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Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Dossier santé : La maladie de Cœliaque

Dossier santé : La maladie de Cœliaque Après avoir éclairé quelques notions et apporté des éléments de compréhension de la maladie Cœliaque, je vais dans un deuxième temps, démontrer comment s’organise l’équipe éducative et le service restauration face aux allergies et aux intolérances alimentaires, en m’appuyant sur l’exemple d’une résidente qui est porteuse de la maladie Cœliaque.

L’action éducative, dans le cas de Colette, consiste à l’accompagner afin qu’elle puisse gérer cette dépendance. Au sein du foyer d’hébergement, cet accompagnement se fait individuellement, nous l’avons vu avec la situation de Colette, mais il s’effectue également collectivement, par la mise en place d’un atelier cuisine.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

Accompagnement éducatif de la personne : Dilo
Pour illustrer la fonction « accompagnement éducatif de la personne ou du groupe », je fais le choix de relater la situation éducative vécu avec un jeune mineur étranger que je nommerai Dilo pour des raisons d’anonymat et de respect de la confidentialité due à la personne. Lors de l’admission de Dilo, je recueille des informations concernant sa famille. D’après les éléments du dossier de demande d’asile (récit de vie). Ces parents se séparent lorsqu’il à neuf ans. Après avoir célébré religieusement leur union, la mère explique avoir entamé une relation de concubinage en 1991 avec M. D.Z en Serbie.
Le deuil après un suicide
L'homme a beau savoir que tout être humain est mortel, lorsque la mort frappe, il a l'impression que c'est la première fois. Ce cheminement dépend des relations affectives entre l'endeuillé et le défunt, des circonstances du décès et de la plus ou moins grande solidité de celui qui reste.
Etude du film : Les survivants
Nous étudions le film « Les survivants » réalisé par Frank Marshall en 1998. Ce film est tiré d’une histoire vraie. Il s’appuie sur les témoignages des survivants et sur le livre de Piers Paul Read. Le 13 octobre 1972, un avion affrété par une équipe de rugby de Montevideo s’écrase au cœur des Andes, à 3500 mètres d’altitudes… L’équipage et une dizaine de passagers meurent sur le coup, mais la plupart des quarante quatre occupants survivent miraculeusement au choc. Leur épreuve ne fait que commencer car les secours n’arrivent pas. Pour résister au froid, à la faim et à l’angoisse, ils doivent unir leurs efforts et se résigner à manger la chair de leurs amis morts. Leur incroyable odyssée va les transformer à tout jamais.

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