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Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Partenariat et réseaux : Insertion Professionnelle et Suivie des Handicapés

Partenariat et réseaux : Insertion Professionnelle et Suivie des Handicapés En 2003, la Ville de Beauvais a été élue Ville Pilote 2003, dans le cadre de l’année européenne du handicap, elle a décidé d’améliorer son environnement urbain afin qu’il devienne réellement accessible et procure un confort d’usage à l’ensemble de la population. Dans ce dossier je vais vous présenter un dispositif d’insertion professionnelle dans le milieu ordinaire du travail pour les jeunes en situation de handicap. Notamment des jeunes déficients intellectuels sortant d’établissement spécialisés. Je présenterai également l’action que j’ai mise en place dans le cadre de ce stage en expliquant les difficultés rencontrés sur le terrain.

L’adolescence caractérise le passage de l’enfance à l’âge adulte. Pour tout adolescent porteur ou non d’une déficience il s’agit d’une étape particulièrement complexe est difficile à vivre communément appelée « crise d’adolescence » Pour un handicapé, à cette crise normale va s’ajouter la déficience. A la recherche identitaire de l’adolescent et les difficultés qu’elle engendre, s’ajoute la souffrance liée à l’handicap. Selon Françoise Dolto, « l’adolescence c’est la mort de l’enfance » Ce stage m’a permis de me rendre compte de la difficulté à travailler en partenariat lorsque celui-ci n’est pas clairement défini et clarifié par les différentes personnes concernées. Il me permet de me rendre compte aussi de la difficulté rencontré dans le cadre de l’insertion professionnelle de ces jeunes. L’handicap pouvant parfois mettre en péril le projet.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Comme si, ayant appris à écouter, j’entendais - ERE

J’ai choisi de réaliser cette étude sur ma relation éducative avec Lucien un résidant de 40 ans. En effet, au début de mon stage, je pensais l’effectuer auprès d’un autre résidant plus ouvert et avec qui la communication était très facile. Puis, j’ai réalisé qu’à outils de communication plus primaires, à première vue,  les discussions avec Lucien traitaient sur des sujets plus vastes. Effectivement, j’ai trouvé très riche d’exposer cette communication insoupçonnée.

Aussi, j’ai partagé des faits très pertinents pour une analyse avec Lucien. Enfin, un des temps où je suis intervenue auprès de Lucien, a fait l’objet d’une réflexion collective en réunion de coordination générale. Suite à cette réflexion, j’ai donc pensé que ce fait était un des moments clefs de ce stage puisqu’il était composé de nombreux enjeux. Ainsi, j’ai donc choisi de retracer ma relation éducative avec Lucien.

L'ordonnance du 2 février 1945

Rompant avec le système juridique prévalant sous l’ancien régime, qui ne faisait aucune différence entre les adultes et les enfants concernant la responsabilité pénale, le Code Pénal de 1810 fixa la majorité pénale à 16 ans. Le juge chargé d’une affaire mettant en cause un mineur de moins de 16 ans se fondait alors sur le critère de discernement. S’il était établi que le mineur avait agi sans discernement, le juge prononçait un acquittement, mais le mineur devait être éloigné de la société et faisait l’objet d’un placement en maison de correction où il bénéficiait de mesures éducatives, pour une durée, qui ne pouvait aller au-delà de son vingtième anniversaire. En revanche, si le juge estimait que le mineur avait agi en pleine connaissance de cause, il bénéficiait d’une atténuation de peine, mais devait effectuer celle-ci dans les conditions de droit commun. Ce système fut critiqué car il favorisait la promiscuité et ne prenait pas suffisamment en compte les spécificités de la délinquance juvénile par rapport à la criminalité en général. Pour remédier à cette insuffisance, la loi du 5 avril 1850 instaura alors les colonies pénitentiaires de jeunes détenus, accueillant tous les mineurs délinquants quel qu’ait été leur niveau de discernement. Une loi du 12 avril 1906 porta la majorité pénale à 18 ans.

Les violences conjugales
« La violence faite aux femmes désigne tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin, causant ou susceptible de causer aux femmes des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, et comprenant la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou la vie privée. » La violence conjugale est un processus de domination au cours duquel l’un des deux conjoints installe et exerce une emprise sur l’autre en usant : « … de tromperie, de séduction, de menaces, de contraintes ou de tout autre moyen à l’encontre de l’autre et ayant pour but et pour effet : - De l’intimider, de la punir, ou de l’humilier, - Ou de la maintenir dans des rôles stéréotypés liés à son sexe - Ou de lui refuser sa dignité humaine, son autonomie sexuelle, son intégrité physique, mentale ou morale, - Ou d’ébranler sa sécurité personnelle, son amour-propre, sa personnalité, - Ou de diminuer ses capacités physiques ou intellectuelles. » Processus de domination conjugale Il existe différentes violences : psychologique, physique, sexuelle, économique, verbale. L’humiliation détruit l’estime de soi. Lui refuser sa dignité humaine : atteinte au corps, obligation de nudité, interdiction de se laver, faire ses besoins dans un seau… Evaluer la dangerosité du conjoint : casiers judiciaires, armes, addiction, menaces, atmosphère de terreur. - Lors des entretiens : « qu’est ce qui vous fait le plus peur ? »

Chiffres violences couples - 115 femmes tuées par leur conjoint (ou ex-conjoint), et 7 par leur compagnon « non officiel ». Au moins 44 d’entre elles étaient victimes de violences antérieures connues. - 21 hommes ont été tués par leur partenaire de vie (dont un au sein d’un couple homosexuel). Au moins 8 d’entre eux étaient victimes de violences antérieures connues. - 40% des femmes et 8% des hommes qui ont tués leur conjoint(e) avaient antérieurement dénoncé des violences conjugales. - 36 enfants ont été tués dans le cadre de violences au sein du couple parental. 11 ont été tués par leur père en même temps que leur mère, et 25 sans que l’autre parent soit tué. - Dans 10 affaires les meurtres ont été commis devant les enfants, 55 enfants étaient présents au domicile au moment des faits (les enfants n’empêchent pas le meurtre). - 96 enfants sont devenus orphelins
La Stimulation des Sens, stimulation vibratoire.
Après avoir observé les enfants et analysé leurs besoins, nous souhaitons pratiquer une prise en charge fondée sur la stimulation des sens par le biais de la stimulation basale et/ou la stimulation sensori-motrice. Aussi, une majorité du personnel présent à l'I.M.E a bénéficier en Mars 2005 de cette Formation dite -stimulation Basale- et de ce fait, pourront prendre ou s'approprier cette activité tout membre « formé ».

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