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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Rapport de stage en tant qu'auxiliaire de vie scolaire dans un collège

Rapport de stage en tant qu'auxiliaire de vie scolaire dans un collège J’ai eu l’opportunité d’obtenir un contrat d’auxiliaire de vie scolaire dans un collège ce qui m’a permis de travailler au milieu d’adolescents et de m’occuper d’enfants ayant divers handicaps. J’ai donc du m’adapter aux différentes situations qu’occasionnaient leurs difficultés ainsi qu’à leurs personnalités distinctes.

Durant ces six années, ce travail m’a passionné, et j’aimerais continuer à travailler dans un environnement d’adolescent handicapé ou en grande difficulté de comportement. Le fait de bénéficier de cette formation me permettrait d’accroître mes connaissances et de mettre au service des autres mon expérience. Cela me donnerait l’opportunité d’investir sur du long terme, de disposer d’une étude plus précise de chacun des enfants pour un meilleur suivi et de mettre en place des projets quant à l’orientation et l’avenir de ces jeunes.
Catégorie: Livret V.A.E. Conseiller en économie sociale et familiale
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Documents associés

Accompagnateur des actions d’Insertion
Ce dispositif qui est « l’Insertion par l’Activité Economique », m’a poussé à m’orienter et me spécialiser dans le domaine de la formation, en m’inscrivant à la formation Licence Intervention Sociale Option ingénierie de formation et d’évaluation de l’Université de Corse.
Rapport de stage au secours populaire français
Ayant eu l’envie et l’enthousiasme d’orienter mes études vers une formation généraliste et professionnalisante, je poursuis aujourd’hui un Diplôme d’Etudes Universitaires Scientifiques et Techniques (DEUST) en gestion et médiation sociale à l’Université de Bourgogne. Dans ce cadre, j’ai effectué un stage d’observation d’un volume horaire de 105 heures, soit du 20 avril au 13 mai 2009, à la fédération de Côte D’or du Secours populaire français à Dijon qui est un acteur historique de la solidarité en France et dans le monde. Bénévole au Secours populaire français en qualité d’accompagnatrice scolaire au sein de la fédération de Lyon, j’ai souhaité m’investir dans les projets de cette structure et mettre mes compétences au service de cette institution dont l’envergure répond à mes ambitions dans le but d’acquérir les outils et la réflexion nécessaires à l’occupation d’un poste à responsabilités. Ce choix a ainsi été motivé par une volonté de travailler en matière d’intervention sociale, de me spécialiser et d’approfondir mes connaissances dans les domaines de l’insertion, de la médiation et de la gestion de projets locaux réalisés en direction de différents publics.
Rapport de stage dans un Centre Départemental d’Action Sociale (CDAS)
Le stage d’observation que j’ai effectué du 16 novembre 2015 au 22 janvier 2016 se déroulait au Centre Départemental d’Action Sociale (CDAS) de G. J’ai bénéficié de l’accompagnement d’une référente qui exerce le métier d’Animatrice Locale d’Insertion (ALI). Au regard de cette note de stage, je présenterai dans un premier temps la structure dans laquelle j’ai effectué mon stage. Dans un second temps, j’énumèrerai les différentes missions que peut avoir un Animateur Local d’Insertion. Pour terminer, je ferai part de mes découvertes, impressions sur la fonction et confronterai mon point de vue sur le métier avant et après le stage. La mission principale de l’ALI est l’accompagnement des personnes bénéficiaires du RSA socle vers une autonomie sociale et professionnelle. Tous les bénéficiaires du RSA sont dans l’obligation de suivre un accompagnement qui peut être soit dispensé par un ALI ou par Pôle emploi. Les bénéficiaires du RSA activité n’ont pas d’obligation d’accompagnement. Les bénéficiaires du RSA socle sont dans un premier temps conviés à un entretien avec un ALI afin de définir leur référent. Ils peuvent être dirigés vers Pôle emploi (dans le cas où la personne est mobile, qu’elle a travaillé récemment ou qu’elle est disponible de suite pour travailler). Ils peuvent, autrement, être suivis par l’ALI (dans le cas où la personne est éloignée de l’emploi par souci de mobilité, de santé, de situation familiale, etc.).

Dans le cadre d’un premier rendez-vous, la CAF envoie préalablement la liste des nouveaux bénéficiaires du RSA à l’ALI selon le secteur géographique du lieu d’habitation de la personne et celui-ci a la charge de prendre contact avec les usagers concernés. Il leur envoie un courrier d’invitation à un entretien ainsi qu’un questionnaire servant de trame pour l’entretien et permettant d’informer sur les droits connexes au RSA. Lors de ce rendez-vous, l’ALI prend connaissance de la situation familiale, professionnelle, personnelle, des attentes et projets de la personne et l’informe sur ses droits et devoirs. Cette rencontre (si l’ALI estime qu’il doit accompagner la personne) aboutit à la signature d’un Contrat d’Engagement Réciproque (CER) entre le professionnel et le bénéficiaire. Celui-ci reprend les objectifs de l’usager. En fonction des besoins repérés par l’ALI, celui-ci peut s’appuyer sur l’expertise sociale d’un correspondant pour traiter de problématiques particulières non liées directement à la reprise d’une activité professionnelle (assistant social, CESF, etc.). Il peut également lui conseiller des actions collectives et/ou instruire des aides financières (exemple : aide financière pour aider à financer le permis de conduire).
La réinsertion professionnelle des travailleurs handicapés
Les attentes de l’entreprise au regard de la population de travailleurs handicapés psychiques sont la performance et leur capacité à entretenir un relationnel adapté. Il est évident que ces personnes risquent de se trouver en difficulté face à ces exigences mais la possibilité donnée aux ESAT de proposer des mises à disposition peut permettre une adaptation progressive. Le détachement en entreprise des travailleurs handicapés est un moyen qui permet de faire évoluer positivement les représentations de l’entreprise sur le milieu protégé et également sur le handicap psychique. La fonction d’un chargé d’insertion dans les ESAT est une fonction en voie de développement, du moins sous cet intitulé et avec cette mission. Nous sommes loin de constituer une population homogène, chaque structure fait selon ses moyens et son projet d’établissement, même si les lois de 2001, instituant un projet individualisé pour chaque usager, et de 2005, pour l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées, ont réaffirmé la vocation médico-sociale et favoriser les passerelles entre le travail protégé et le milieu ordinaire. Privilégier l’insertion suppose une démarche particulière qui complète le travail déjà réalisé en ESAT. En faire une spécificité, c’est une façon de rappeler que l’insertion ne se décrète pas, mais qu’elle s’organise, et doit se faire avec des moyens et le concours des personnes concernées. Les actions de certains établissements du milieu protégé apportent la preuve que l’insertion des travailleurs en situation de handicap psychique est possible. Il existe néanmoins une autre alternative à la réinsertion que le milieu ordinaire ou le milieu protégé, celle du soutien individualisé au travail (IPS, Individual Placement and Support) qui a été développé dans le monde anglo-saxon. Bien qu’il ait largement fait les preuves de son efficacité, supérieur aux autres pratiques, en termes de réinsertion professionnelle durable, il reste très méconnu en France. Alors que nos modèles classiques inversent le principe, c'est-à-dire qu’il s’agit d’insérer au plus vite en milieu ordinaire de travail les personnes, sans étapes préparatoires qui ne font que différer le retour au travail en milieu ordinaire. L’originalité de cette pratique repose sur l’importance donnée au soutien dans le travail. Ce soutien est apporté par un job-coach qui est défini comme un formateur et reste un intervenant externe à l’entreprise. Cependant, le soutien dans l’emploi n’est pas la solution à tous les problèmes d’insertion professionnelle. Il est nécessaire de s’appuyer sur d’autres offres de services afin d’analyser les besoins et faire un travail d’orientation car certains métiers s’apprennent. Ainsi le travail en réseau avec les partenaires sociaux est essentiel pour la complémentarité des actions.

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