez impressionnants, je ne pu m’empêcher de penser qu’il y avait quelque chose à faire ici. Dans un premier temps, je pensais monter un atelier photo avec pour finalité un « story board », mais c’était déjà au programme de l’atelier conte.
Le cadre institutionnel et la position de l’Educateur Spécialisé

J’ai effectué mon premier stage au sein d’un Institut Thérapeutique Educatif Pédagogie durant 12 semaines. En arrivant dans cette structure médico-sociale, j’ai découvert un public adolescent en souffrance ; en lien avec une ou plusieurs problématiques engendrant des difficultés dans le processus de socialisation et la scolarisation.

La caractéristique d’un ITEP se fait par un maillage entre trois dimensions à savoir thérapeutique éducative et le pédagogique. Les objectifs généraux de ces structures étant la réduction d’une souffrance ainsi que des symptômes invalidants pour un sujet. La complexité de l’accompagnement est due au caractère singulier de chaque situation, en effet à chaque adolescent préside une problématique particulière qui met en jeu plusieurs éléments bio-psycho-sociaux.

La violence carcérale
Les violences en prison sont des faits suffisamment mal connus pour être régulièrement surestimés ou complètement ignorés. Indépendamment de la personne des condamnés, c'est l'institution avec ses pratiques d'exclusion qui semble devoir endosser une partie de ces faits. Toutes les études et recherches réalisées sur la violence en prison butent sur un même constat : la difficulté à aller au-delà de la face émergée de l'iceberg et la résistance de la vie carcérale à son dévoilement. Pourtant, la réglementation pénitentiaire française donne obligation de porter à la connaissance des autorités administratives et judiciaires tout « incident grave » intervenant dans les établissements. Mais elle ne définit clairement ni ce qu'est un « incident » ni à partir de quel seuil il peut être qualifié de « grave ». Le Code de procédure pénale précise néanmoins qu'il s'agit de « ce qui porte atteinte à l'ordre, à la discipline ou à la sécurité ». Comment ces faits sont-ils connus ?

Connexion

Educateur de jeunes enfants

Abonnement

Recherche