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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Accueil et placement des enfants de moins de trois ans

Accueil et placement des enfants de moins de trois ans Cette unité de formation nous a permise, de part le sujet que nous avons choisi, d’approcher une situation de travail assez peu commune pour les éducateurs spécialisés. En effet, travailler avec des enfants de 0 à 3 ans est plutôt rare et le plus souvent cela s’exerce par des éducateurs de jeunes enfants, puéricultrices et autres travailleurs sociaux. Nous avons pu constater que cela peut être aussi le lot de notre travail et qu’approfondir l’approche de ce public n’était pas un travail en vain. Réfléchir autour de la communication non verbale mais aussi autour des sens que nous pouvons utiliser pour rentrer en contact, développer, entretenir, approfondir une relation sont autant d’aspects que nous avons touchés lors de cette étude. Mais cela a pour mérite de pouvoir être transposé à toute autre relation au-delà de cette tranche d’âge. L’essence même de notre travail repose sur la relation avec autrui. Sentir, toucher, regarder, écouter, voir sont une multitude d’outils à notre disposition, en parallèle du langage, et avec lesquels nous « ressentons les choses ». Omettre cet aspect serait une erreur. L’approche du travail de réflexion personnelle mais aussi en équipe permet ensuite d’analyser, de décrypter les situations et de tenter d’interagir avec celles-ci.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
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Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

DPP : Le jeu et les règles
Les outils de travail que j'utilise le plus pour rentrer en relation sont le jeu et l'humour. Je me retrouve tout de même souvent à accompagner ensuite cet outil de paroles vraies sur le vécu de ce jeu et sur les émotions suscitées comme pour mettre des mots, inscrire / percevoir dans le réel ce qui s'est passé dans cet espace transitionnel. Ainsi, en prenant du recul sur ma pratique et celle que j'ai observée, il m'apparaît que la parole, très présente et important dans notre quotidien, est porteuse de différents sens, mais quoi mettre en mots ?
Approfondissement sur la prise en charge des personnes toxicomanes

Je veux aborder là, la question du désir et de la demande chez ces jeunes qui nous questionnent sans arrêt, et qui nous amènent trop souvent à accélérer le cours des choses, à répondre trop vite à leurs demandes. Répondre trop vite, c’est en effet passer à côté d’une problématique qui doit être travaillée ; il faut donc du temps pour cela, ainsi que la mobilisation d’un certain nombre de travailleurs sociaux, de partenaires, d’un suivi…c’est aussi prendre conscience de sa frustration au regard d’un travail éducatif qui paraît parfois stagner et qui nous renvoie à du malaise.

Technique d'entretien et de recherche
Dans le cadre de notre formation d’Educatrice spécialisée, nous avons eu plusieurs interventions théoriques sur les techniques d’entretien de recherche, afin de réaliser à notre tour un entretien non directif, de le retranscrire intégralement, de l’analyser et en faire une réflexion critique. Cet exercice nous permettra d’utiliser et d’appliquer nos connaissances théoriques acquises tout au long de notre formation. Je vais tout d’abord citer quelques définitions d’un entretien, et expliquer le plus simplement possible ce qu’est un entretien non directif, son origine et son but. Ensuite, je vais donner les motivations qui m’ont incité à choisir la personne, le sujet que j’ai choisis ainsi que les outils qui m’ont permis de réaliser cet entretien.

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