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La réinsertion sociale et professionnelle après une vie carcérale

La réinsertion sociale et professionnelle après une vie carcérale La réinsertion suppose l’idée de « réinsérer, réintroduire à nouveau quelqu’un dans la société ou dans un groupe afin de reprendre une vie dite normale ». Dans notre actualité, de nombreux sujets portent sur cette vie carcérale et notamment les conditions d’incarcération, l’effectif et la surpopulation des prisons, la réinsertion après une vie carcérale…

Malgré l’ensemble de ces aides et cette solidarité, des facteurs défavorables à la réinsertion subsistent vouant cette dernière à l’échec. Des organismes tels que « l’observatoire national de prison » et « le conseil économique et social » ont constaté ces facteurs d’échec de la réinsertion (des conditions de vie carcérale dégradantes, des inégalités dans le système pénitentiaire, la surpopulation carcérale…) entraînant un taux de récidive et un taux de suicide alarmant.
Catégorie: Rapport de stage
Type de fichier: application/pdf
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D’une menace de castration à l'atteinte du pénis

1. Introduction et champ thématique Ce travail de recherche entre dans le champ thématique du jeu chez l’enfant, et plus particulièrement du jeu en tant que miroir d’un traumatisme. Nous conviendrons alors que dessiner et donner des formes à la pâte à modeler sont des jeux. Si l’activité du jeu est placée sous le signe du principe de plaisir c'est-à-dire qui a pour but d’éviter le déplaisir, Freud souligne que le caractère désagréable d’un événement peut être transformé en un objet de jeu avec sa reproduction scénique, les enfants reproduisant ainsi : « (…) tout ce qui les a impressionnés dans la vie, par une sorte d’abréaction contre l’intensité de l’impression dont ils cherchent pour ainsi dire à se rendre maîtres. »2 Dans son article sur le cas d’un jeune mutique, Morgenstern3 met en évidence le conflit représenté par des dessins et inspirés par l’inconscient de l’enfant. L’essentiel de sa contribution repose sur une théorie du symbolisme du dessin qui s’appuie sur des symboles d’origine sexuelle.

L'enseignement du Français en contexte plurilingue
Dans un contexte linguistique particulier où le français côtoie le créole vernaculaire dit créole guadeloupéen, l’anglais, l’espagnol, et les divers créoles (haïtien, dominiquais, martiniquais, guyanais…), les interférences langagières entre deux langues font partie intégrante de la vie quotidienne des petits guadeloupéens. Ces interférences font qu’une majorité des élèves voire de la population évolue dans un contexte plurilingue mais en réalité ne maîtrise aucune de ces langues. En effet, issus d'une langue maternelle anglaise, espagnole ou majoritairement créole, certains élèves se retrouvent dans des situations non propices à leur réussite et ce du fait d’un enseignement non adapté à leur situation linguistique.
Jalons structurels pour une clinique psychanalytique de l'autisme.
« Les points les plus importants du corps en sont les orifices, et, naturellement, ils sont le siège de sensations très particulières.Quand nous respirons en fermant la bouche, nous éprouvons des sensations particulières dans le nez ; mais aussi quand nous respirons bouche ouverte et que nous ne sommes pas conscients de respirer, nous sentons distinctement l’intérieur des narines. Ce qui est important, c’est que nous les sentons près de l’orifice, non pas vraiment au bord des narines mais à environ un centimètre de retrait.À ce niveau nous sentons ou bien quelque chose de spécifique, ou bien la fraîcheur de l’air. Il en va de même pour la bouche. Nous ne sentons pas notre bouche véritablement au bord des lèvres. La zone sensible est, là encore, à environ un centimètre de retrait. Quand nous respirons par la bouche,nous sentons l’air sur la voûte du palais mais il semble que nous le sentions aussi dans le tiers antérieur de la cavité buccale. Si nous respirons très profondément, nous sentons l’air au fond de la bouche et même dans la région du sternum et pas plus avant qu’à un ou deux centimètres de la surface. Nous pouvons dire d’une manière générale que les zones les plus sensibles du corps sont situés près des orifices, mais à un ou deux centimètres en retrait de la surface»
Analyse des Politique de sécurité en matière de discours et d'action sécuritaire
Depuis une trentaine d'année sont mis avant les problèmes économiques et sociaux-économique des banlieues. Par la suite Violence, délinquance, insécurité vont être les mots le plus souvent employés par les médias et politiques. Tout au long de cette période on constatera effectivement une dégradation des relations entre jeunes de banlieues et policier. La tension des quartiers semble monter au fil des années. Parfois ce qu'on appelle des « violences urbaines » éclatent de temps à autre mais pas au point d'inquiéter. Contexte et intérêt du Sujet En 2005 éclate des émeutes dans les banlieues françaises suite à la mort suspecte de deux jeunes où la responsabilité de la police semble être mise en cause. Ces événements font partis d'une des plus importante agitation sociale depuis Mai 68. Nicolas Sarkozy ministre de l'intérieur à l'époque tiendra un discours sécuritaire tout au long de ces émeutes. C'est la politique de la « Tolérance zéro ». Il se montrera très provoquant tout au long des émeutes par ses propos. Celui-ci va mettre en avant la nécessité de placer au premier plan les actions de répressions policière pour résoudre le problème des violences urbaines. Ces émeutes s’illustreront donc par de violent affrontement entre jeunes de quartier et CRS. Et n'auront de cesse que d'augmenter les tensions. De nombreux acteurs politiques, médias, expert, société vont monopolisé les débats en appuyant leur discours sur l'apparition d'un climat d'insécurité en France. Le Président Jacques Chirac mettra finalement en place l’État d'urgence afin de rétablir l'ordre. On peut constater qu'actuellement le problème des banlieues et du sentiment d'insécurité ne semble pas avoir disparu en France. Question de départ: Dans quelle mesure peut-on dire que les politiques de sécurités, en matière d'action policière et de discours sécuritaire, conduites par les différents gouvernements lors des émeutes de 2005 ne sont pas parvenu à réduire ce sentiment d'insécurité en France ainsi que la situation des banlieues? Ce mémoire pourra permettre d'éclairer certains sur les zones d'ombres entre les rapports entre politiques de sécurité et situation en banlieue. En effet on peut donc constater qu'actuellement le discours sécuritaire s'appuyant sur le durcissement de la répression de la délinquance en banlieue prédomine en France. C'est une facilité que de tomber dans le discours sécuritaire car il est vrai qu'il peut servir aux intérêts de différents acteurs comme les politiques, les médiats ou société privée. Il serait impératif de ne pas céder à cette facilité qui consiste à simplifier l'analyse des violences en banlieue. En effet comme le dit Laurent Muchielli « Toute violence a un sens ». Les « nouveaux experts » mettant en avant la thèse de « violence gratuite » n'améliorerons pas la situation des banlieues. L'institution policière influencée par ses discours sécuritaire se contente d'essayer de contenir, limiter et de gérer ces problèmes de violences, pas de les résoudre. Les policiers agissent par des actions de l'urgence et de l'immédiateté. Cette forte réactivité veut montrer que l'on agit pour obtenir des résultats.

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