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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

EP : La maitrise de l'énergie

EP : La maitrise de l'énergie Le stage que j'ai effectué au sein de l'Association Intercommunale d'Insertion de la Région de Saulx, m'a permis de découvrir une population en grande difficulté socioprofessionnelle. Cette population, dite la population pauvre ou à bas revenus, est souvent mise à l'écart car elle ne peut se permettre le même mode de vie que les populations dites classes moyennes. Ces personnes souffrent beaucoup d'être mises de côté. De nos jours la plupart des ces personnes ont un niveau scolaire qui ne leur permet pas de s'orienter vers des métiers valorisants. Je me suis rendu compte que d'avoir des minima sociaux et d'être considéré comme des personnes à part, leur permettait difficilement de trouver un employeur qui n'émette aucun jugement. Leur recherche de travail est pénalisée. De plus, il y a au sein de cette population un grand problème de mobilité. Il est certain que le manque de scolarité les place souvent dans une situation d'illettrisme, et de ce fait il ne peuvent passer le permis de conduire et le code de la route. Or, de nos jours, trouver un emploi sans permis de conduire semble impossible
Catégorie: Rapport de stage Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

EP : « Permettre une ouverture vers l’extérieur par un travail des partenaires hors de l’établissement. »
J’ai donc pensé à l’atelier cuisine. Celui-ci constitue un grand moment de convivialité, un espace de rencontres et d’échanges autour d’un sujet qui plait à tout le monde. Il permettra aux participants de participer à la construction d’une œuvre collective : les préparations seront ensuite dégustées tous ensemble. Il contribue ainsi à retrouver confiance en soi et à restaurer l’estime de soi. Ces ateliers cuisine devront également être des révélateurs de savoirs et de savoirs-faires. ous inviterons les personnes à concevoir les recettes d’après leurs connaissances. La TSESF prendra soin de sélectionner au préalable les préparations à réaliser en fonction : des goûts des résidents, du niveau de difficulté, du temps de préparation et en fonction du budget.
Rapport de stage dans un EHPAD
Durant mon stage, j’étais principalement avec l’animatrice. J’ai participé à toutes les activités quotidiennes (ateliers décoration, jeux de mémoire, jeux de société…). J’ai pu aller voir divers professionnels, comme l’assistante sociale, la psychologue, l’ergothérapeute… J’ai pu observer comment se déroulent les repas ainsi que les collations. J’ai également eu l’occasion de visiter la cuisine et la lingerie pour en comprendre leur système. J’ai participé à l’accueil de nouveaux résidents. J’assistais aux réunions appelées « les transmissions » une à deux fois par semaine. Depuis quelques mois, toutes les deux semaines, des intervenants du théâtre se rendent à l’EHPAD pour créer une pièce de théâtre avec un petit groupe de résidents, dans le cadre du projet « L’un est l’autre », initié par le Conseil Général et mis en œuvre par la Direction des Actions pour les personnes âgées et pour les personnes handicapées et la Direction de la culture et de la citoyenneté. J’ai donc pu assister à ces interventions. Avec quelques résidents de la maison de retraite de Villandraut, nous sommes allés à la maison de retraite de la ville voisine, pour jouer à des jeux de sociétés avec les résidents de cette maison de retraite. Nous avons fait une sortie à la fête de la ville en février, j’ai pu observer et participer à toute l’organisation qu’une sortie implique (protéger les résidents contre le froid, accompagner les résidents à monter dans le bus, vérifier qu’ils restent dans le groupe…). L’EHPAD dispose d’un minibus, ce qui facilite la possibilité de sortir. Nous avons accueilli des lycéennes de baccalauréat professionnel « mode » qui ont réalisé un exposé, ainsi que des lycéennes de baccalauréat professionnel ASSP (Accompagnement soins et services à la personne) pour des journées de découverte.

J’ai été présente lors d’appels vers des tuteurs, pour des demandes de sortie d’argent par exemple. Chaque été, un groupe de résidents part à Lourdes, beaucoup de choses doivent être organisées, il faut communiquer avec la pharmacie du Centre Hospitalier pour pouvoir prendre les médicaments des résidents, communiquer avec les tuteurs… J’ai donc assisté à la préparation de ce séjour, qui s’est déroulé après mon stage. Tous les jeudis, pour les jeux de société, des bénévoles interviennent. Il est important que les résidents se repèrent, c’est pour ça que tous les jours, la date du jour est écrite, ainsi que la fête du jour et une citation. A la maison de retraite, un groupe d’enfants du centre aéré est venu pour jouer à des jeux de société avec les résidents. Mes objectifs ont été atteints, j’ai réussi à identifier les caractéristiques de la structure, du service « animation » et celles du public. J’ai constaté que le travail en équipe et la communication entre les membres du personnel étaient réellement importants. J’ai pu réaliser un support de communication (une affiche sur le chocolat). Enfin j’ai pu mettre en place mon activité
Fiche résumé le RMI
- Fin de la période des 30 glorieuses - Apparition du chômage de masse - Augmentation du nombre de personne qui arrivent en fin de droits, sans aucunes ressources.
EP : Les usagers de l’association savent-ils coudre ?
Cependant, le vêtement, correspondant aux normes vestimentaires du moment, a un coût et n’est pas toujours accessible à tous. En effet, les vêtements achetés par un individu ne sont pas toujours parfaitement adaptés à sa taille et il arrive parfois qu’il soit nécessaire de faire un ourlet. De même, s’ils commencent à être usés ou bien si la fermeture à glissière ne fonctionne plus, il faut la changer et cet entretien a un coût élevé : entre sept et quinze euros pour faire un ourlet simple, entre huit et trente euros pour changer une fermeture à glissière2. Cela peut expliquer, en partie, pourquoi de nombreuses personnes préfèrent jeter leurs vêtements troués, abîmés plutôt que de dépenser de l’argent pour les réparer en pensant qu’ils n’ont plus aucune utilité. Si ces personnes agissent ainsi, n’est-ce pas plutôt parce qu’elles ne savent pas réparer leurs vêtements elles-mêmes ? Manquent-elles de connaissances dans ce domaine ? Auraient-elles besoin d’apprendre des techniques de couture ? Savent-elles qu’il est possible de réutiliser des vêtements abîmés pour en créer de nouveaux ? Tant de questions m’ont amené à réaliser une enquête auprès d’une association qui accueille des personnes en difficultés et qui les aide à se réinsérer socialement et dans laquelle on trouve un vestiaire social.

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