Dans le cadre de cet écrit de seconde année de formation en tant qu’éducatrice spécialisée, j’ai choisi de traiter dans le cadre du domaine de formation n°1, un sujet concernant les adolescents, et notamment sur les nouveaux phénomènes.
A ce titre, j’ai donc entamé un travail sur : le sexe, la drogue et l’alcool, le nouveau fléau, les « Skins party ».
L’intérêt de réaliser cet écrit sur le thème suivant, fait suite à de nombreux questionnements face à l’état des lieux des adolescents d’aujourd’hui.
En effet, grâce aux visionnages de reportages concernant les adolescents, j’ai vite remarqué à quel point ceux là, vivaient de manière de plus en plus artificielle. Que ce soit au travers d’Internet, du téléphone portable…
Un point nodal de ces nouveaux phénomènes abordés lors de ce travail, est la tendance à la banalisation. A mon avis, celle ci peut s’installer si les adolescents n’ont pas de sécurité de base, comprenant ainsi, la discussion autour de ces sujets, souvent tabous dans certaines familles et/ou institutions.
Malgré ces rites de passage auxquels sont « soumis » les adolescents, il est d’une nécessité incontournable de passer par des outils et instances, tels que la prévention à l’école, au planning familial, psychologue… ; le dialogue entre parents/enfants ou institutions/enfants ; Ils seront les axes d’éducation qui permettront ainsi, d’éviter toutes mises en danger, des adolescents, dans leur processus de maturation physique et psychique.
Aussi, la question de la précocité dans l’âge, à leurs rapports au sexe, à la drogue et à l’alcool, viennent confronter les adultes à de nouvelles préoccupations de leurs « petits ».
Ainsi, les adolescents d’aujourd’hui sont ils plus précoces ?