Depuis des siècles, pour des raisons financières, des personnes de divers pays sont venues en France pour travailler. Ces dernières ont compensé des pertes humaines dues à la guerre, afin de reconstruire la France. Leur objectif était de gagner de l’argent afin de subvenir aux besoins de leur famille et de repartir dans leur pays d’origine par la suite. Après des années de travail, cet objectif n’a pas été atteint. Les personnes immigrées ont dû s’installer en France et faire venir leur famille.
Au sein de la ville d’A.-sous-bois, la population française représente 79 % et la population immigrée 21 %. Cependant, dans les quartiers Nord, la population française et immigrée sont respectivement de 55 % et de 45 %.
Au cours du stage, j’ai acquis des connaissances sur une institution, sur le travail d’une conseillère en ESF et sur une population.
D’une part, j’ai pu prendre conscience du lien important que garde les personnes avec leur pays d’origine. L’immigration de ces hommes a permis pour certain de répondre à une nécessité financière. Cependant le déchirement familial, la rupture avec le pays d’origine reste difficile à accepter. D’autre part, lorsque j’ai rencontré ces personnes, je n’ai pas compris tout de suite leur mode de vie. Par exemple envoyer de l’argent aux proches restés au pays, alors que ces derniers ont des difficultés budgétaires.