LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

ABC de la psychologie de l'enfant, Corinne MOREL

ABC de la psychologie de l'enfant, Corinne MOREL

ABC de la psychologie de l’enfant, de Corinne Morel, édition Jacques Grancher Editeur, janvier 2000, dresse une analyse et une explication de la psychologie de l’enfant de la naissance à l’adolescence. L’ouvrage se découpe en six parties : les quatre premières parties traitent du développement psycho-affectif et du développement intellectuel de l’enfant de la naissance à l’adolescence, la cinquième partie aborde les aspects pratiques de l’éducation, et la sixième et dernière partie « reprend les données précédentes en les appliquant aux situations concrètes auxquelles tout parent se trouve tôt ou tard confronté. » La psychologie de l’enfant comprend deux axes fondamentaux : le développement intellectuel et le développement psycho-affectif ; l’amour et la tendresse ont une grande part d’importance dans l’éducation de l’enfant. Qui dit développement dit « stades différents », ainsi les parents et les éducateurs doivent opérer une remise en question continuelle, et « sont donc sans cesse obligés d’évoluer au fur et à mesure que » l’enfant grandit (p.26).

Comprendre et apaiser les angoisses. Ce qui suscite l’angoisse chez l’enfant : L’inconnu, « l’excès de nouveauté et de changement est, pour lui, source d’angoisse. […] Tout ce quo est inhabituel produit en lui un sentiment d’étrangeté qui l’angoisse. » (p.235) ; Le corps, par le biais de l’apprentissage de la propreté et des différences sexuelles ; L’attitude parentale, « La peur de perdre l’amour de ses parents constitue l’angoisse la plus puissante. Elle va de la peur de perdre réellement ses parents à la peur d’être abandonnée ou de ne plus être aimé. […] La colère des parents terrorise également l’enfant » (p.236-237) ; Les angoisses diverses liées à la dévalorisation et à la dépréciation, à un excès de responsabilités, à leur responsabilité lors de problèmes ou de difficultés, à une éducation trop sévère ou à des punitions corporelles, violentes et répétées, à l’obligation de prendre sur eux et à la compétition ou aux comparaisons.

Catégorie: Fiche de lecture Educateur de jeunes enfants
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Les troubles du comportement à l’adolescence

Catherine Blatier est professeur de psychologie clinique et pathologique à l’Université Pierre Mendès France de Grenoble. Elle mène également des recherches sur la délinquance, les compétences parentales et la psychologie du développement des enfants et adolescents. Elle a écrits plusieurs ouvrages sur ces thèmes. Dans Les troubles du comportement à l’adolescence, elle parcourt le monde psychique de l’adolescent à travers les différentes problématiques liées à cette phase critique du développement où l’enfant en mutation, adulte en devenir, est plongé dans des travers difficiles pour certains.

Qui a dit que l’adolescence était une période facile à traverser ? Une réflexion d’ensemble a été mené par différents psychologues autour de ces troubles qui s’expriment au niveau de la pensée, des troubles de la conduite, de l’hyperactivité, de la délinquance ou de la violence, de l’adolescent criminel, ou du comportement alimentaire. Les psychologues illustrent ces problématiques par des expériences cliniques, l’état de leurs résultats et par de nombreux cas d’adolescents, autour desquels ils déroulent certains concepts théoriques et outils pour répondre à ces problèmes.

Jouer avec les tout petits : Anne Sommermeyer

« Le jeu a pour fonction de permettre à l’individu de réaliser son moi, de déployer sa personnalité » (Claparède) « La dame aux jeux », voilà le terme employé par les enfants pour me désigner lors de mon stage d’internat effectué au sein du service de pédiatrie et néonatologie du centre hospitalier d’Alençon, dans le cadre de ma formation d’EJE. Lors de cette expérience, j’ai pu percevoir l’intérêt éducatif et thérapeutique du jeu auprès de l’enfant malade.

Le jeu vient créer, dans cet endroit insécurisant et angoissant pour l’enfant, une continuité avec la maison (jeux identiques ou apports de jeux du domicile partagé avec les autres enfants…) et permet à l’enfant de communiquer ses ressentis (colère, souffrance, angoisse…). J’ai, dans le cadre de ce stage en service hospitalier, pu enrichir mes observations par la lecture de l’ouvrage «l’enfant à l’hôpital, la thérapie par le jeu » de I. Linquist.

La naissance d’une famille ou comment se tissent les liens : T. Berry BRAZELTON

T. Berry BRAZELTON est né en 1920. C’est un célèbre pédiatre, fondateur du service du développement de l’enfant du Children’s Hospital de Boston. La démarche de BRAZELTON est de faire émerger non seulement la compétence unique de chaque bébé, mais de l’aborder dans son contexte, en tenant compte des interactions multiples du bébé et de son environnement.

Pour cela, il a mis au point une échelle d’évaluation de conduites néo-natales, le BNBAS (Bra Neonat Behavioral Assessment Scale) qui permet d’apprécier les différents aspects de la compétence du nouveau-né et ainsi le valoriser face aux parents.

L’identité : Alex Mucchielli,

Ce livre tente de définir l’identité en science humaines. En effet le concept d’identité n’est pas fixe et une multiplicité de définition existe. Alex Mucchielli démontre que les définitions sont relatives aux références que les scientifiques utilisent pour définir l’identité. On peut dire que l’identité est toujours plurielle et en transformation, en effet une part de notre identité est statique (nom, prénom, notre lieu de naissance…) mais l’identité va également dépendre de d’autre phénomène plus dynamique (nos liens affectifs, nos liens familiaux…).

Si un acteur tente de définir sa propre identité, différente forme de cette identité apparaitra. Par exemple si il croit intimement ce qu’il est on parlera d’identité subjective, si il énonce son identité devant les autres on parlera d’identité affirmé, si il énonce ce qu’il n’est pas ou ne veux pas être on parlera d’identité négative… On peut donc dire que notre identité immédiate dépend du contexte social d’activité où l’on se trouve. Chaque acteur a plusieurs identités en même temps puisqu’il s’inscrit dans une pluralité de situation potentielle, ainsi il faut intégrer dans la définition de nombreux élément extérieur à l’acteur.

Connexion

Educateur de jeunes enfants

Abonnement

Recherche