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Conseiller en économie sociale et familiale

Le conseiller en économie sociale et familiale (CESF) a pour objectif d'aider les adultes à résoudre leurs problèmes de vie quotidienne. Individuelle et collective, son action passe par l'information, le conseil et la formation.

Rapport de stage en ESAT et IME

Rapport de stage en ESAT et IME Concernant la théorie, il me semble essentiel, lorsque j’aborderai le thème du handicap, d’insister sur le fait qu’il n’existe pas un type de handicap, et que même si visuellement on ne perçoit pas le handicap, la personne peut être atteinte psychiquement. De plus, Il faudra que j’insiste sur le rôle du personnel et sur les différentes structures et leurs caractéristiques. Pour étayer cette argumentation, il serait utile de faire intervenir la C.D.A.P.H., qui a pour principale mission d’évaluer le degré de handicap des personnes et de les orienter. Cette intervention serait donc suivie par la visite de l’ESAT et de l’IME de V M, avec le témoignage de plusieurs travailleurs handicapés.

J’ai beaucoup appris sur leurs comportements et les spécificités de leur handicap. Ce sont des personnes présentant "une déficience intellectuelle profonde sur la quelle se greffe pour certains des troubles majeurs de la personnalité". On peut noter un ralentissement dans les acquisitions des performances de l’intelligence (capacité d’analyse…). La déficience se traduit, à des degrés divers, par des difficultés de compréhension, de situation dans l’espace et le temps. Les notions de passé, présent et futur ne sont acquises qu’avec un grand retard. Le comportement de ces personnes varie suivant la nature et le degré du handicap. Les personnes vivent principalement, durant l’année, dans des établissements ou dans leurs familles, situées dans la région Clermontoise.
Catégorie: Rapport de stage Conseiller en économie sociale et familiale
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La consommation de fruits chez les personnes atteintes de maladies neuromusculaires ou neurologiques
Le repas est un élément central de la journée : il revêt une fonction biologique et sociale mais il fait aussi référence au goût et au plaisir. Hautement symbolique et culturel dans la société française, il est l’un des derniers repères accessibles à la personne en perte d’autonomie. Dans tous les actes de la vie quotidienne, notamment au moment du repas, il faut pouvoir connaître la situation globale de chaque résident, afin de bien l’identifier, de tenir compte des difficultés que chaque maladie peut engendrer afin que ce moment reste un plaisir pour lui.
ICAF dans un SAVS : La consommation des fruits et légumes
Les premières rencontres avec les bénéficiaires ainsi que les échanges avec ma tutrice m’ont rapidement fait remarquer un dysfonctionnement dans la vie quotidienne des usagers : certains ne se font pas à manger, par manque de motivation ou parce qu’ils ne se pensent pas capables. Ils ont une alimentation peu variée, consomment beaucoup de plats préparés ou vont fréquemment au fast-food, et ont des problèmes de surpoids.

L’alimentation est un sujet abordé lors du suivi mais peu approfondi. Il m’a donc paru important de mettre en place un projet autour de l’alimentation pour répondre à ce problème. Afin de confirmer ce besoin, une phase d’enquête a été nécessaire. J’ai administré un questionnaire aux usagers dans le but de connaître leurs habitudes alimentaires, d’évaluer leurs connaissances sur l’équilibre alimentaire et de préciser les thèmes qui pourraient être abordés au cours de l’atelier . Compte tenu des difficultés de lecture et de compréhension des usagers, ce questionnaire a été guidé : je l’ai rempli lors des rendez-vous au SAVS, avec dix personnes, car je n’ai pu m’entretenir avec tous: certains travaillaient dans un ESAT éloigné et il m’était donc impossible de les rencontrer.

Cette activité a été un moyen pour moi de m’approprier mon stage, et d’avoir un contact privilégié avec les usagers. J’en tire un bilan très positif car ils ont été satisfaits de participer et sont en demande que ce genre d’activité soit renouvelé. De plus, ce projet m’a permis de développer ma capacité à être autonome puisque j’ai réalisé seule les différentes démarches pour le mettre en place, sous le regard bienveillant de ma tutrice.
Le constat inquiétant des chutes en institution
Nous savons que c'est un facteur d 'entrée dans la dépendance : 40 % des hospitalisés, pour chute, vont en institution. Je me suis demandée, pourquoi il y avait autant de chutes en institution alors que les ainés sont sensés être encadrés par des professionnels dans un environnement sain, protecteur préservant au mieux l'autonomie de la personne. Voilà ce qui a orienté ma recherche de stage dans une maison de retraite où je souhaitais observer la chutes de la personne âgée en institution avec dans l'idée de décrire le besoin pour pouvoir éventuellement le pallier. J'ai alors obtenu un premier entretien avec le directeur de la maison de retraite qui pouvait m'accueillir pour faire mon étude. Lors de l'entretien, j'ai eu confirmation que c'était un réel besoin, qu'il fallait déterminer l'ampleur et les circonstances de ce phénomène.
EP : Les usagers de l’association savent-ils coudre ?
Cependant, le vêtement, correspondant aux normes vestimentaires du moment, a un coût et n’est pas toujours accessible à tous. En effet, les vêtements achetés par un individu ne sont pas toujours parfaitement adaptés à sa taille et il arrive parfois qu’il soit nécessaire de faire un ourlet. De même, s’ils commencent à être usés ou bien si la fermeture à glissière ne fonctionne plus, il faut la changer et cet entretien a un coût élevé : entre sept et quinze euros pour faire un ourlet simple, entre huit et trente euros pour changer une fermeture à glissière2. Cela peut expliquer, en partie, pourquoi de nombreuses personnes préfèrent jeter leurs vêtements troués, abîmés plutôt que de dépenser de l’argent pour les réparer en pensant qu’ils n’ont plus aucune utilité. Si ces personnes agissent ainsi, n’est-ce pas plutôt parce qu’elles ne savent pas réparer leurs vêtements elles-mêmes ? Manquent-elles de connaissances dans ce domaine ? Auraient-elles besoin d’apprendre des techniques de couture ? Savent-elles qu’il est possible de réutiliser des vêtements abîmés pour en créer de nouveaux ? Tant de questions m’ont amené à réaliser une enquête auprès d’une association qui accueille des personnes en difficultés et qui les aide à se réinsérer socialement et dans laquelle on trouve un vestiaire social.

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