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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Analyse des organisations dans une associationpour personnes atteintes de syndrome de Korsakoff,

Analyse des organisations dans une associationpour personnes atteintes de syndrome de Korsakoff,

Quelques minutes après, Mr Q trouvant que le couvert mis à sa place n’était pas mis convenablement, il a alors réprimandé Mr D pour cela qui ne s’est pas laissé faire et lui a répondu. C’est à ce moment-là que le conflit à éclater.

Par la suite, Mr Q, énervé, par la réponse de Mr D haussa le ton et commença à l’insulter. Mr D augmenta le ton de plus belle, en exprimant un sentiment d’injustice, mais sans insulter Mr Q.

A ce moment-là, j’ai essayé d’intervenir, mais les personnes accueillies ne me connaissant pas très bien au vu de mon arrivée récente dans la structure n’ont pas pris en compte ce que je leur ai dit. La maîtresse de maison a essayé d’intervenir, en vain, car elle fût insultée également.

Les accompagnateurs sont intervenus dès qu’ils ont entendus des cris provenant de la cuisine de la maison n°10. Ils étaient 4. Ils se sont séparés en binôme et ont pris chacun un des messieurs dans un coin plus tranquille pour demander ce qu’il s’était passé.

Mr D expliqua de son point de vue s’être senti agressé par Mr Q et a essayé de se défendre. Il expliqua qu’il ne comprenait pas ce qu’il avait pu faire pour énerver Mr Q et qu’il s’était senti attaqué injustement car il n’avait rien fait de mal. Les accompagnateurs ont d’abord essayé de le calmer. N’ayant pas les informations au complet, ils n’ont pas cherché à prendre son parti, ni à prendre le parti de Mr Q. Ils lui ont proposé d’avoir une discussion avec Mr Q quand il sera plus calme pour essayer de comprendre ce qui a pu l’énerver.

Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
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Documents associés

L'ordonnance du 2 février 1945

Rompant avec le système juridique prévalant sous l’ancien régime, qui ne faisait aucune différence entre les adultes et les enfants concernant la responsabilité pénale, le Code Pénal de 1810 fixa la majorité pénale à 16 ans. Le juge chargé d’une affaire mettant en cause un mineur de moins de 16 ans se fondait alors sur le critère de discernement. S’il était établi que le mineur avait agi sans discernement, le juge prononçait un acquittement, mais le mineur devait être éloigné de la société et faisait l’objet d’un placement en maison de correction où il bénéficiait de mesures éducatives, pour une durée, qui ne pouvait aller au-delà de son vingtième anniversaire. En revanche, si le juge estimait que le mineur avait agi en pleine connaissance de cause, il bénéficiait d’une atténuation de peine, mais devait effectuer celle-ci dans les conditions de droit commun. Ce système fut critiqué car il favorisait la promiscuité et ne prenait pas suffisamment en compte les spécificités de la délinquance juvénile par rapport à la criminalité en général. Pour remédier à cette insuffisance, la loi du 5 avril 1850 instaura alors les colonies pénitentiaires de jeunes détenus, accueillant tous les mineurs délinquants quel qu’ait été leur niveau de discernement. Une loi du 12 avril 1906 porta la majorité pénale à 18 ans.

UF8 : La prévention spécialisée
La prévention spécialisée est une action individuelle et/ou collective qui se met en place « Dans les zones urbaines sensibles et dans les lieux où se manifestent des risques d’inadaptation sociale » pour les jeunes et leurs familles en voie de marginalisation, dans le but de faciliter leur insertion et leur promotion sociale. Ainsi, avant l’élaboration de cet écrit, l’approche et les méthodes d’intervention de la prévention spécialisée me posaient de nombreuses questions. Les principes de la prévention spécialisée étaient également source de questionnement car il s’agit d’une forme singulière de méthodologie d’action au sein du secteur de l’action sociale et plus particulièrement au sein du secteur de l’action sociale en milieu ouvert. Ma principale question était la suivante : comment tisser une relation de confiance avec les jeunes quand les principes de la prévention spécialisée ne semblent offrir qu’un cadre restreint ? Autrement dit, les principes de la prévention spécialisée n’étant constitués d’aucune contrainte, obligation ou devoir, pourquoi et comment les jeunes choisissent-ils de passer la porte de la prévention spécialisée et comment se saisissent-ils de ces principes afin de construire, avec l’éducateur, cette relation de confiance qui permettra la mise en œuvre d’un accompagnement individuel ? Du côté du travail de l’éducateur de prévention spécialisée, ma question est très simple : quelles méthodes d’intervention l’éducateur utilise-t-il afin de créer une accroche avec les jeunes qui permette la construction de cette relation de confiance si difficile à élaborer ?
DPP en MECS
Pendant ce stage j’ai pu expérimenter plusieurs statuts, celui de stagiaire et celui de professionnel. J’ai pu expérimenter la position de stagiaire et celle du professionnel seul face à un groupe. Etre en position de stagiaire et donc en doublure ou en triplure m’a permis de prendre mes marques et de pouvoir m’appuyer sur l’équipe dans mes propositions. L’équipe m’a rapidement fait confiance, et m’a laissé une certaine liberté d’action.
Écrit sur la pratique professionnelle : la séparation entre mère et enfant
Kévin ne se joignait pas au groupe, et ne voulait pas participer aux activités proposées. Les jours suivants, il a tenté de faire des fugues, il a été jusqu’à prendre un couteau pendant le repas qu’il s’est mis sous la gorge en me disant que s’il ne rentrait pas chez lui le plus vite possible, il se taillerait la gorge. En discutant avec lui, Kévin m’explique qu’il n’arrive pas à se séparer de sa maman, qu’il souffre d’être loin d’elle, et qu’il savait qu’elle en souffrait autant que lui, son papa lui disait à chaque départ, sur un ton ironique : « ta mère va encore pleurer toute la semaine ». J’ai vu Kévin pleurer chaque jour qui passait et ayant l’habitude de travailler dans des centres de vacances avec hébergement, j’ai su faire la distinction entre les pleurs d’un enfant qui a un léger coup de blues (car ses parents lui manquent) et la douleur de Kévin.

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