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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

L’émeute de novembre 2005 : Mauger Gérard

L’émeute de novembre 2005 : Mauger Gérard

Gérard Mauger tente, dans ce livre, de faire une sociologie de l’actualité en s’intéressant à l’émeute de novembre 2005. L’élément déclencheur trouve son origine le 27 octobre 2005, alors que deux jeunes - Zyed Benna et Bouna Traoré- sont morts électrocutés dans un transformateur EDF à Clichy sous-bois alors qu’ils tentaient d’échapper aux forces de police. Ce fait divers va très vite susciter colère et indignation des proches des victimes qui dénoncent ces « morts pour rien ». Mais l’évènement est inédit car cette indignation va s’étendre à l’ensemble du territoire français.

Gérard Mauger va ainsi s’appuyer sur diverses ressources pour relater les faits. Il va décortiquer la presse, les propos rapportés des magistrats et de la police -tout en n’ayant pas accès aux archives policières- il va également mobiliser des discours politiques ou encore des ouvrages sociologiques. Cependant, G.Mauger s’aperçoit très vite que les versions livrées par les différents protagonistes ne concordent pas forcément voire, sont contradictoires ce qui fait « de l’évènement une affaire ambiguë »

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
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"Stigmate, les usages sociaux des handicaps"

Dans cet ouvrage théorique, E. GOFFMAN étudie un concept qu’il nomme « Stigmate » (stigma en grec, qui signifie marque physique d’infamie). A l’origine, ce terme renvoyait aux marques laissées sur le corps. Aujourd’hui, il désigne les marques physiques ou les caractéristiques négatives d’un individu. Pour GOFFMAN le stigmate est défini comme étant « la situation de l’individu que quelque chose disqualifie et empêche d’être pleinement accepté par la société ».

Mais de manière plus approfondie, l’auteur nous montre que le stigmate doit être situé et décrit là où 3 types d’identité se rencontrent : - l’identité sociale - l’identité péronnelle - L’identité pour soi. Dans toute société, les individus sont classés en catégorie de personne et des la première rencontre, nous attribuons à l’autre une identité sociale, basée autant sur les qualités que sur les défauts supposés que sur son statut social (profession). C’est à partir de cette image de l’autre que nous élaborons des attentes que l’auteur appelle « normative ».

En mal d’un chez soi. À l’écoute de la parole des jeunes de l’ASE : Nada Abillama-Masson.

Dans un premier temps, l’auteur présente un historique rapide de la protection de l’enfance. Auparavant, l’enfance délaissée, abandonnée, délinquante était considérée comme dangereuse, il fallait lui apporter assistance et protection, aujourd’hui on parle plus d’enfance en difficulté, c’est-à-dire d’enfance en danger ou en risque de danger. Deux lois relatives à la protection de l’enfance sont votées (la loi du 24 juillet 1889 et la loi du 19 avril 1898). En 1906, la minorité pénale passe de 16 à 18 ans. Le 22 juillet 1912 est créé le tribunal pour enfant. L’ordonnance du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante généralise les tribunaux pour enfants. < u>

Assistance sociale et contrepartie, actualité d’un débat ancien : PURIERE

Aux origines de la contrepartie à l’assistance réside l’apparition de surnuméraires. Au XIVème siècle des paysans déracinés arrivent en ville et ne trouvent pas de travail en raison de leur nombre et de leur qualification inadaptée. Face à ce nouveau dilemme des pauvres valides deux attitudes se révèlent, la bienveillance catholique et la répression. Cette dernière prendra effet jusqu’au XVIIIème et se montra pourtant inefficace par son manque de fondement. Dans la seconde moitié du XVIIIème émergeât alors une nouvelle réponse, celle de lier l’assistance au travail.

En France on généralise les ateliers de charités qui deviendront à la révolution les ateliers de secours, c’est avec eux qu’émerge l’idée de la contrepartie. L’indigence valide se voit reconnaitre un droit à l’assistance mais il a en contrepartie, vis à vis de la société le devoir de travailler.

Les non-dits du travail social : Pratiques, polémiques, éthique : Xavier Bouchereau

L’ouvrage se compose de trois parties qui comportent différentes questions. Ces parties sont suivies d’une prolongation. Il comporte au total huit questions et entre chaque une d’elles, Xavier Bouchereau, y a inséré une page de son journal de bord. Cet ouvrage se présente sous forme de dialogue entre deux anonymes à travers lesquels l’auteur se retrouve.

Ces anonymes débattent sur des questions d’ordre sociale et, témoignent de leurs expériences et des situations rencontrées. Dans ces pages, le travail social n’est pas décrit tel qu’il est mais tel que l’auteur le perçoit. Les grands thèmes évoqués sont l’éducation, les institutions sociales, la violence et l’éthique.

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