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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Etude et projet "la mobilité des jeunes"

Etude et projet Alors que le taux de chômage avoisine la barre des 10% (9.3 à 10.1 d’avril à mai 06), les jeunes de moins de 25 ans restent les plus nombreux de ce pourcentage soit 20.8% (avril 2006). Ils sont donc les plus concernés par toute la difficulté qui consiste à s’insérer professionnellement. La difficulté est encore plus grande lorsque le jeune à moins de 25 ans et qu’il est sorti tôt du système scolaire. Ainsi en 2005, d’après l’INSEE, 49.2% des femmes de moins de 25 ans et 44.4% des hommes du même age n’ayant que le brevet ou étant sans diplôme, restent sans emploi dans les 4 ans suivant leur sortie d’école. Si un jeune n’a pas trouvé sa place à l’école, il aura toutes les difficultés à la trouver dans le monde du travail et par conséquent, à la trouver dans la société en général. En cette époque où l’argent à plus que jamais sa place, l’emploi est indispensable à une insertion sociale. Or comment accéder à l’emploi si l’on est trop jeune pour avoir de l’expérience, et trop loin du système scolaire pour acquérir des connaissances ?

Le chômage des jeunes en France, est un réel problème de société tant les jeunes représentent l’avenir économique. La population ne cesse de vieillir, il est indispensable que toute la population jeune trouve sa place dans le marché de l’emploi, pour que nous puissions faire face à la prise en charge de nos aînés de plus en plus nombreux. Tous les jeunes n’ont pas forcément conscience de cette dimension économique, mais ils ont bien conscience qu’un emploi est une priorité dans une vie si l’on veut pouvoir subvenir déjà à ses propres besoins, et à ceux d’une famille. Mon intégration au sein de la Mission Locale du bassin d’emploi de Meaux, m’a permis de me rapprocher de ce public en difficulté, entre autre, face à l’emploi. Les jeunes y sont suivis et accompagnés dans leur globalité dans leur « projet de vie ». Il m’est vite apparu que la mobilité n’était, pas encore, un besoin exploré par les conseillers en insertion professionnelle, même s’ils avaient conscience qu’elle représentait parfois un frein.
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Documents associés

EP 2008 : l'accès au logement social des personnes en situation de handicap moteur.
Actuellement en France, il est difficile de trouver un logement tant dans le secteur privé que public et que ce soit pour devenir propriétaire ou locataire. L’agglomération étudiée ici n’est pas épargnée par cette tendance. Cependant, se loger reste un besoin primaire qui intègre les fonctions de protection et de sécurité. Il permet aux individus une autonomie personnelle ainsi que l’intégration à la vie sociale et professionnelle.
Les difficultés dans les pratiques du jeune actif en matière de recherche de logement.
Selon une enquête de l’Insee, en 2001, les jeunes représentaient un tiers de la population sans domicile personnel, alors qu’ils ne constituent que 23 % de la population totale. « Faute de place disponible, les plus fragiles recourent à des solutions de fortune (squat, camping, etc.) » La population "jeune", de 16 à 25 ans, est presque pour moitié composée d’étudiants ; l’autre moitié composée d’actifs : jeunes occupant un emploi, jeunes demandeurs d’emploi ou jeunes en réinsertion. En ce qui concerne leur logement, on observe que les jeunes quittent assez tardivement le domicile de leurs parents : 25% y vivent encore à 26 ans, conséquences d’une augmentation de la durée des études, d’une nette amélioration des relations parents- enfants et des conditions de logement des parents. Cela révèle surtout une difficulté de plus en plus importante à trouver un logement. Le manque d’offre et surtout les difficultés financières qui touchent plus particulièrement les jeunes actifs accroissent leur isolement et les obligent à devoir se débrouiller seuls (les étudiants sont en général d’avantage aidés par leur famille.) En effet, les difficultés rencontrées par les jeunes de 16 à 25 ans sont pour l’essentiel dues à des problèmes d’intégration sur le marché du travail, dans un contexte de précarité montante ainsi qu’à des tarifs de loyer peu abordables pour eux. La situation est plus critique pour les jeunes les plus fragiles (en rupture familiale, en marge, voire confrontés à des addictions). La crise du logement a sur eux un effet « domino » : dans l’impossibilité d’accéder à des petits logements privés, les jeunes salariés se sont rabattus sur les logements sociaux, voire même vers les structures d’hébergement et les Foyers des Jeunes Travailleurs. Ceux-ci permettent aux jeunes de posséder un logement plus ou moins temporaire et des services à moindre coût. Ils permettent de marquer une période transitoire pour les jeunes dans l’attente de trouver un logement autonome. Avoir un « chez soi » représente une condition essentielle dans l’insertion sociale, tant sur le plan symbolique dans une démarche d’indépendance, que dans la réalisation de projets.
La prévention des dangers du soleil pour la peau et les yeux des enfants de 6 à 9 ans à X.

Le soleil joue un rôle important dans notre vie puisqu’il participe à notre bien-être mental : il « réchauffe le cœur » et rend heureux, mais aussi physique : il participe à la guérison de certaines pathologies cutanées (allergies ou eczéma). En effet, en faisant transpirer la peau, celle-ci s’assouplit et l’eczéma s’estompe. De même, le psoriasis connaît des améliorations sous l’effet du soleil qui diminue les réactions inflammatoires. Et bien sûr, c’est le soleil qui permet à la vitamine D de fixer le calcium sur les os, ce qui réduit aussi les risques d’ostéoporose chez les personnes âgées. Mais, il peut tout aussi bien être nuisible, notamment pour la peau et les yeux, s’il est « consommé » excessivement et sans protection. Il est d’ailleurs mis en cause dans les cancers de la peau et les cataractes.

Les chutes chez les personnes âgées: une entrave au retour à domicile?

Afin de maintenir la personne âgée dans son cadre de vie habituel, et de limiter les investissements coûteux en hébergement collectif, le développement des services de maintien à domicile devient l’un des objectifs principaux de la politique en faveur des personnes âgées. En effet, le nombre de plus en plus important de personnes âgées et l’augmentation de l’espérance de vie ont conduit au développement d’une politique de maintien à domicile par les services publics : ceci afin de répondre à un besoin croissant au fil des années. C’est en 1960 que cette politique prendra naissance à la suite du Rapport Laroque qui en pose les fondements. A cette époque, les foyers logements constituaient une première structure du maintien à domicile. Mais il faudra plus de 10 ans pour que cette politique soit organisée et encore 10 années pour que les actions soient coordonnées. Cette politique a pris aujourd’hui des formes très variées avec en priorité le thème de l’autonomie. C’est d’ailleurs dans cet objectif que se caractérise la politique de maintien à domicile ¤ L’information sur les aides techniques ¤ L’aide à l’amélioration de l’habitat ¤ L’aide dans le cadre de consultations médicales ¤ La réalisation de bilan de capacités. Cependant on s’aperçoit que l’une des raisons principales empêchant le maintien à domicile est en rapport avec les chutes. En effet, près d’une chute sur deux se produit au domicile. On pourrait croire que la maison est l’endroit où l’on est le plus en sécurité. Pourtant, on recense chaque année, 4 millions d’accidents de la vie courante, et les chutes et chocs représentent à eux seuls plus de 3 accidents domestiques sur 4. Dans ces cas là, comment permettre à la personne âgée de retourner chez elle et de s’y maintenir dans les meilleures conditions de sécurité possibles ? En effet, les trois causes principales de chutes sont : des causes matérielles liées à l’habitat, des causes médicales et des causes sociales. Il apparaît donc que la conception et l’aménagement du logement peuvent être décisifs pour la sécurité des habitants. Ces chutes chez la personne âgée sont souvent associées à des mécanismes liés au vieillissement dont je parlerai dans la partie I : Les personnes âgées et le vieillissement puis dans la partie II : Les chutes, une conséquence du vieillissement ? Après avoir obtenu des données théoriques sur les chutes et le vieillissement, j’ai voulu rencontrer des professionnels du maintien à domicile pour connaître leur position par rapport à ce problème mais aussi pour qu’ils me guident dans mon travail de recherche. C’est la partie III : Recueil de données. Afin de me rendre compte du problème des chutes et de l’aménagement de l’habitat pour le retour et le maintien à domicile, j’ai réalisé un travail de terrain en mobilisant les connaissances théoriques que j’ai pu acquérir. J’ai développé mon analyse dans la partie IV : Le vécu et les conséquences de la chute. Suite à mes recherches documentaires, à mes entretiens avec les professionnels, et à mon étude de terrain, je me suis aperçue que la plupart des chutes étaient dues à l’environnement même de la personne âgée. Afin de favoriser leur maintien à domicile, des aménagements peuvent être réalisés dans leur lieu de vie en guise de prévention des chutes, mais aussi pour permettre un retour à domicile après une hospitalisation. Il existe aussi beaucoup de mesures en faveur du retour et du maintien à domicile. C’est ce que j’aborderai dans la partie V : Les solutions existantes pour favoriser le retour et le maintien à domicile. Une fois la partie étude terminée, j’ai commencé à mettre en place mon projet. Pour cela, il m’a fallu faire une analyse de la situation dans laquelle je me trouvais puis, à partir de cette situation, j’ai mis en place le moyen d’intervention qui répondait au mieux aux besoins et aux caractéristiques de la population.

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