Pour conclure, je dirai que la socialisation de l’enfant est de prime à bord naturelle. En d’autres termes, il y a en effet des attitudes innées de sociabilité liées à sa vie émotionnelle. Dés la fin du premier mois, comme le souligne Ahrens, « le sourire, en face du haut du visage les imitations en écho, vers 4 mois la contagion des rires » témoignent effectivement d’une ouverture première aux autres. L’enfant évoluera ainsi au sein de relations interpersonnelles au cours desquelles il organisera des conduites de sociabilité, à la fois d’attachement et de rejet, à l’égard des gens qui l’entourent. C’est de la sorte que ces relations se poursuivront dans un système d’institutions (famille, école, pairs, médias). Toutes ces instance l’influenceront d’une manière ou d’une autre. Le « bon parent » accompagnera principalement, alors, l’enfant tout au long de son développement. Il veillera ainsi à ce que l’enfant ne fusion pas avec la violence ou pour le moins, le « bon parent » minimisera l’omniprésence de ce fléau. Dans un tout autre sujet que la violence, et en définitive, je tiens à rappeler que le processus de socialisation ne cesse d’être présent dans la vie de chacun de nous, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte.
Catégorie: | Travaux U.F. Educateur spécialisé |
Type de fichier: | application/pdf |
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