Moniteur-éducateur
Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.
La juste distance dans la relation éducative : mythe ou réalité
En choisissant le thème de la juste distance dans la relation éducative, j'étais loin d'imaginer que le travail de recherche et de réflexion nécessaire à la réalisation de cet écrit allait être aussi formateur. En effet, traiter de cette problématique a été l'occasion pour moi de m'interroger sur ce qui se joue dans la relation éducative et notamment de comprendre en détail en quoi la dimension affective est un élément important de celle-ci. Par ailleurs, j'ai compris tout l'intérêt du travail de distanciation, qui ne peut faire l'économie d'un tiers, médiateur de la relation. Personnellement, je n'avais pas attendu de mener cette réflexion pour m’emparer des dispositifs institutionnels prévus à cet effet. C'est pourquoi, aujourd'hui encore plus qu'hier, je ne manque pas de montrer le professionnel que je suis au risque de laisser entrevoir qui je suis personnellement. La relation éducative demande à l'éducateur que je suis de savoir me remettre en question et de me connaître. Ainsi, plus je me connais, plus je suis à même de comprendre l'autre. | Catégorie: | Travaux U.F. Moniteur-éducateur |
| Type de fichier: | application/pdf |
| Historique du document: | 0 |
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Documents associés
Roland Vidal, veilleur de nuit dans une institution pour handicapés mentaux, découvre lors d’une de ses rondes, le corps inanimé de Katia, petite trisomique, en travers de la route. Plus tard c’est le corps sans vie d’Armand, un autre résident, qu’il découvre dans son lit.
Pour le veilleur de nuit, il va de soi qu’il a affaire à des meurtres et que cela ne peut qu'être le fait d'un membre du CAT (centre d’aide par le travail).
Pour le capitaine de la gendarmerie, Roland, ex-peintre reconnu et surtout ex-toxicomane, est le coupable idéal d’autant plus que le directeur du CAT, Jean-Pierre émet des suppositions quand à sa culpabilité.
Pour Roland il ne fait aucun doute qu’il est la victime d’une manipulation et que quelqu’un veut le faire tomber.
Il va alors entreprendre une course effrénée pour tenter de prouver son innocence.
Pour cela, il va devoir rouvrir de vieilles blessures de son passé, partir à la recherche de souvenirs enfouis et surtout tenter de comprendre les trous noirs qui constituent une partie de sa vie.