Après avoir vu les besoins de la personne et les différentes dimensions du temps clé du repas, on peut conclure que l'accompagnement nécessite un investissement physique (ex : garder le contact visuel avec la personne) et un questionnement permanent sur son action en tant qu’AMP. L’accompagnement implique la recherche d'information (sur la pathologie, l’histoire de vie…) qui favorise la compréhension d’un comportement dit atypique. La dimension d’accompagnement comprend aussi une remise en question avec une posture de réajustement quasi-permanente.
C'est-à-dire que l’on doit prendre en compte la personne comme elle est, avec son potentiel et ses difficultés et ne pas les considérer comme définitif ; (ex : une difficulté rencontrée au moment t n’est plus forcement vécu comme telle au moment T). C’est aussi à l’AMP d’observer le cas inverse (altération d’une fonction) et de modifier son accompagnement.
Catégorie: | Travaux U.F. Animateur |
Type de fichier: | application/pdf |
Historique du document: | 0 |
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