LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Educateur de jeunes enfants

L’éducateur de jeunes enfants favorise le développement et l’épanouissement des enfants de moins de 7 ans. Il intervient principalement dans les lieux de garde collectifs et toutes les structures d’accueil de la petite enfance.

Economie solidaire SEL et RERS

Economie solidaire SEL et RERS

Les exemples ne manquent pas, et chacun y va de sa formule. Le point de départ étant de produire et/ou échanger sans argent. La forme première et la plus archaïque se nomme certainement « don et contre-don » et pourrait s’appeler ensuite le bénévolat : de nombreuses personnes sont disponibles pour rendre service à autrui, sans souhaiter de rémunération. Pourtant, tout le monde ne sait pas forcément comment se rendre utiles, et par ailleurs de nombreux besoins ne sont pas satisfaits, de nombreuses activités profitables ne sont pas assurées. L’intérêt est donc d’imaginer la mise en relation, en réseaux, de l’offre et la demande dans un cadre précisé. Bien que la législation soit peu et mal définie, les actions entreprises sont nombreuses : Centre National du Volontariat, Le Parrainage, Les maisons de chômeurs, Les jardins familiaux, Les gardes réciproques, La téléassistance de voisinage, Les cantous… Nous nous attarderons ici sur deux actions particulières, piliers de l’économie solidaire : Les Réseaux d’Echanges Réciproques de Savoirs et les Systèmes d’Echanges Locaux.

SOMMAIRE 1. INTRODUCTION (Thierry) 2 1.1. Produire et échanger sans argent 2 1.2. Don et contre don aspects anthropologique et sociologique 2 1.3. Différence entre RERS & SEL 3 2. RESEAUX D’ECHANGES RECIPROQUES DE SAVOIRS 4 2.1. Histoire du premier réseau (Amina) 4 2.2. Grands principes (Hélène) 5 2.3. Mode d’emploi (Xavier) 7 2.3.1. Rôles et fonctions de l’équipe d’animation 7 2.3.2. Offre et demande 9 2.4. Témoignages (Amina, Hélène) 9 2.5. Le travailleur social et les réseaux ? 12 3. SYSTEMES D’ECHANGES LOCAUX 14 3.1. Histoire des premiers SEL (Edwige) 14 3.1.1. Au Canada 14 3.1.2. En Australie 15 3.1.3. En Grande-Bretagne 15 3.1.4. Les SEL en France 16 3.1.5. Ailleurs 16 3.2. Grands principes (Lorrain) 16 3.3. Mode d’emploi (Edwige) 17 3.3.1. Adhésion et Adhérents 17 3.3.2. Rôles et fonctions de l’équipe d’animation 18 3.3.3. Offre et demande 19 3.4. Témoignage (Lorrain) 19 3.5. Problèmes juridiques (Delphine) 20 3.5.1. Au regard du droit du travail. 21 3.5.2. Au regard de l’assujettissement à la sécurité sociale 24 3.5.3. Au regard de la responsabilité civile 25 3.5.4. Au regard du droit fiscal 25 3.5.5. En conclusion 26 3.6. Le travailleur social et les SEL (Tous les trois) 26 4. CONCLUSION 29 4.1. Les nouveaux développements en entreprise : EDF, Lycées… (Hélène) 29 4.1.1. Les principes 29 4.1.2. Ce que le réseau peut apporter 29 4.2. L’Europe solidaire (Natacha, Carole) 30 4.3. Enfin…(Thierry) 32 5. ANNEXES 33 6. BIBLIOGRAPHIE 34

Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
Historique du document:

0

Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Projet d'action éducative
Dans le cadre du stage à responsabilité éducative de 3ème année de formation d’éducateur spécialisé, nous avons à mener un projet nommé P.A.E. : Projet d’Action Educative. Ce travail a pour objectif l’apprentissage de la conception, de la mise en œuvre puis de l’évaluation d’un projet éducatif. Ce travail participe de notre processus de professionnalisation dans la mesure où il est une mise en pratique de la fonction 3 du référentiel métier de l’éducateur spécialisé « Conception et conduite d’une action socio-éducative au sein d’une équipe ». Ce travail nous permet de nous confronter à la réalité du terrain, à l'écart entre ce que l'on prévoit et ce qui est réalisable et réalisé, car l'éducateur travaille avec l’imprévu mais jamais avec le hasard.
Les modifications corporelles

Les modifications corporelles sont diverses, elles regroupent le tatouage, le perçage, la scarification, les implants chirurgicaux. On trouve divers termes pour désigner ces modifications corporelles que l’on commencera par définir. - Le tatouage tout d’abord, utilisé le plus couramment et connu de tous. Le tatouage est un signe visible inscrit à même la peau grâce à l’injection d’une matière colorée dans le derme à l’aide d’une aiguille d’un millimètre de long. Mentionné pour la première fois en 1769 par le capitaine COOK, le mot tatouage est dérivé du tahitien « tatau ». Il est surtout pratiqué sur les populations à peau claire, les populations à peau sombre le pratiquent plus rarement et sur certaines parties du corps telles les gencives et les lèvres. Il peut se pratiquer sur toutes les parties du corps sauf sur la langue. Le tatouage ne doit pas se faire sur un coup de tête ou pour répondre à un critère de mode passagère car c’est une marque indélébile qui restera toute sa vie. - Le piercing est un percement de la peau pour y poser un bijou, un anneau, une petite barre, etc. Signe d’exclusion au Moyen Age, le piercing s’impose aujourd’hui comme un acte de provocation et de revendication sociale. - S’y ajoute le stretching qui est un élargissement du piercing pour y mettre une pièce plus volumineuse. La scarification et les implants insérés sont moins connus mais cette pratique devient de plus en plus courante.

Analyse de pratiques dans un foyer éducatif
Lorsque je jette un regard extérieur sur mon intervention éducative, je pense avoir essayé différentes approches et tenter de faire prendre conscience à Simon qu’il devait changer son comportement. J’ai également appris qu’un travailleur social, quel que soit son domaine, ne peut pas toujours arriver à résoudre les problèmes rencontrés par les bénéficiaires. En effet, dans la situation de Simon, il ne s’agit probablement pas d’une intervention éducative qui lui a permis de se remettre de sa problématique des retards.
Les femmes cougars: Phénomène de société ou simple mythe
A quarante ans, elle se libère et découvre qu’elle est autonome, qu’elle peut enfin vivre pour elle et orienter ses choix. Elle ne ressemble plus à l’image que nous renvoyaient nos mères et nos grands-mères, pour qui le mariage était un statut social avec comme obligation le devoir conjugal. Elle est belle, sexy, a l’expérience de la vie, un métier qui la passionne, et s’autorise à désirer qui lui plaît, sans tenir compte de l’âge, comme le font ces messieurs depuis des siècles !

Connexion

Educateur de jeunes enfants

Abonnement

Recherche