Il est donc aujourd’hui beaucoup plus question en France dans l’espace public et politique d’intégration et d’assimilation concernant les immigrés. Les lois sur l’immigration se durcissent et pour remplir un quota promis au français de 25000 expulsions par an le gouvernement n’hésite plus à se servir des enfants pour trouver leurs parents.
Qu’en est-il des droits des familles ? Des enfants ? Toutes les nouvelles dispositions prises par le gouvernement sont elles conformes au Droit de l’Homme et du Citoyen ?
Nous avons choisi de nous attardez plus précisément sur les enfants. Quels droits on les enfants en théorie dans le monde et plus précisément en France ? Que se passe t il réellement pour eux en pratique ? En termes de législation les mineurs étrangers peuvent se diviser en deux catégories : les mineurs étrangers dans leurs familles, et les mineurs étrangers isolés c’est ce que nous verrons dans un premier temps pour finir par l’évolution réalisée et les tendances actuelles en ce qui concerne la prise en charge des mineurs étrangers en France.
Peu de documents, de chiffres, existent sur les enfants sans papiers pour la simple et bonne raison que beaucoup de familles préfèrent rester cachées. Les données sur les mineurs isolés notamment ceux pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance sont plus probants.
Nous avons vu tout le long de ce dossier que les enfants ont des droits reconnus au niveau international comme fondamentaux. Chaque pays a ensuite sa propre législation au niveau national qui n’est pas toujours conforme et en accord avec ces droits.
L’interdépendance de ces droits est démontrée par tous (O.N.G, services sociaux…) : la santé est liée au logement, le logement à l’éducation…
Beaucoup d’accès à ces droits sont bloqués par les démarches administratives, un niveau économique insuffisant, la peur d’être découvert mais surtout un manque d’informations et d’aides de ces familles.